Elle s'appelait Hanako, elle avait à peine 16 ans, avant qu'une triste tragédie toucha la jeune fille. Le signe de la fin de son bonheur, le malheur qui l'entraînerais dans une chute sans fin de tristesse et désespoir, la mort préméditée de mon père. Cette tragédie, poussa la mère de l'adolescente à une dépression, noir, trite et malheureuse, tout autant pour la mère que pour la jeune fille et pour le reste de la famille. Hanako commençait à s'éloigner de ses amis, qui tant bien que mal, essaient de faire sortir leur amie de cette chute infernale. De plus, les relations entre la famille commencent à peser. Les membres de la famille maternel essayaient de faire sortir la petite Hanako de la tornade dépressive que créait la mère. Mais toutes tentatives restèrent vaines et sans résultats. Hanako, se fermait toujours sur elle-même.
Malgré l'éloignement de Hanako, ses amies, même si elles avaient de la difficulté à avoir des conversations avec leur ancienne amie, s'inquiétaient beaucoup. Elles décidèrent donc un soir, où la situation devenait très critique, où le comportement d'Hanako était à un pique extrême de dépression, au point de ne pas manger, de suivre Hanako, sur le chemin de sa maison. Hanako, marchait comme un fantôme, on aurait presque dit qu'elle allait en direction de la mort, tellement qu'elle marchait avec si peu d'humanité. Ses amies ne voulaient pas la devancer, car elle voulait connaître chacun des mouvements d'Hanako. La rue se faisait étrangement imposante, elle pesait sur elles. La "petite" ruelle paraissait longue, trop longue. Habituellement, elle prend juste deux à trois minutes à pied à traverser. Mais cette fois, pour les amies, c'est trois minutes qui ressemblaient plus à des heures que de simples minutes.
Puis après, trente éternelles minutes, les enquêtrices du dimanche, arrivent enfin à la demeure d'Hanako. Les jeunes filles observèrent l'adolescente, depuis une benne à ordures, cinq maisons plus loin. Elles n'aimaient pas vraiment leur cachette, disons que ça sentait pas les roses, mais pour leur amies,elles étaient prêtes à tout. Hanako restais figée devant la porte de la demeure. La nuit commençait tranquillement à devenir reine du ciel. Avec l'obscurité, venait le froid glacial des sombres nuits .Ça faisait plus de trois minutes que la jeune Hanako restait figée devant la porte d'entrée.
- Elle fait quoi? Dit la plus grande du groupe.
-Je ne sais pas mais il commence à se faire tard. Dit celle aux cheveux courts.
-J'ai peur, il fait sombre et froid, Dit la dernière
Elles se regardèrent puis elles virent "apparaître" une ombre derrière Hanako, au bas des escaliers, plus précisément. Puis la lumière qui éclairait l'entrée, où était Hanako, s'éteignit soudainement. Subitement, un cri strident suivi d'un rire sinistre, se fit entendre. Les filles étaient pétrifiées de peur. Leurs jambes ne voulaient pas bouger, comme si elles étaient prises dans du ciment jusqu'au genoux. Incapable de bouger, tellement la peur les clouait sur place, elles commencèrent à paniquée. La lumière se ralluma, Hanako était là, mais cette fois, elle n'était pas debout mais assise, ses genoux contre sa poitrine. L'ombre était encore là, toujours aussi imposante. Cette fois, au lieu d'être au bas des escaliers, il était juste derrière Hanako. Mais il ne regardait pas la jeune adolescente. Il regardait dans la direction des trois autres adolescentes. Les filles tremblaient de tous leurs membres. Des sueurs froides coulaient sur leurs front. Puis une nouvelle fois, la lumière au-dessus de l'entrée s'éteignit. Cette fois, juste un cri à réveiller les morts se fit attendre. La lumière se ralluma, cette fois Hanako était dans les bras de l'ombre.
Instantanément, les amies se précipitèrent vers Hanako, le froid leur déchirait les poumons, la peur leur mangeait le ventre et leurs larmes inondaient leurs joues. Arrivés à la maison, les quatres amies, tremblantes, exténuées, se figèrent devant les escaliers. l'ombre était de dos. Il était grand, très grand, de proche il ressemblait plus à un humain. Il était vêtue d'un grand imperméable aussi noir que la nuit.
- C'est tes amies...., dit une voix sévère,
-Oui...., dit Hanako d'une toute petite voix,
- Tu ne leur a pas dit...? dit la voix qui s'était adoucie
Hanako hocha la tête négativement. "L'ombre" se retourna vers le petit groupe. Ce qui jusqu' à présent était une ombre menaçante est devenu, un homme, au visage doux et rassurant. Les amies furent soudainement envahies d'une douce vague de bien-être.
- Je suis désolé si vous aviez eu peur pour Hanako... dit l'homme d'une voix rassurante.
- Vous...vous êtes qui? dit la plus petite des trois.
- Je suis son oncle,
- Mais... les cris, la lumière qui s'éteignait! dit celle aux cheveux courts.
- C'est moi qui ai eu peur..., dit Hanako qui avait éclairci sa voix.
- Et...Et le rire.... dit la plus grande,
- C'est moi qui ai ri quand Hanako a eu peur. Dit l'oncle en prenant Hanako par les épaules. Je suis son oncle et je suis venue la chercher, vous n'êtes pas sans savoir sa situation familiale...
Les amies hochaient la tête avant de sauter dans les bras de leur amie et pleurer de soulagement.
Fin
Alors... vous trouvez ça comment j'ai fait cela en classe! je vais être noter dessus cela est très important! Si ya des personnes qui savent pas c'est quoi une nouvelle littéraire... C'es une histoire courte, sois, réaliste,fantastique ou policier. Qui tout le long tu pense que c'es que chose et qu'a la fin BAM la chute es rude et surprenante. Peut-être que mon texte ne rentre pas dans les critères( j'espère que oui mais bon on sais jamais) j'ai essayé du mieux que je pouvais de me corriger(c'es un texte qui vas être notée faut pas déconné) alors je voulais votre avis et si sa vous a plus je pourrais essayer d'en trouver ^^ fouiner dans ma clef usb si il m'en resterais pas :p. Bon sur ce je vous laisse! À pluche les créateurs!!!
VOUS LISEZ
rantbook d'une jeune créatrices universelle
Randombienvenue dans monde, ici tu trouveras tout les pillier et les fondations de mon monde de jeune créatrice. une visite guidée de mon univers. Ouvert à tous mais rester respectueux des lieux car tout peut tomber...