chapitre8: le sommeil éternel de Balthazar.....

46 6 5
                                    

Après avoir senti mauvais durant tout le reste de la journée je n'ai pas pu me résoudre à abandonner ce que m'avait fait Balthazar.........

Couché sur mon lit et après avoir difficilement tenté de retirer cette odeur d'ail sur moi, je repensai à la scène. La même qui s'était produite ce matin lorsque je ressentis avec l'aide de "6" la présence de Balthazar. <<il est là!>> me dit " 6".............

Je me suis immédiatement levé pour regarder à travers ma fenêtre. Je vis Balthazar marcher devant chez moi avec un paquet en main et des œufs qu'il allait sûrement balancer sur la vitre de ma chambre comme chaque Vendredi soir depuis la classe de 6e.  Mais j'étais desormais résolu à mettre fin à tout ça une bonne fois pour toute!

Je suis passé entre les murs et j'ai attéri dans notre jardin. Je regardai Balthazar lancer ces œufs sur la vitre de ma chambre, l'air heureux. J'entendis "6" me dire:<<vas-y! Il est juste à ta portée!>>. Je respirai un bon coup et je saisis Balthazar par le cou. Il me regarda l'air térrifié mais je ne faisait que sourire. Lui, incapable de crier, se mit à pleurer..............

Mais n'écoutant point ses supplications, je me suis vengé pour toutes ces années de souffrance, de lui faire payer ses actions.........

Je l'envoyai dans une pièce où moi seul connaissait l'existence. Toujours poussé par "6", je commençai mon acte:

Assis tout en regardant Balthazar, je le frappai en lui donnant des coups de poings sur son visage

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Assis tout en regardant Balthazar, je le frappai en lui donnant des coups de poings sur son visage. Ces coups ressemblaient à des traces de brûlures intenses, il hurlait de douleurs et j'adorais ça. Il se mit à me supplier mais je ne l'écoutais pas. Je pris soin de lui arracher les doigts un par un et chacun à la suite de l'autre ce qui finit par lui faire hurler de douleurs.  Je ressentais une extase que personne ne peut décrire..........

Lorsqu'il se mit à crier de plus en plus et me supplier d'arrêter, je lui coupai les orteils pour qu'il hurle de plus en plus.

Je le fouettai avec un fouet que me donna "6", "un fouet  démoniaque" selon lui. Son corps s'en retrouva rempli de brûlures! Le Matthew d'avant n'aurait jamais pu maltraiter une mouche mais le Matthew de maintenant le fait et.... Adore ça.

Tout se finit exactement comme vous pouviez l'imaginer. Je ressentis une passion, un désir si grand que personne ne pourrait le décrire ..............

 Je ressentis une passion, un désir si grand que personne ne pourrait le décrire

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

À suivre.......

Mon pacte avec le diable....Où les histoires vivent. Découvrez maintenant