𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟕

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Elle

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Elle.

Voilà qu'il voulait se barrer à toute vitesse, mais n'ayant pas pris sa moto aujourd'hui, il n'avait pas d'autre choix que d'attendre son bus pour pouvoir rentrer chez lui.

Cette dernière s'approche de lui puis lui prend le bras. Avait-elle besoin d'un contact physique pour s'adresser à des personnes ? Il retire donc son bras.

— Sasuke, je voudrais qu'on parle, tu veux bien ? Dit-elle d'une voix qui paraissait suppliante.

— Je pense pas qu'on ait des trucs à échanger, répond t'il assez froidement.

— À propos de nous deux Sasuke, j'ai besoin de mettre tout ça au clair.

— Tu me cours toujours après Karin ? Pourtant comme on dit, la tromperie ne se pardonne pas.

— Je le sais, mais je n'arrive pas à t'oublier Sasuke..je n'y arrive pas, c'est tellement compliqué..c'est tellement..-

— Et donc ? Lui coupe t'il la parole.

— Sasuke, je t'en supplie..dis-moi que t'as fais ça avec d'autres filles simplement par pur erreur.

— Par pur erreur ? Arque t'il un sourcil. Je n'arrive tout simplement pas à être focalisé sur une seule femme, tu comprends ça ?

— Sasuke, tu devrais tout de même avoir honte. Tu fais ça en sachant très bien que tu vas briser des cœurs !

— Elles savent très bien qu'elles ne sont que des plans culs. T'a pas à t'en faire pour elles, lui lâche t'il un sourire narquois.

— Alors, j'ai fréquenté un pauvre type, c'est ça ce que t'essayes de me dire ? Dit-elle d'une petite voix.

— Tout comme moi j'ai fréquenté une pauvre idiote, répond t'il toujours aussi froidement. Je n'oserai pas continuer une relation avec une personne qui crache sur le dos d'une autre.

— Tu l'as défend encore cette pauvre petite gamine ? S'énerve Karin en croisant les bras.

— Où est le problème ?

Karin se figea, fronçant simplement des sourcils.

Surtout si c'est pour la dénigrer dans les toilettes, continue t'il alors que Karin avait subitement arrondis les yeux.

Oui, il avait entendu. Une simple coïncidence.
Le ténébreux s'était tranquillement posé contre le mur à côté de la porte des toilettes des filles.
La porte qui était légèrement entre ouverte laisser la voix des deux filles en sortir, donc il avait pu entendre ce qu'elles disaient.

𝐃𝐞́𝐭𝐞𝐬𝐭𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant