Mon évidence FRAMAL

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Décembre 2017

France

PDV EMILIE

-Emilie bonjour. 

-Bonjour Faustine. je dis en riant. 

-Merci d'avoir voulu vous confier à moi. Comment aller vous? 

-Ca va. je dis en souriant. 

-Greg et Zoé bonjour, merci également d'être ici. Coucou Maya. 

Elle se cache et je souris. 

-Je vous ses très proche. elle commence. 

-Ouais. je souris. Maya, c'était un peu, c'était complétement ma boué de sauvetage. je répond. Et le lien est rester depuis, et je suis convaincu qu'il restera. 

-Emilie c'est ma soeur. dit Maya. 

-On a suivit ce terrible calvaire pour vous deux, et pour toi particulièrement Emilie. Ca a commencer par les photos nues sur ton compte. 

-Ouais. Ce que vous saviez pas c'est qu'il u avait déjà eu des colis avec, il c'était introduit chez moi. 

-Et il vous a déjà fait du mal il y a quelques années. 

-C'est ça. Il avait déjà était jugé pour violence sur mineur et viol sur mineur. Et quand il est ressorti il a recommencer. 

-C'était prévisible selon vous? 

-Oui. Et pour mes proches aussi. 

-Vous aviez peur pour votre fille? 

Mes parents, mes frères, mon copain et la clique est dans le public. Soutient avec tout. 

-Oui. Et on a pas su qu'il était sorti, c'était déjà trop tard dès le premier colis. répond ma mère. 

-Ce qu'on a oublier de vous dire, c'est qu'on est en famille. dis Faustine. J'espère que je ne vais pas me tromper sur les prénom. 

Elle fait le tour des prénoms sans ce tromper. 

-En tout cas je suis très contente, on sens vraiment qu'on est en famille et c'est top. Comment est ce que ça a commencer? 

-Je faisais à manger et c'est là qu'il est arriver. J'ai voulu me défendre mais il m'a frapper et j'ai fini au sol. Et le reste je sais pas. Je me suis réveiller dans la pièce ou j'étais. 

-Qui vous à trouver? Idriss je crois. 

-Ouais, avec les gars. il dit en prenant le micro. 

-Vous avez compris tout de suite. 

-Ouais. Le flic enfin le policer est arriver remerciant mon frère d'avoir pris le relais parce qu'il y avait un problème dans les gardes. Mais nan. 

-On panique? 

-Beaucoup. Mais ils ont était réactif.

-Pourtant il a fallut attendre plus d'une semaine. Qu'est ce qu'il s'est passé? elle me demande. 

-Beaucoup de chose. Je suis pas rester longtemps seuls, Maya pleuré il me l'a amener. J'ai voulu le frapper mais il a était plus rapide et c'était la première grosses session de coup.

-Vous les avez compter? 

-Oui. Je me suis dit que ça pouvais être utile pour le procès. 

-Comment est ce qu'on calme une enfant qui a était kidnappé, alors qu'on est soit même kidnappe. 

-On se calme soi même. Et après on prend le rôle un peu plus de maman. On pense a elle, elle 4 ans, elle ne doit pas vivre ça. J'ai fait tout pour qu'elle garde un rythme. Les siestes, les repas, les nuits, les moments ou on peut jouer.