j'ai écrit ça à 3h du matin parce que je n'arrivais pas à dormir. c'est aussi la première fois que j'écris à la première personne, alors pardonné moi si c'est pas incroyable ^^
bonne lecture <3
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Je croyais que c'était possible, j'ai voulu croire à cette illusion.
L'idiot, l'abruti et l'imbécile que je suis n'avait pas compris. Tout n'était que qu'illusions, ça l'a toujours été. On se cache derrière un mirage puis derrière un autre car personne ne veut affronter la réalité. Tu as toujours été mon mirage Iwa-chan.
Alors je me suis lancé. Au fond de moi, je savais très bien ce qui allait ce passer, tu m'avais déjà parlé d'elle après tout, mais moi je n'écoutais pas. Je n'ai jamais écouté. Et lorsque, à l'avenir, tu parleras encore d'elle, je continuerais de t'ignorer, je ne t'écouterais pas, je n'écouterais jamais.
J'ai voulu croire, l'espace d'un instant, d'un battement de coeur, que tu partagerais mes sentiments.
Comment ne pas y croire ? L'espoir fait vivre et pourtant c'est lui qui me tue à petit feu. Je croyais que tu m'aimais. Je croyais au bonheur et à l'amour. A la passion éternelle et aux baisers de minuit.
« Je suis désolé Oikawa, mais moi, jamais je ne te verrais de la façon dont tu me vois »
Et tu sais quoi Iwa-chan, ce n'est pas si grave. C'est ce que croyais. Non, en fait, ça aussi, je voulais y croire. Ce jour là, Iwa-chan, j'ai sourit, tu t'en rappelles ? J'avais envie de rire, y avait-il vraiment autre chose à faire ? Comment ai-je put croire, ne serait-ce qu'imaginé un seul instant que cela aurait put arriver ? J'ai été égoïste, je n'ai pensé qu'à moi. J'ai voulu Ken et pas Barbie. Y a-t- il vraiment quelque chose de mal à ça ? Je suppose que oui. Pourquoi sinon, serions nous toujours séparés dans la cas contraire ? J'ai voulu croire au conte fée, croire qu'il m'était destiné. Tu as toujours été le prince de mon histoire, et j'ai voulu croire que tu me laisserais être la princesse de la tienne.
Et puis elle est arrivée. Ta véritable princesse. Je ne la connais pas. Je n'ai aucune idée de qui elle est. Je n'ai jamais su, je n'ai jamais compris. Je ne voulais pas savoir. Je ne le veux toujours pas d'ailleurs. Je sais que tu m'as parlé d'elle. Elle est blonde. Ou peut être brune. Je crois que je ne t'écoutais pas vraiment. Le son de ta voix était camouflé par celui si doux de mon coeur brisé. Tu disais que tu l'aimais. Ça je l'ai entendu. J'était bercé de rêves et d'illusions. Mais à trop regardé le ciel c'est le sol que je me suis pris. On finit toujours par être rattrapé par la réalité, faut croire que qu'on s'envolerait si l'on continuait de rêver. Mais moi j'ai toujours été humble, Tu a toujours été mon seul rêve iwa-chan. J'était prêts à tous les abandonné si cela signifie être à tes côté. Et tu sais le plus drôle ? C'est toujours la cas. Certaine chose ne change pas, elles ne changeront jamais. C'est probablement mieux ainsi. Je pensais que tu était celui qui m'ancrais dans la réalité, en fait, tu as toujours été celui qui me faisait m'envoler.
Je sais additionner. J'ai vite compris que dans ton équation, je n'avais plus de place. Mais qu'en est-t-il de la mienne ? Tu est le x de l'opération. Une fois retiré il n'y a plus d'intérêt à calculer.
Iwa-chan, je ne t'oublierais pas, je ne veux pas t'oublier. Tu m'es plus précieux que le reste de mes souvenirs. Je crois, je crois que je vais être égoïste une fois encore, et ne pas t'oublié. Je ne tournerais pas la page, je ne veux pas. A quoi bon ? Pourquoi vouloir passé à autre chose quand la chose en question ne c'est même pas encore produite ? Non, je ne tournerais pas le page, non je ne passerais pas à autre chose, jamais je ne t'oublierais Iwa-chan. Tant pis si aux yeux des autres je me fais du mal pour rien. Qui sont-il pour comprendre ? Je m'accrocherais à toi, à ton souvenir, et je pleurerais en silence, lorsque je serais seul. Mais devant toi, devant les autres je serais fort. C'est ce que j'ai toujours fait, pourquoi changé une formule qui marche ?
Tu as essayé de m'en parlé, je ne sais pas à quoi tu t'attendais en le faisant. Tu croyais que ce n'était qu'une blague ? Que je te dirais : ne t'en fais c'est du passé tous ça. Je sais que tu cherche à bien faire. Je crois que tu veux que je sois heureux. Je l'espère en tout cas. Hey Iwa-chan, dis moi, veux tu que je sois heureux ? J'aimerais le croire.
Hier tu m'as montré ce que tu comptais offrir à ta princesse. C'est une jolie bague, c'est en tout cas ce que j'ai dit. Tu veux l'épouser n'est-ce pas ? Je n'ai pas osé posé la question qui pourtant me démangeais depuis le premier jour ou tu m'as parlé d'elle. Je connaissais la réponse de toute façon, je ne suis pas aveugle. Elle est belle, la bague, quelle dommage que ce ne sera jamais à mon doigt qu'elle brillera. J'ai sourit ce jour là, et je sourirais aussi le jour de votre mariage. J'aimerais croire que j'aurais la force de venir. Ce n'est pas tout les jours que l'on peut voir l'amour de notre vie se marier avec une personne dont on n'a jamais rien su.
J'ai beaucoup rêver de toi. Ce n'est pas nouveau à vrai dire, ça a toujours été le cas. Mais mes rêves si doux autrefois, se muent petit à petit en cauchemars. Parfois, cela me donne envie de crier jusqu'à ne plus sentir mes cordes vocales, ou peut être de pleurer jusqu'a m'épuiser, je n'ai jamais réussi à me décider. Pourquoi tout finis toujours par se transformer en cauchemar ? Pourquoi est on toujours rattrapé par les monstre et démons de notre réalité ?
Je ne sais pas, je n'ai jamais su a vrai dire.
Hey iwa-chan,
J'ai décidé que je serais égoïste, c'est mieux comme ça
Alors je te le dit encore une fois, et cent autres encore si c'est ce dont j'ai besoin.
Je suis égoïste.
Je suis désolé.
Je sais que je n'ai pas besoin de te le dire, tu le sais déjà de toute façon.
Bientôt tu te marieras, je suis égoïste de te dire ça.
Hey iwa-chan, je suis désolé.
Je t'aime.
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𝚑𝚊𝚒𝚔𝚢𝚞𝚞 𝚘𝚗𝚎-𝚜𝚑𝚘𝚝𝚜
FanfictionCeci est un recueil de one-shots de l'univers de Haikyuu comme vous pouvez le constatez dans le titre. (Disclaimer : les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont l'oeuvre originale de Haruichi Furudate. Le reste est par contre entièrement de moi)