Chapitre 34 : La pédagogie selon Jiraya senseï

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Nda : mon téléphone me fait chier et il mélange les chapitres je suis désolée de ce but que je n'arrive pas à régler et si vous voyer le chapitre 32 après le chapitre 36 ou 38 c'est pas mon choix 😅

P.D.V Un certain Kitsune qui nous a bien fait chier.

Pourquoi tout était si blanc et froid ?

Comme si quelqu'un d'autre que moi et mes fabuleuses queues avait pris possession du corps du gosse.

Gosse qui par ailleurs, bien qu'il me fasse régulièrement chier, m'amusait beaucoup et au fond -bien que je ne l'avouerais au grand jamais au public- m'attendrissait.

Ses parents étaient morts, on le traitait comme de la sous-merde au village alors qu'il avait sauvé cette pauvre agglomération de bouseux de ma puissance, son petite copain se cassait du jour au lendemain puis le frappait à mort avant qu'il ne doive lui aussi quitter son village pour sauver ce crétin de Sasuke sans compter des deux tentatives de kidnapping de l'Akatsuki où il avait du se servir réellement de son arme blanche pour la première fois.

Et tout cela à cause de moi.

Pourtant je pouvais vous garantir que cela faisait une éternité que ce Baka d'Uzumaki n'avait pas versé une larme.

Alors oui, moi le grand Kyubi avait prit l'étrange décision de protéger ce petit qui malgré ses malheurs avait toujours la force d'avancer et de sourire à ses amis.

J'avais beau sentir le sceau se délier par la force de cette présence (fort jolie par ailleurs...) si je eu l'envie de prendre possession du corps du gosse pour tuer son misérable village c'était bien pour venger ces années entières de persécutions.

P.D.V. Jiraya

Le soleil au lointain illumina la ligne d'horizon, imposant sa chaleur à l'inclinant royaume de la nuit. A sa douce lumière je relevai la tête, baillant avec force avant de déposer mon regard sur le petit enfant blond allongé sur une couchette, presque aussi pâle que la fine couche de neige au sol.

D'un geste sur j'ôtai la serviette humide du front du petit ange transpirant malgré le froid, un soupir sur mes lèvres ; l'état de Naruto ne s'améliorait toujours pas. J'avais moi-même de grande difficulté avec mon chakra toujours pas restauré ; ne parvenant même pas à allumer un simple Kâton.

J'espérais que la réponse arriverait au plus vite, le chakra qui se dégageait de Naruto n'avait rien de naturel et était emprunt d'une présence démoniaque qui pourtant semblait se contenir.

Une branche craqua, je le retournais, armes en main pour me retrouver face à Pakkun, un rouleau accroché au cou devant contenir le message. Alors que je poussais un soupir inaudible pour tout humain, le chien s'approcha avec nonchalance pour venir s'assoir devant moi.

- Je pense que c'est la seule fois de mon service où j'ai vu Kakashi si pressé et ponctuel...

Sur ces mots, Pakkun s'allongea sur le sol gelé à mes cotés.

Un sourire sur le visage, je détachais le message de son collier pour l'ouvrir d'un geste sec et précis et commençais ma lecture. Au fur et à mesure de celle-ci, ma pression sur le papier se fit plus forte à chaque mot, s'il l'on devait traduire ce message ou pouvait procéder ainsi ; « C'est ma fille, elle est terroriste de son plein gré, si vous êtes dans la merde c'est de votre faute, vous auriez du la prendre au sérieux. Le remède pour ce poison est simple ; le sang de votre ennemie qui soit est morte, soit gardée par un Uchiwa sur les nerfs donc bonne chance. »

J'avais beau lire et relire ces quelques mots, la colère ne montait toujours pas en moi. Un terrible dilemme avait du avoir lieu à l'intérieur de Kakashi et ce doublé d'une certaine peur ; en effet soit il me donnait les clefs pour tuer sa fille et sauver son élève, soit il laissait Naruto se faire posséder par le Kyubi sans pour autant savoir si le jeune et belle ninja (taille de bonnet D/E OUI IL N'Y A QUE CA QUI M'INTERESSE !) avait survécue.

Aiko  Tome 1 : Le temps sans retourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant