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Juillet 2018

France

PDV IDRISS

Le mois est passer super rapidement, mais très lentement. On est le 27 et j'ai fêter les 27 ans hier avec les gars. Emilie n'est pas venu elle avait la crève. Je me suis réveiller la tête dans le cul et je suis descendu. J'ai ricaner en voyant les têtes de tout mes amis. On a bien vécu hier. 

J'ai à peine le temps de prendre un café que mon téléphone vibre. 

De Emilie: Elle a accouché. Rentre tout est prêt je t'attend. 

J'ai abandonner le café et je suis monter, j'ai rassemblé mes affaires de deux secondes. 

-Qu'est ce que tu fou? demande mon frère qui dormais encore. 

-Faut que je taille. Tu gères. 

-Quoi? Maintenant? Ca y est? 

-Ouais. je dis en souriant. 

-Vas-y je gère. 

-Je panique. 

Il se lève du lit et il me fait face. 

-Tu vas assurer. il me dit. Ils seraient fière de toi. 

-On chiale à mon retour. je dis. 

Je prend mes affaires et je m'en vais. Par chance on était pas loin de Paname. Dans le train Hakim me dit que c'est passer comme une lettre à la poste: je suis parti au bled avec Emilie car ma tante allait pas bien. 

-C'est moi. je gueule. 

-On repart. elle dit. Notre vol est dans une heure. 

Pas le temps de s'embrasser on a pas arrêter de courir, avec les valises et les sièges, je vous jure c'est un régal. On ne s'est pose qu'une fois dans l'avion. 

-Qu'est ce qu'on fait? elle me demande en riant. 

-Elle t'a appeler quand? 

-Hier soir, tu répondais pas. 

-Merde. Je suis désolé. 

-T'inquiète, il n'y avait pas plutôt. 

-Tu réalise? C'était la dernière fois qu'on quitter la maison à 2. Quand on repasse la porte on va être quatre.

-C'est ouf. J'ai appeler mes parents, ils montent et ils nous attendent. 

-Okay. 

On a dormi tout le vol, vu la nuit que j'ai passer j'en avait besoin. Le vol a était beaucoup trop rapide. Deux heures après avoir atterrit on passer les portes de la maternité. J'ai laisser Emilie gérer l'anglais et on nous a amener à la nursery. 

-Here and here. 

Oh putain. Elle s'en va et on reste tous les deux devant les deux berceaux. 

-C'est quoi ces cheveux. rigole Emilie. 

-Ils sont magnifique. je dis.  Tu crois qu'on peux? 

-C'est nos enfants. Bien sur qu'on peu. 

Naturellement je prend celui qui est devant moi. Merci aux autres enfant du L, je connais à peu près les gestes à faire. Je m'assois avec un de mes deux fils dans les bras. Une infirmière arrive et elle parle à Emilie, qui me traduit au fur et à mesure. 

-Elle demande les prenoms. On garde ce qu'on avait dit? 

-Ouais. je répond. 

-Here. elle dit en me montrant. Ali Mikael Maxime Akrour. 

Mon évidence FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant