20 ~ 6 années et 10 mois plus tôt

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Matt m'embrassa de partout, il n'oublia pas un seul centimètre carré de ma peau. Ma poitrine n'était pas très volumineuse. J'avais toujours trouvé que mon corps n'était pas proportionnel. Mais, là, dans cette chambre, dans ce lit, en soutient-gorge, Matt déglutit en regardant fixement ma poitrine. 

– Elle est parfaite... euh... tu es parfaite. 

Un petit sourire timide vint illuminer mon visage. 

Il se mit à embrasser mes seins. Une sensation exquise. Je l'attrapais par les cheveux, voulant le garder au plus près de moi pour qu'il ne s'en aille jamais. 

En bas, je le sentis déboutonner mon jean. Doucement, il fit glisser le tissus jusqu'à ce qu'il tombe au sol. Il laissa remonter ses mains le long de mes cuisses et mon corps se recouvrit de chair de poule. Si j'étais déjà en ébullition rien qu'avec une petite caresse telle que celle-là, j'avais peur de la suite. J'avais peur... Oui, j'avais la trouille. Une trouille bleue. 

Matt le sentit et remonta au dessus de moi, son visage à quelques centimètres du miens. Ses yeux accrochèrent les miens. 

–Tu as un corps, poupée... Une véritable oeuvre d'art. 

Je lui donnais un coup à l'épaule. 

– Te moques pas de moi. 

– Jamais...

Sa bouche fondit instantanément sur la mienne. 

Son corps au dessus du mien, il ne m'écrasait pourtant pas, appuyé sur un coude. Sa main me caressait tendrement la joue pendant qu'il m'embrassait et que son autre main reprit son exploration de mon corps. Je le sentais partout. A chaque point de contact entre nos deux corps, c'était un feu qui brûlait ma peau. Ses doigts trouvèrent rapidement mon bouton magique sous ma culotte et je haletais à cette douce caresse. C'était fantastique. J'aurais voulu que jamais il ne s'arrête. 

– Zoé? 

– Hmm... 

Je flottais. De bien être. 

– Je n'ai... enfin... tu es la première. 

– Quoi? 

J'ouvris grand les yeux et il se mit à rire. J'avais mal compris... 

– Calme toi, poupée. Je voulais juste dire que je n'avais jamais couché avec une fille vierge. Je veux vraiment que tu te rappelles de ça comme une bonne expérience. Le sexe, c'est génial. Tu verras.

Je lui souris. 

Il se releva. Je n'avais pas vu qu'il avait également retiré son pantalon. Nous étions ex-aequo. Il passa deux mains derrière mes fesses, agrippa le tissus de mon sous-vêtement et me l'enleva. Il se pencha, et sa langue entra en contact avec mon clitoris. 

Je gémis. C'était encore mieux que son doigts. 

Il continua ainsi quelques minutes avant de débarrasser également de son boxer et de se repositionner sur moi. Appuyé sur les deux coudes. Il attrapa mes poignets dans chacune de ses mains. Ses yeux fouillaient les miens. Comme pour savoir si je voulais continuer ce que nous étions prêts à faire. Je n'en avais jamais eu plus envie que maintenant. 

– Je te fais confiance, Matt, admis-je. 

Il m'embrassa le bout du nez. Je sentis le bout de son sexe frotter contre mon ouverture. 

– Je vais y aller doucement, je te le promets. 

Et c'est ce qu'il fit. Il entra d'abord doucement, pas tout à fait entièrement, en moi. Ça me faisait mal, je m'y attendais, mais c'était soutenable. 

DESPITE LIES (histoire intégrale)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant