[1] Soraya //L'enfer sur terre

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Il est ma plus belle et triste histoire à raconter.

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1 mois plus tard

Je vous ai bel et bien passée un mois.Durant ce mois il sait passer beaucoup de chose à vrai dire.Je me suis trouver un travail dans un Zara et j'ai pris mon propre appartement.Même si la mère de Younes a insisté pour que je reste chez elle je voulais avoir mon propre chez moi.J'ai déménagé à quelque rue de chez Younes.

Je vois de plus en plus souvent Dounia à vrai dire on était devenu très proche car elle travaille dans le magasin juste à côté du miens.

Venant au sujet que vous attendiez toutes lui et moi.Notre relation est assez bizarre car nous ne sommes pas en couple mais on agit comme si on l'était tient comme par exemple la semaine passée il m'a fait une crise de jalousie car je parler avec Nathan au travail.

Je le vois assez régulièrement car il a exigé à avoir le double de l'appartement bien évidemment je ne voulais pas mais il a forcé.

Je me réveille et pars me préparer un café, lorsque j'ai fini de m'habiller je sors de l'appartement et trouve Younes.

J'ai oublié de vous le dire, il ne veut pas que je prends les transports alors monsieur veut me ramener.

Comme à chaque matin il était devant mon bâtiment.Je monte dans sa voiture et entame la discussion.

-Younes j'ai assez d'argent pour prendre un billet.

Younes:Parfait alors dit moi la date et je prend un jet.

-Hors de question je sais que tu t'ai pas ranger et en plus je veux prendre l'argent que j'ai gagné.

Younes:T'es obliger de faire tes chichis de princesse ou quoi

-C'est pas des chichis mais quand tu te rendra compte que faire de l'argent facilement ne sert à rien tu viendra m'en reparler.

Younes: pourtant tu la très bien utiliser.

-Ne compare pas nos situations je n'avais pas le choix

Younes:Parce que personne voulait de toi .

Je ne lui laisse pas le temps de finir que je claque la porte. Il le sait que lorsqu'il dit des paroles comme ça cela me blesse mais il continue toujours et toujours. Je vais à l'arrêt de bus et sors mes écouteurs pour les enfoncer dans mes oreilles.