C H A P I T R E 20
« Labyrinthe »
Luna : -en pleurant- Où suis-je ?
… : -rigolant- Dans ton nouveau monde princesse…
Luna : Qu’est-ce que tu vas me faire cette fois ? Me violer encore une fois ?
… : non, princesse, on va bien nous amuser.
Luna : Tue-moi ! TUE-MOI PUTAIN POURQUOI TU ME FAIS CA JE TE DETESTE ! –elle s’arrêta en sentant une gifle la secouer-
… : La ferme ! Tu ne parles que quand je te l’autorise d’accord ? Et maintenant je vais t’expliquer les règles du jeu…
Luna : Mais Marc c’est quoi ton problème ? Pourquoi tu me fais ça ?
Marc : tu as tout dévoilé à tout le monde, j’ai été viré du lycée, mes parents ne veulent plus m’héberger, je suis dans la rue sans rien et tout ça c’est à cause de toi ! Maintenant tu vas payer cher… très cher même. Ta gueule maintenant et écouté-moi. Ça serait un labyrinthe, au milieu de ce foret, de cinq niveaux. Tu as cinq jours pour réussir à t’en sortir d’ici vivante et sans mon aide, mais si tu n’y arrive pas, je vais te tuer, te découper et envoyer tes yeux dans une boite à Zayn avec un chaleureux remerciement. Maintenant, -elle entendit un claquement- que le jeu commence.Quand vous refusez de dénoncer forfait et continuez à vous battre mais rien de tout ça ne semble aider. Quand la vie se montre belle et vous sourit juste pour cacher ses arrières plans diaboliques. Quand le destin jure de ne jamais vous laissez respirer ou même aspirer une bouffée d’air avec laquelle vous survivrez. Quand vos cerveaux ne s’arrêtent de vous dire « avancer » car c’est la nature de l’être humain d’avancer et continuer même à l’enfer. Quand vos cœurs vous hurlent de ne pas faire aucun pas en avant de peur que vous vous fassiez écrasés. Quand le monde entier décide que c’est la fin mais aussi le début d’un nouveau niveau plus dur à endurer. Quand le soleil décide de ne plus vous chauffer mais vous bruler. Quand le ciel ne semble plus pleuvoir mais pleurer. Quand vos membres ne vous obéissent plus et commencent à perdre contrôles. Quand vous commencez à sentir le sang dans les plus fines des veines de vos cœurs et que ça vous stresse à mort. Quand vous voyez les idées et les espoirs que vous avez construits y a pas longtemps s’évaporer comme une vapeur d’eau sans importance. Quand l’enfer semble plus près que les paradis. Quand vos larmes n’existent plus et que la douleur vous déchire. Quand tout autour de vous devient que des simples chiffres pour conter la durée de l’humanité. Quand vos pieds ne vous portent plus et vous vous sentiez vous écrouler sans y arriver. Quand vous vous rappelez du liquide que vous avez reçu de vos mères quand vous étiez encore dans leurs ventres. Quand les tremblements des branches d’arbres donnent plus de sens qu’une explication mathématique. Quand tout se renverse autour de vous et la logique perd sa valeur. Quand vous ne croyez pas que c’est enfin l’apocalypse. A ce moment-là, quand vous y attendez le moins l’univers entier décide de vous surprise et vous foutre une claque mental qui secouera tous vos corps. C’est à ce moment-là que tout aura enfin un sens, qu’on réalisera enfin que « la vie n’est qu’un labyrinthe qu’on quittera morts sans doutes, ce qui nous définit, c’est notre façon de la combattre. Soit tu te montres guerrier, soit tu te montres comme une faible bête couverte d’une chaire humaine. »
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Loge n=°4
FanfictionC'était elle ce système solaire qu'elle pouvait narguer la lune qu'elle détendait entre ses mains frêles un bout de soleil. Sa clope habitait sa bouche rouge flashy , rouge vie , rouge mort , rouge comme le sang qui effleurait ses lèvres de les avoi...