Mon évidence FRAMAL

1

Septembre 2016

France

PDV DEEN

-Allo? je dis. Maman? Papa? La naine? 

On rentre dans la maison avec les garçons et on pose nos affaires sac dans l'entré. Ma mère arrive et me prend directement dans ces bras. 

-Mais tu as encore maigri. Enfin. C'est quoi ça? Vous ne vous nourrissez pas? 

-Mais si. je dis. Mais si.

-Passez à table. Je viens de finir le repas. 

Elle salut mes amis et on va dans le salon, mon père mettait la table. Une rapide accolade et on passe à table. 

-Max est reparti? je demande. 

-Il est parti en voyage avec Jessica. 

-Et mimi? je demande. Elle est à l'école? 

Ma mère regarde mon père, et il prend la parole. 

-Ta soeur à un copain.

Je me suis étouffer avec mon eau ce qui m'a fait plus que rire tout mes amis. 

-T'as dit quoi? Mais depuis quand. 

-Deux ans. 

-Mais pourquoi je suis pas au courant? Enfin avec quel permission? Je suis totalement contre. 

-Je t'en pris Mika. Ta soeur à bientôt 20 ans. dit ma mère. Tu ne pas croire que c'est la vierge Marie parce que crois je lui ai acheter des capotes. 

-Stop. je dis. Stop. Je ne veux pas savoir. Je préfère caner que savoir ça.

-Je ne te pensais pas comme aç Bigo. dit Ken. 

-Vous croyez que vous n'avez jamais vu Emilie pourquoi? demande ma mère. Il est surproducteur. 

-J'y peux rien si mes potes sont des charognards et que ma soeur est magnifique. je dis. Même si ça me brule la gorge de le dire. 

-Allez manger. dit ma mère. 

Ma mère nous a servit copieusement et ils nous ont poser pas mal de question sur la tournée. 

-Vous faites comment pour les chambres? demande mon père. 

-Je vais aller avec Mimi, et y'a ma chambre celle de Max et d'amis. 

-On a des matelas dans le garage. dit ma mère. 

-On va le faire. 

-Super, je comptais pas le faire. C'est le bordel la dedans. 

On a aider ma mère a débarrasser et à faire la vaisselle avant d'aller chercher les matelas. On s'est installer en haut, j'en ai profiter pour mettre du linge à laver et j'ai retrouver ma chambre pour au final aller m'installer dans celle de ma soeur. Rien n'a changer, toujours la chaise à linge sale, des culottes au sol et puis pas mal de bouquin de cours et son lit jamais fait. 

-Je suis rentrée. 

Ma petite soeur, je descend et dans la cuisine. 

-Tu vas grossir. 

-Tu es jaloux de mon corps de rêve. 

-Et puis quoi encore. Attend c'est un double menton ça? 

-Je t'emmerde. 

Je souris et je la prend dans mes bras pour la serrer. 

-Tu m'as manquer Mika. 

-Toi aussi Mimi. 

-Salut. 

-T'as oser ramener tes potes alors que je suis à la maison? 

-Je t'ai acheter un cagoule. il répond. 

Elle fait la bise aux garçons qui se présentent. 

-Assied toi. je dis. 

-Quoi? 

-C'est quoi cette histoire de mec? 

-Papa? 

-Évidemment. je dis en levant les yeux au ciel. 

-Bah voyons. 

-Pourquoi je le sais que maintenant. 

-Peut être parce que le précédent tu lui a casser le bras 5 minutes après qu'il est passer la porte. 

-T'as fait ça? demande Hakim. 

-Juste après qu'il lui ai demander carte d'identité, bulletin scolaire, numéro de sécu, casier judiciaire et lettre de motivation. elle ajoute. 

-Et l'autre gugusse il aura la même. je répond. 

-Je te pensais pas comme ça. dit Moh. 

-Je vous emmerde. Il s'appel comment? 

-C'est Simon. 

-Je croyais qu'il était gay.

-J'ai dit ça pour que tu le laisse tranquille. 

-Et je l'ai laisser dormir ici. Mais quel con. je dis. Sur ma vie il ne remet plus un pied ici. 

-Enfaite je suis pas si protecteur que ça. dit Ken. 

-Mais tu sais qu'elle est majeur ta soeur? demande Ken. 

-J'en ai rien à faire de ça. C'est un fils de pute. 

-J'ai jamais ouvert ma gueule quand tu rapporter tes putes, quand elles ont défilés alors ferme ta gueule. Parce que je suis pas sur que maman aimerai bien savoir que t'as mis une go enceinte dans son lit. elle répond. T'es ridicule à faire ton frère protecteur en sachant que t'as encourage Max mainte et mainte fois. 

-Sauf que tu n'est pas Max, t'es une. 

-Ta gueule. Tu m'énerve encore plus à faire ton macho. Si tu es rentré pour ça, fallait pas revenir. Je me débrouillais mieux quand tu faisais le frère semi présent. 

Elle s'en va en prenant soin de claquer la porte de la maison. Je soupire et je m'assois. 

-Corriasse. dit Doums. 

-Et toi tu es un abruti. dit Théo. 

-C'est un fils de pute sur ma vie, il va la détruire. 

-Sauf que c'est comme ça. dit ma mère. Tu te tais et tu ne dis rien. 

-Mais maman. 

-Je sais, sauf qu'elle est heureuse, alors fais mine. Ta soeur à assez souffert, ne la fais pas souffrir plus. 

-Je sais. je dis.

-Bien, épluche moi des patates alors. 

Je soupire et je me colle à éplucher des patates. Je suis pas diplomate dans ma vie, et je le suis encore moins quand je veux protéger ma soeur de ce qui pourrait la blesser. Surtout en sachant qu'elle a suffisamment souffert. Mais je suis comme ça. Et croyez moi, j'ai fais des efforts.