Elizabeth.

11

J'ai si mal à la tête que je ne veux pas ouvrir les yeux. J'ai tellement honte de ce que j'ai fais que je ne veux pas ouvrir les yeux jusqu'à ce qu'il parte. J'entend un léger ronflement m'indiquant qu'il dort encore. Bordel, pourquoi j'ai fais ça ? Pourquoi,  je lui ai fais l'amour ? Mais qu'elle conne. Qu'elle conne ! J'ai envie de vomir tellement je me dégoûte. 
Je sens le lit bouger, il a du se remettre sur le dos. Un soupire sort de sa bouche et je l'entend se frotter le visage et marmonner des choses en russe. Anatoli se lève du lit et je l'entend ramasser ses affaires. J'ouvre un œil et je vois son cul nue sortir de la chambre. Quelques secondes plus tard, c'est l'eau de la douche qui se fait entendre.  J'entend la sonnerie de mon téléphone. Je soupire, me lève et enfile un peignoir. Ça ne peut-être que Andrew. 

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De : Andrew 
A :Eliza
J'ai pris des cafés. J'arrive. 
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Putain de merde. J'attrape la veste d’Anatoli,  son veston et son arme qui traînent toujours par terre. Et au moment ou la porte de l'appartement s'ouvre, je claque la porte de la salle de bain et saute dans la baignoire avec tous ses affaires dans les mains dont une de ces armes. Le russe lève un sourcils me voyant arriver sous sa douche.

"-Eliza ?
-JE SUIS SOUS LA DOUCHE !
-Ok."

Le brun attrape son arme près à le tuer.

-Non, tu vas tout gâcher... Il vient juste de m'accorder sa confiance, laisse moi un peu de temps.

Sans m'en rendre compte,  je me suis mise à le tutoyer. J'écarquille les yeux quand je me rends compte de ma connerie. Mais il m'a déjà attrapée par la gorge et plaquée au mur, il ne sert pas vraiment juste ce qu'il faut pour  que l'air puisse passer. "Moya ochered' zanyat'sya s toboy lyubov'yu, Elizabeth i, chert voz'mi, ya etogo khochu. (C'est a mon tours de te baiser Elizabeth et bordel que j'en ai envie.) Me chuchote t'il à l'oreille alors que je sens son pénis contre le bas de mon ventre. Non, non. Andrew est de l'autre côté de la porte. Il est complètement fou ! Ses lèvres se posent sur mon cou et je sens déjà des frissons dans mon entre-jambe. Il défait le noeu de mon peignoir et sa main vient directement caresser mes lèvres puis mon clitoris. Je lâche ses vêtements en couinant. Il insère deux doigts en moi et bordel qu'il a des doigts épais. je mord son épaule pour ne pas gémir trop fort. Anatoli fait des mouvements de vas et vient ainsi que des cercles à l'intérieur de mon vagin et joue avec mon clitoris de son pouce. Il observe mes expressions comme s’il n'était pas sûr de lui. Alors que je suis a deux dois de venir, il retire ses doigts, attrape une de mes jambes pour la placer au niveau de sa hanche et de son autre main,  il attrape son sexe pour le rentrer en moi. Mon gémissement se perd contre son torse alors qu'il commence des puissants coup de reins. Il veux faire vite et il le faut. Mais je suis pas sûr de pouvoir contrôler mon cri quand l'orgasme va prendre possession de mon corps. Anatoli doit sentir les contractions de mon périnée sur son pénis car il lâche le mur pour mettre sa main devant ma bouche pour pouvoir étouffer mes cris. Quand ses puissants coup de reins font trembler tout mon corps et des spasmes me parcourent de la tête au pieds, je viens dans un cri étouffé. Bordel, le meilleur orgasme de ma vie alors que ça a été si rapide. J'ai envie de pleurer tellement c'est incroyable. Le russe attrape mon autre jambes pour me soulever,  continuant de s'acharner et s’attaquant à ma poitrine, titillant un de mes tétons. Et bordel, je sens des spasmes me reprendre et cette chaleur reprendre possession de mon corps.  Anatoli me regarde surpris avec ses grands yeux bleus. Et je commence à jurer tellement que cette sensation est bonne. Alors que je suis à deux doigts de jouir une nouvelle fois, le brun prend possession de ma bouche pour étouffer mon cri dans la sienne. Je le sens vibrer en moi, m'indiquant que lui aussi à jouit. Je laisse ma tête retomber contre le mur à bout de souffle alors qu'Anatoli me regarde fier de lui. Et dire qu'hier on aurait dit un puceau avec sa timidité soudaine. Je lâche un rire et il me repose.