C H A P I T R E 9
« Est-ce bon ? Est-ce mal ? »
Zayn : Alors voilà c’est la chambre d’amis, c’est la salle de bain, il y a les draps et tout ce dont tu auras besoin normalement. Humm, si tu as besoin de quoi que ce soit n’hésite pas à me le demander ok ?
Luna : bien sûr. Merci trop Zayn, tu me sauve la vie… Je ne sais pas ce que je dois faire pour te rendre ce service !
Zayn : Rien Luna, rien. Je veux seulement ton bonheur…Zayn s’approcha tout doucement et caressa les cheveux de la jeune rousse, et puis, la prit dans ses bras. Il la serra tellement fort qu’elle croyait toutes les parties brisées de son corps se recoller de nouveau. C’était un bon sentiment, un bon moment. Elle aura aimé que ça dure à jamais, cette fantaisie tellement magnifique qui la ressentit spéciale de nouveau. Mais est-ce que ça va durer ?
La mère de Zayn vint de quitter la maison vers le centre commercial, Zayn était dans la cuisine entrains de préparer des omelettes. Devant le miroir de la salle de bain, Luna s’apprêtait pour mettre son pyjama, elle passa sa main sur ses cuisses et les caressa. « T’ES TELLEMENT BONNE TU SAIS ? » « S’il… s’il te plait… arrête… j’en peux plus… je te… jure… » « Ce n’est que le début ma princesse, soit patiente !» « Je veux… mourir… »
… : TU VIENS ?
Luna : humm –essuyant ses larmes- ouais Zayn ! Deux minutes.
Zayn : D’ACCORD !Les morceaux de nourriture n’avaient aucun gout dans la bouche de Luna. Elle mâchait et mâchait lentement avec l’esprit ailleurs. Zayn la regardait intensément, il détaillait chaque millimètre de son beau visage, ses yeux noisettes se baladèrent entre les coups de vie parfaitement dessinés sur le corps de cette jeune fille torturée. Il imagina les mains de Marc se balader sur ce corps innocent, il était énervé, mais ne pouvait pas le montrer devant sa fleure toute faible.
Luna : Zayn, tout va bien ?
Zayn : Je n’arrive pas à imaginer ce que Marc a pu te faire. Je n’arrive pas à imaginer ce que tu sentais en voyant tout le monde te juger. Je n’arrive pas à imaginer l’état dont tu étais en te sentant seule sans aide. Je n’arrive pas à imaginer comme c’est cruel ce que t’es obligée à endurer chez toi. Je n’arrive pas à imaginer tout ça. Toute cette peine. Toute cette douleur dans un seul corps. Comment ? Mais comment ? Tu es tellement forte que… Que je me sens faible et impuissant face à toi...Luna : Arrête Zayn, je ne suis pas forte. Non, du tout. Cacher ma peine derrière mon sourire hypocrite ce n’est pas de la force. Si j’étais aussi forte que ce tu penses, j’aurais pu pleurer devant le monde entier. Les gens forts, qui ont la vraie force, ils ont le pouvoir de pleurer, de crier, de briser la glace et même déchirer leurs poumons devant le monde entier pour montrer qu’ils vont mal et qu’ils ont marre de tout la merde où ils vivent. Mais moi, j’ai tellement peur, je suis tellement paralysée et malade que je ne peux même pas pleurer devant le miroir… C’est perturbant Zayn… C’est plus compliqué que ça je te jure… Je me sens tellement conne, tellement petite devant tous ces complications immenses… Je ne tiens plus cette vie, comme personne ne peut tenir mes nuits…
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Loge n=°4
FanfictionC'était elle ce système solaire qu'elle pouvait narguer la lune qu'elle détendait entre ses mains frêles un bout de soleil. Sa clope habitait sa bouche rouge flashy , rouge vie , rouge mort , rouge comme le sang qui effleurait ses lèvres de les avoi...