Bon et bah je suis fiancé les gars. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps pendant une bonne semaine. J'ai eu excrément de mal de m'en remettre. D'autant plus que sa demande était ouf. C'est tout ce que je voulais, juste la famille et c'est top.
Il m'a confier qu'il voulait le faire là, parce qu'il avait peur de se dégonfler. Mais surtout parce que nos fils vont s'appeler Akrour et il voulait que je m'appel aussi comme ça. C'est très mignon.
Il s'en va bientôt pour le début de la tournée et on voulait se faire un dernier voyage avant qu'on devienne quatre.
Depuis qu'on est arriver, on a juste fait les boutiques pour des fringues pour les jumeaux. On réalise sans vraiment le faire. Mais on a hâte, ma mère à raison, les derniers mois sont les pires.
-Et ça? dit Idriss. Je le prend.
-Ils en ont déjà.
-Mais pas avec du gris.
Je rigole et il met les pyjamas dans le panier.
-C'est bon là nan? je dis. Y'en a pour 200 balles.
-Ouais.
On a était payer et on a effectivement eu pour un beau billet.
-Oh ils ont pas d'ensemble de foot.
-T'inquiète ton reuf va prévoir ça.
-Mais...
-Tranquille. je dis. Ils vont manquer de rien.
-Bon d'accord.
On est rentré à l'hôtel et je me suis écrouler sur le lit. J'ai plus de pieds.
-Je m'ennuie. je dis.
-T'es chiante.
-Tu me fais des photos Insta?
-Si tu veux.
-Yess.
Je saute sur mes pieds et je vais me changer, et me maquille.
-Tout ça pour des photos Instagram?
-Ouais.
-T'as pas oublier ton soutif?
-C'est fait exprès.
-Heureusement que c'est moi qui les prend. il soupire. Tu vas me rendre fou.
-Tu m'aimes. je dis en souriant.
-Prend tes photos, joue avec mes nerfs.
Je souris et il prend mon portable, on en fait plusieurs mais j'aime pas.
-Elle est bien elle.
-Nan. je répond.
Je me pose par terre contre le lit.
-Remet le côté gauche.
-C'est bon?
-Nan.
Il remet ma veste et prend des photos, je joue avec mes cheveux et il en fait pas mal.
-Celle là est bien. il me dit.
-Ouais. Merci. je dis en l'embrassant.
Je me suis poser sur le lit et j'ai poster alors qu'Idriss écrit deux trois texte. Son portable n'arrête pas de vibré, je fini par regarder.
-Idriss?
-Humm?
-C'est qui Mila?
-Quoi?
-Pourquoi Mila t'envoie des "tu me manques? Je veux qu'on se revoie? Café de la dernière fois?"
-Elle était au lycée avec nous, je sais pas pourquoi elle me harcèle.
-Café de la dernière fois?
-Je l'ai capter pour lui dire d'arrêter, que j'avais déjà une femme que je l'aimais.
-Pourquoi tu m'en as pas parler?
-On avait d'autres préoccupations. C'est personne.
-Pourtant c'est tout ce que t'aime. Belles forme, beau cheveux, joli visage. je dis en regardant les photos de son Instagram.
Le portable me glisse des mains. Idriss s'assoit à mes côtés.
-Cette fille c'était personne, c'est personne et ce sera personne. Et c'est pareil pour toute les autres. C'est toi que j'aime. J'aime tes formes, tes cheveux, ton visage et tout le reste. J'en ai rien à foutre des autres. Je te le promet.
-J'ai confiance en toi. Si tu me dit qu'il n'y a rien je te le crois.
-Ca je le sais. il répond. Je veux juste que tu es confiance en toi.
-Sauf que je serai toujours celle qui ne pourra pas avoir d'enfant.
-Tu es encore la dessus? il soupire. On va avoir des jumeaux. C'est les notre. C'est le tient. Alors arrête. J'en ai rien à faire que tu ne puisse pas avoir d'enfant. Je t'aime. Je veux faire ma vie avec toi, je veux t'épouser et je veux qu'on élève nos fils ensemble. Tu te tire ça de la tête. Je te promet qu'on va s'engueuler.
-Désolé. je dis. C'est moi qui accepte pas.
-Peut être que le traitement marchera, et qu'on aura un enfant biologique, ou peut être pas. Mais dans les deux cas on y arrivera parce qu'on est un couple. si tu me parles on y arrivera, sinon non. Je sais que c'est dur mais tu dois surpasser ça. C'est pas une fatalité, on va avoir des jumeaux, et je resterai avec toi. Tu le comprend.
-Tu fais chier à être si compréhensif.
-Je commence à connaitre tes crises existentiel. On flippe tous les deux, deux enfants d'un coups c'est flippant mais on va gérer. Et on est pas seul.
-Promet moi une chose.
-Dit moi?
-Je veux que continu à avoir des moments à deux. Au moins une fois par semaine. Même une heure, sans portable, sans enfant, sans travail.
-C'est déjà prévu. Couple avant d'être parents.
-Je t'aime. je lui dit en souriant.
-Moi aussi.
-Quoi.
-Je t'aime. il dit en levant les yeux au ciel.
-Je l'ai bloqué. je dis en souriant.
-Et j'en ai rien à faire. il dit en m'embrassant le cou.
Ces mains passe sur mes hanches et il me retire la veste.
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