Le Démon De Mon Cœur 2 {ZeldrisxOC}

Chapitre 38: Punition De Zeldris

Ce n'est que tard dans la nuit que nous rentrons enfin chez nous, grimpant dans la chambre de Naoki je dépose ce dernier dans son lit, la fatigue aura eu raison de lui durant le trajet. Finissant de border ce dernier je dépose un tendre baiser sur son front, sa croissance continue à une allure folle.

Zeldris: Viens te coucher maintenant, tu as besoin de repos.

Je me retourne pour observer mon prince appuyé contre l'encadrement de la porte, le rejoignant dans le silence pour ne pas réveiller notre fils je lui souris.

Moi: Diane va s'occuper des préparatifs du mariage dans la forêt du roi des fées.

Zeldris: Je suppose qu'elles s'en sont doutés en voyant ta bague.

Rejoignant notre chambre j'en profite pour me mettre en nuisette, je me faufile sous la couette suivit par mon prince qui m'enveloppe de ses bras nus et musclés.

Moi: Je t'aime.

Zeldris: Mais moi plus.

Moi: Commence pas ce jeux !

Il rigole en déposant ses lèvres contre les miennes, je peux enfin me reposer sans avoir à me soucier de quoi sera fait demain.

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Le lendemain à mon réveille je reste au lit avec Zeldris pour profiter de sa présence, blottis dans ses bras je respire sa douce odeur, si je le pouvais je ne quitterai jamais ses bras.

Zeldris: Tu ne m'as pas dis à combien de temps tu en étais.

Moi: Quasiment deux mois, si je me souviens bien.

Zeldris: Alors la dernière fois que tu était malade, s'était à cause de ta grossesse ?

Moi: J'ai pensé la même chose, mais j'accumulais les deux en même temps.

Je viens le faire basculer sur le dos laissant mes mains sur le matelas de chaque côté de son corps.

Moi: Ce qui veut dire. Je viens m'installer à califourchon sur lui pour venir me pencher vers son visage. Que pour m'avoir refiler tout tes microbes, tu devras payer.

Zeldris: Rappel moi qui m'a collé alors que j'étais malade ?

Moi: Dis donc, t'es culotté de dire ça, je me suis occupé de toi.

Il se redresse me forçant à faire de même, son visage se glisse dans mon cou tandis que l'une de ses mains descend avec lenteur la bretelle gauche de ma nuisette.

Zeldris: Je n'y suis donc pour rien, et nous étions deux malades. Il mordille avec sensualité ma peau, je frissonne. Contrairement à toi qui m'a mentie, je dois encore te punir.

D'un geste il me fait basculer en arrière devenant le dominant, inconsciemment je rougis il sait très bien l'effet qu'il me fait dans une telle posture.

Moi: Naoki pourrait entrer.

Zeldris: Rassure toi. Son visage venant près de mon oreille il se met à murmurer ses quelques mots. J'ai fermé la porte pendant que tu dormais.

Je l'observe amusé, ses lèvres viennent rencontrer les miennes tandis que son corps vient se coller un peu plus contre le mien.

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Une fois le petit-déjeuner prêt les garçons descendent de l'étage où ils s'occupaient de nettoyer l'épée de Naoki, il en prend soin comme à la prunelle de ses yeux. Le journal en main le premier article attire mon attention, il s'agit de notre victoire contre les vampires, une bouché dans une viennoiserie la main de Zeldris vient se poser sur mon front me sortant de ma lecture.

Moi: Qu'est-ce que tu fais ?

Zeldris: Tu es pâle.

Moi: Je vais bien pourtant, ne traîne pas, Naoki va t'attendre pour s'entraîner.

Naoki: En plus tu m'as promis d'apprendre à manier mon épée !

Je rigole en avalant une gorgée de mon jus de fruit, il adore s'entraîner avec son père, c'est devenue son idole, et puis après tout tel père tel fils, mais j'ignore où il arrive à sortir une telle motivation avec la chaleur qu'il fait.

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Une fois les garçons partit s'entraîner depuis un moment je passe la porte d'entrée pour venir accrocher du linge sur un fil, Zeldris et Naoki s'entraîne à quelques pas d'ici torse nu, la musculature de notre fils commence à bien ressortir. Remarquant ma présence Zeldris s'absente un bref instant de l'entraînement quotidien pour me rejoindre.

Moi: Fais attention à ce qu'il ne se déshydrate pas.

Zeldris: Ne t'inquiète pas, c'est plutôt à toi de faire attention. Voyant son air soucieux je finis d'attacher un tissu au fil. Tu n'as toujours pas eu de crise, ça peut arriver à tout moment.

Moi: Ou pas du tout si mon corps s'est habitué.

Je dépose un doux baiser sur sa joue pour retourner dans la maison, préférant tout de même écouter ses conseils je prends donc une pause dans un bon bain, tous mes muscles se détendent aussitôt, je comprends mieux pourquoi je prenais du poids. Passant un coup d'eau sur mon visage une migraine semble s'être éprise de moi, les chaleurs vont être importantes durant les prochains jours, je sens que ce ne sera pas de tout repos comme pour les filles.

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Ne supportant pas la chaleur je décide finalement de rester en nuisette, dans le couloir je fixe la porte à côté de celle de Naoki, heureusement pour nous cette pièce avait été construite dès le début, elle servira de chambre pour le bébé. Le repas étant prêt je rejoins les garçons dehors, Naoki en a profité pour se baigner dans la petite rivière devant la maison.

Naoki: Tu viens te baigner maman ?

Moi: Sans façon, il est l'heure de manger

Une fois Naoki sortie je lui donne une serviette pour qu'il puisse se sécher ainsi qu'à Zeldris qui lui aussi n'aura pas su résister à la tentation, son torse nu et humide me fais rougir.

Naoki: J'ai le temps de prendre une douche ? Questionne le garçon sa serviette sur la tête, ses cheveux en bataille son adorable. Merci papa pour aujourd'hui.

Moi: Bien sûre.

Il récupère son épée au pied d'un arbre, rentrant à toute vitesse il semble pressé de manger, sur ma gauche Zeldris me fixe avec attention.

Moi: J'aurais besoin de toi pour emménager la chambre à l'étage, je ne me vois pas pousser tout ses cartons seule.

Zeldris: On a le temps, tu ferais mieux de te reposer.

Moi: C'est vrai, mais il doit sans doute nous manquer quelques affaires, j'aimerai pouvoir faire une liste.

Zeldris: Je m'en occuperai de ta liste. Il m'envoie sa serviette recouvrant mon visage, je retire cette dernière en grommelant le faisant rigoler. Je sais ce qu'il faut prendre, allons manger.

Je lui renvoie la serviette de la même manière que la sienne, il la retire un sourcil arqué.

Moi: C'est toi qui a commencé.

Je lui adresse un clin d'oeil en faisant demi-tour, il me donne une accolade nous faisant rire de bon cœur tout deux, je n'arrive toujours pas à réaliser que notre famille va s'agrandir de nouveau.

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