Une Vengeance Sucrée 2

Chapitre 6:Des regrets

PDVZIA

Je me lève comme tout les matins seuldans mon lit enfin ce n'est pas vraiment comme tout les matins carhier,je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas refuser ce que Lamarm'a fait...ce que nous avons fait car j'étais pleinement conscienteet j'ai accepter par l'amour que je lui portais.Hier je lui ai toutdit,il n'a pas crier de colère mais il était dans l'incompréhensionsauf que nous avons régler cette mésentente et le fait qu'il avaitmal compris mes propos de l'époque car en réalité nous étionsamoureux l'un de l'autre mais lui il l'a compris différent faisantqu'il était partie pour l'armée.De mon point de vue,il n'a surtoutpas assumer et il a préférer fuir plutôt que de me parler et quetout se règle.J'ai fait l'amour avec lui et je ne dirais pas quec'était mauvais même le contraire car je n'ai pas ressenti autantde plaisir et je pouvais sentir tout son désir et sa férocité parla libido qu'il a accumuler de son abstinence sexuelle.J'ai aimermais c'est fini maintenant et nous devons reprendre notre rythmed'ami d'enfance sans plus.Sur le lit,vide de sa présence,j'aperçoisun papier.Il m'indique qu'il est partie tôt et que je trouverai lepetit déjeuner préparer dans la cuisine.Je ne comprends pas cesentiment de déception de ne pas le voir à mon lever mais à quoije m'imaginais.Je sors de ma couverture,je suis encore toutenu,toujours marquer par les actes d'hier soir,je prends une tenuepour le travail et je fonce dans la salle de bain pour me laver deson odeur qui est présente et qui me le rappelle.Ma douche finit jemets ma tenue qui est principalement composé d'un jean bleu,d'unechemise blanche sans oublier mes talons et ma veste.J'arrive dans lacuisine et je ne peux retenir mon sourire en voyant un plat déjàpréparer avec des œufs,des tartines grillés et du fromage ainsique le jus de fruit car je ne bois pas de café.Je chauffe les œufset je mange le tout,j'envoie aussi un message à Lamar pour leremercier de cette petite attention et il est vrai qu'il y a cinqans,il n'aurait jamais fait cela.

Je finis par quitter l'appartement afinde ne pas rater mon bus car même si j'ai déjà mon permis,je doisencore économiser pour m'offrir une voiture.J'ai bien le droit àmon père et ma mère qui veulent m'en payer une car parfois jerentre tard mais j'ai refuser car je veux me la payer par mesressources que j'aurais moi-même gagner.

J'arrive au cabinet,je salue lepersonnel que ce soit les deux infirmières tout comme les femmes deménages qui sont deux et qui se relaient durant la journée afin quele cabinet soit le plus propre possible car nous sommes du domainemédical et qu'il faut une sécurité.En parlant d'infirmière,Magaliefait partie de celle qui travaille avec moi mais elle est aussi monami depuis l'université.

_Magalie : « BonjourZia,tu sembles bien fatiguer en cette matinée.

_Zia:Tu n'as pas idée à quel pointj'ai sommeil.

_Magalie:Je suis sur que tu as passerune nuit torride parce que je te vois mal faire du sport la nuit.

_Zia:(elle fait un geste avec cesdoigts)Chut!ne parles pas si fort,on n'est pas seul et puis on enparlera à la pause.

_Magalie:Compte sur moi car tu viens dem'avouer à demi mot que tu as passer une nuit torride.

_Zia:Tu es vraiment pas possible commefille,allez va  ton poste.

_Magalie:(elle sourit)Oui chef !

Chef,c'est parfois le surnom que l'onme donne au cabinet alors que je ne suis que secrétaire mais c'estparce que je suis très stricte vis à vis des employés et même dudentiste principale Docteur Cheng qui vient d'un pays du sud mais quia voulu exercer au royaume mais qui a la fâcheuse tendance d'oubliersauf quand il est en opération.J'ai d'abord cru que c'était de sonage car il a cinquante ans mais sa femme ,qui est déjà venuplusieurs fois,elle m'a expliquer qu'il a toujours été comme ça.

Quelques heures plus tard,

C'est le moment de la pause au sein ducabinet,je suis assez contente car aujourd'hui nous n'avons eu quequatre patient sur les huis voir dix en une matinée.Je suisactuellement dans mon bureau avec Magalie car on a pris le quotidiende faire de ce lieu,celui où nous mangeons et discutons ensembledurant les pauses.