Un ennuyeux débat, histoire de papoter

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Bonjour !

Comment s'est passé votre journée ?

Merci à  Sloliya in-activity HogwartsZaza58 fairyvb HermioneRogers0 qui continue à suivre -et à construire - ce "livre" et bienvenue à Tsun-Amie et CritiquesMechantes -n'hésitez pas à aller voir vos comptes mutuellement, vous êtes toutes des personnes formidables qui méritent de se rencontrer ! Merci à tous pour vos retours sur la dernière partie !

Aujourd'hui je tente encore une autre sorte de contenu, après vous avoir parler de nous, puis de notre aisance plus ou moins grande avec le format numérique, de nos passions et enfin, vous avoir proposer une réflexion sur un problème d'organisation dans l'écriture, je vais vous parler de quelque chose qui touche un peu plus à la sociologie.

Aujourd'hui, comme tous les matins ou presque, je me lève, je prend mon téléphone qui charge à côté de mon lit et je descends déjeuner en me baladant sur les réseaux sociaux. Ma mère me fait la remarque suivante : "Tu pourrais lâcher ton téléphone ? C'est quand même incroyable ! A peine levée, tu pianotes déjà sur ce machin !". Je prends tout d'abord la remarque très désagréablement, râle un peu, argumente que je parle d'un tournage futur avec des amis, puis pose finalement mon téléphone, renfrognée.

Alors que l'on entamait notre part de tarte à la cerise ce midi avec mes amis, un de ceux-ci se plaint et raconte exactement la même anecdote que moi. Je lui réplique alors que j'ai vécu à peu près la même chose ce matin, et après que nous aillons largement râler sur nos parents, nous avons débarrassé nos plateau et nous sommes rendus au foyer. Là, personne n'aillant plus rien à dire, nous avons machinalement sortis les uns après les autres nos téléphone sur lesquels nous avons pianotés chacun de notre côté, jusqu'à ce qu'un de mes amis pose violemment son appareil sur la table du foyer en lâchant un mémorable "Bordel mais ils ont raison nos vieux !" qui a fait se retourner la moitié des personnes présentes. S'en est suivi un débat que tu as déjà sans doute abordé avec tes parents : "Sommes nous dépendants de nos téléphone ?". Ce à quoi la réponse est "Oui, totalement". Du fait du travail de mon père, je parle souvent avec lui d'études sociales. Ce débat m'a rappelé ce qu'il m'avait lui même dit un jour que nous faisions à peut près les mêmes réflexions que celles que l'on avait avec mes amis. Il m'avait alors assuré que ce n'était pas totalement notre faute, que nous avions grandi avec cela et que la société nous poussait à consommer toujours plus d'écran. Cependant n'allait pas croire que cette phrase était une réponse facile du type : "c'est le système, ce n'est pas du tout notre faute". Cette réflexion se doit d'être suivi d'une autre : réaliser le temps que l'on perd sur nos écran, coupés de la réalité, c'est le premier pas vers une meilleure consommation des écrans. Ce qu'il faut aussi comprendre, c'est que ce n'est pas mal d'aimer consommer des écrans à contrario. Les réseaux sociaux par exemple sont quand même des chose formidables, et pas plus tard que hier soir encore, je parlais avec ma québecoise favorite qui habite carrément sur un autre continent. Je pense, en conclusion, que internet est une chance dont il faut savoir profiter avec parcimonie. Nous devons vivre avec notre temps sans tomber dans l'excès. Quand au réflexion fermées de personnes plus âgée qui nous dispute en sortant leur amorce de phrase fétiche, "Moi de mon temps...", sachez que pour l'anecdote, Socrate crachait déjà sur les nouvelles générations adolescente de son temps : autant dire que ce n'est pas neuf ce genre de débat.

Bref, j'espère ne pas trop vous avoir ennuyé avec mon petit discours que vous avez sans doutes déjà entendu moultes fois.

Et vous ? Vous êtes vous déjà interrogé sur l'impact des écrans sur nos vies ? Pensez vous devoir réguler votre consommation ? Avez vous d'autres réflexions dont vous voudriez nous faire part sur ce sujet ? Que faites vous de votre temps libre, en dehors de wattpad et des réseaux sociaux ?

J'attend avec impatience vos réponses !

I don't wanna write a fucking fanfictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant