Je regarde le convoi partir. Soit c'est la fin soit c'est le renouveau. Pour la première fois en 19 ans d'existence je souhaite la mort de quelqu'un. Je veux qu'Andrew meurt ce soir. Je n'ai plus envie d'entendre sa voix dans ma tête, de voir son visage quand je ferme les yeux, j'ai plus envie de penser à lui. De le voir dans mes cauchemars enlever mes vêtements un par un sans remords incapable de crier ni même de bouger. Je veux pouvoir rentrer chez moi. Je n'en peux plus de compter les jours qui me séparent de mon père. Je veux pouvoir le serrer dans mes bras, ses bras me réchauffent le coeur.
Point de vu d'Anatoli.
Je l'ai vu du haut de sa fenêtre, nous regarder partir. Elle a peur, mais elle n'a pas de raison. Ce soir Andrew est un homme mort. Je ne sais pas encore ce que je vais faire de lui ni même de Sébastien. Je les veux tout les deux. Bizarrement, j'ai plus la haine contre le roux que Sébastien alors que c'est lui qui m'a fait perdre une très grosse somme d'argent. Ce soir, je vais faire un joli carnage. J'ai hâte, ça va être amusant.
Il ne nous faut pas longtemps pour arriver dans la forêt où il cache son hangar. Mes hackers ont réussis à pirater leurs caméras. J'envoie un message groupé à mes équipes qui sont un peu partout dans sa misérable ville. Je veux tout de lui. Je veux tout lui prendre. Je vais tout lui prendre. Tout est ok. Je fais signe aux snipers d'avancer en premier pour neutraliser tous les gardes qui rôdent. Je veux que ce soit parfait et ça va l'être. On avance doucement éclairés par la lune. Aucun bruit ne résonne dans mes oreilles mis à part ces magnifiques bruits de corps qui tombent par terre, raides morts.
Au bout de 20 minutes, on arrive enfin devant. Je lance un regard à Nate, son sourire veut tout dire.
Il ouvre la porte d'un coup sec et tire dans le tas en les saluant haut et fort. Un explosion se fait entendre. Il doit y avoir des bombes là dedans. Il est bien équipé etot navoz (ce fumier), il cache bien son jeu. Je fais signe à tout le monde de rentrer. Je veux un massacre !Une brune me stope, son arme braquée sur moi. Cléophé, petite garce.
"-Tu es un homme mort. Crache t'elle alors que je lui sourit"
Je tape avec la pomme de ma main sur son flingue. Mon geste l’a surprit mais elle ne la pas lâchée pour autant. Dans sa surprise, je lui fais une clef de bras la faisant geindre de douleur. Elle se démène comme elle peux mais je suis plus fort qu'elle. Dans un mouvement brusque, je lui brise le bras. Oui, c'est ça. Je veux t'entendre crier de douleur. Bozhe, mne eto nravitsya (Dieu que j'aime ça.) Je la pousse au sol, la laissant tomber comme une der'mo ona (merde qu'elle est). Elle lève la tête vers moi, le regard pleins de haine. Qu'est-ce que j'aime ca. Je lui fais signe de se relever. De se battre. Je veux du sang. Elle se lève tant bien que mal, son bras pendouille. La brune fonce sur moi aveuglée par sa haine. Quelle mauvaise idée, elle ne réfléchit plus. J'attrape son visage rapidement entre mes mains et lui assène un coup de boule au milieu du visage. Le craquement de son nez est une mélodie si douce à attendre, ça m'en fait même frissonner de plaisir. Je lui donne un coup de poing cette fois ci, toujours au milieu du visage, la faisant tomber en arrière. Elle est si faible. Andrew engage vraiment n'importe qui, je suis déçu. Je voulais de l'action.
Je m’ accroupie avant de charger mon arme. Cléophé ne me regarde plus avec haine mais avec désespoir. Je veux qu'elle me supplie. Mais par toute attente, je sens qu'on encercle mon cou, je me retrouve vite à terre. Shlyukha (la pute), ça va finalement être plus drôle de la tuer. Ses cuisses serrent mon cou alors qu'elle est assise sur mon dos. Son bras vient rejoindre mon cou en tirant de toutes ses forces. Ça fait un mal de chien mais je me sens vivant. C'est l'extase pour moi. Je l'attrape par les cheveux la faisant basculer en-avant. Je m'installe à mon tour sur elle, la frappant de mes poings de toutes mes forces. Comment ose t'elle me toucher. Nikto ne imeyet prava prikasat'sya ko mne. YA udaryu yeye tak sil'no, chto nikto ne uznayet etu suku (Peronne n'a le droit de me toucher. Je vais tellement la cogner que personne ne la reconnaîtra cette pute). Je laisse la colère m'envahir faisant trembler tout mon corps de haine. Je continue de la frapper même si elle ne bouge plus. Dans un cri de rage, je donne un dernier coup. Elle est méconnaissable et j'en suis fier. Son nez est complètement arraché et on peux voir quelques bouts d’os ici et là. Je me relève, soufflant tout sourire. Je tire sur mon gilet pare-balles, bordel, j'ai chaud. Je lève la tête et croise le regard d'un homme qui va mourir ce soir. Sébastien. Il n'est pas serein du tout, il a du voir toute la scène. Je lui réserve bien pire. Je sourie tout en m’avançant vers lui, il recule mais mon plus fidèle allié l'arrête dans sa fuite, posant son canon chaud sur le frond. Je fais les quelques pas qui me séparent de lui tout en essuyant la sueur de mon front laissant sûrement encore des traces de sang sur mon visage. Je jette un regard au hagard. Mes hommes ont clairement l'avantage, tout ce matériels sera bientôt à nous.
"-Dis moi Sébastien, ou est Andrew ?
-Pourquoi, je te le dirais sale fils de pute ?
-Dit moi ou est Andrew, je ne suis pas d'humeur. Ordonnais-je en pointant mon arme sur ses couilles.Il blanchit rapidement alors que Nate tire un balle sur un homme qui voulait le sauver.
-Va au diable !
Je tire tout en souriant. Ce cri est si bon ! Il se laisse tomber à terre les mains sur les parties intimes. Ça doit être si douleureux pour lui mais si bon pour moi. Je m'abaisse à sa taille. Son regard et si haineux que ça me fait sourire.
-Ou est Andrew ?
-Sûrement entrain de réaliser un de ses fantasmes ! Violer tête d'ange dans ton lit !Je rigole, un bon rire franc.
-Tu penses vraiment qu'elle est en sécurité chez-toi ? Ça fait des jours que Nate lui-même surveille ton maudit château ! Vu le nombre d'hommes présents, combien assurent la sécurité de la gamine, hein ?! Je suis sûr qu'il à déjà mit la main sur elle ! Il attendait que ça, que tu fasses une attaque contre quelqu'un mais ce con ne pensait pas une seconde que la gamine allait ouvrir sa bouche. J'imagine même pas ce qu'il va lui faire quand il va l'apprendre !
Nate pose une main sur mon épaule. Il prend le relais. Sans attendre, je me relève pour aller à ma voiture, lui mettant un coup de pieds dans les testicules. Tu vas tellement souffrir, je vais m'occuper de lui moi-même quand il sera bien attaché dans ma salle de torture ce connard.
A peine démarré, je sens mon téléphone vibrer. Elle est rentrée dans mon bureau. Elle fouille un peu partout, elle cherche quelque chose pour se défendre.
Point de vu d'Elisabeth.
Ça fait 3 heures que j'attend à la fenêtre, il doit y avoir une dizaine d'hommes qui sécurisent le château, beaucoup moins que d'habitude. Mais ça fait dix minutes qu'il y a de l'agitation. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Si c'est à cause d'une possible intrusion ou si c’est à cause de l'attaque au hangar.
Alors, j'attend dans la peur, debout devant la fenêtre.
Je ne sais pas ce qu'il se passe au hangar et je n'ose même pas l'imaginer, ça doit être une mare de sang.Ah mon dieu ! Les deux hommes devant la grille tombent raides à terre. La grille blanche s'ouvre alors que des hommes armés remontent la route à pieds. Il est là. Il est venu pour moi. Son regard se pose immédiatement sur moi, comme si il savait où j'étais depuis toujours. Mon coeur loupe un battement avant de battre à toute vitesse et que ma respiration s'emballe. Non, pas maintenant. Il ne faut pas que je fasse une crise de panique. J'essaie de reprendre ma respiration, je recule et cours jusqu'au bureau du russe. Il doit bien y avoir des armes quelque part ! Je fouille un peu partout jettent tout sur mon passage. J'ouvre un tiroir et tombe sur deux couteaux à côté d'une pile de dossier. Je ne cherchait rien d'autre, je les prend et me cache sous le bureau. Avec un peu de chance, il ne vas pas me trouver. J'essaie de contrôler ma respiration mais c'est impossible.
Ils sont entrés, j'entends le raffut.
"-Elizaaa... Où te caches tu mon amour ? Demande une voix que je ne connais que trop bien en montant les escaliers. Je t'avais bien dis que je viendrai te chercher et je tiens toujours mes engagements. "
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Elizabeth.
RandomElizabeth & Anatoli Il est fou, libéralement bon à enfermer et je vais finir comme lui. Histoire terminée en correction. -Histoire violente avec des scènes qui peuvent choquer. -Histoire à caractère sexuel consentie et non consentie qui peuvent ch...