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Décembre 2016

France

PDV EMILIE

On est parti avec juste la clique dans les Alpes pour aller faire un nouvel an au ski. On est arriver ce matin et on a passer la journée à faire des courses ou à louer le matériel pour allez skier. 

-Les gars. je gueule. 

-Pourquoi tu râles? demande Idriss. 

-Ta gueule. je répond. Alors. Ca c'est pour le S. Ken, Théo, Hak et l'abruti. je dis en leur donnant. Ca c'est pour Moh, ça pour Doumams, Hugz et Elite. Et puis Alpha. Et ma petite Claire et pour l'actirce.

J'ai donner à tout le monde les cadeaux, et ils ouvrent tous. 

-Il est lourd. dit Théo. 

J'ai fais pour S, un bomber noir avec dans le dos leurs silhouettes et la silhouette sur propriétaires du bombes et rempli de blanc. 

-Putain il est canon. dit Ken. 

-Oh putain meuf tu es la meilleure. dit Hugz. 

-Wallah, je t'aime. dit Doums. 

Les autres garçons ont chacun la fringues qu'ils ont dessiner avec moi.

-C'est pour la collection? demande Alpha. 

-Nan. C'est juste pour vous. Pièce unique de chez Castelle. 

-Premier maillot de bain? me demande Adèle. 

-Yes. Et ensemble. 

-Les finitions elles sont ouf. dit Claire. 

-J'ai le droit de dire que je suis fan? demande Doums. 

-Tu vas faire du mal à beaucoup des marque. 

Ils me remercient tous et j'ai même le droit à des bisous. Il va neiger, je vous jure. 

-Sur ma vie je vais pécho avec ça. dit Moh. 

-C'est pas une veste que t'a besoin mais d'un miracle. 

-Mais qu'elle garce. dit Moh. Je vais te goomer. 

Je pars en courant mais je me tombe de tout mon long. La soirée à était courte, on était tous crever. 

-Tu dors? demande Idriss en passant sa tête dans l'entrebâillement. 

-Nan. 

-Tiens. 

-Qu'est ce que c'est? 

-Cadeau. 

Il s'assoit sur le bord du lit et je m'assois en remettant mon haut. J'enlève le papier cadeaux et je trouve deux paquets. Le premier, un paquet Dior. Contenant le collier: un ras de cou avec un "CD".

-Je me suis pas tromper? il me demande. 

-Il est magnifique. je dis en souriant.

-J'ai hésiter de fou. 

-Il est magnifique.

J'ouvre le deuxième et ce sont des perles de culture. J'ai perdu les miennes c'était un drame. Mais j'en ai. 

-Merci. je dis en me levant pour l'entouré de mes bras. 

-Je suis content que ça te plaise. Sinon tu peux changer. 

-Ils sont top. Merci beaucoup. Je vais pas les quitter je t'assures. 

-Merci beaucoup pour la veste. 

-C'est trois fois rien. 

On a parler jusqu'a tard dans la nuit, et j'ai dormi après comme un bébé. 

La journée suivante à commencer de bonne heure, on a pris une douche et on est parti le chemin des pistes. On est monter en haut des pistes pour les redescendre. Idriss et moi on est insupportable sur terre mais alors sur des skis et avec de la neige partout. C'est encore pire. On arrête pas. On fait chier tout le monde, et on se fait surtout chier mutuellement.

-Tu prend le saut? il me demande. 

-Je vais me casser la gueule. 

-Tu le fais je le fais. 

Je ne réfléchi pas et j'y vais. C'était prévisible je me suis casser la gueule, Idriss pendant que j'étais parti, le saute mais il tombe. Il tombe sur moi. 

-T'as entendu? il me demande. 

-C'est mon poignet abruti. 

Il se pousse de sur moi, et il fait de gros yeux en voyant mon poigne plus que tordu. Sauf qu'en se poussant il se rend compte qu'il a lui aussi dans le bras. 

-Est ce qu'on s'est blesser tous les deux en faisant des conneries? il me demande. 

-Parfaitement. 

On a eu le droit tous les deux à une évacuation pour aller à l'hôpital. Nos frères se soucis bien trop de nous ils nous ont demander de les bipper. 

-On part sur une belle fracture. me dit le médecin. Le ski c'est fini. 

-Super. 

-Et pour Monsieur c'est la même. Entorse au coude. Le ski fini. 

-Dans la même merde jusqu'au bout. dit Idriss. 

-Ca nous apprendra à faire des conneries. 

-C'est vrai que généralement, on dit quand on arrive. 

-J'y es pas vraiment penser. répond Idriss. C'était pas voulu de la casser. 

-Je me doute. 

-Aie. 

-Désolé. 

-Elle est doudouille. dit Idriss. 

-Je t'emmerde. 

-L'amour, y'a plus longtemps que je ne suis plus comme ça avec ma femme. 

-On est pas ensemble. dit Idriss. 

-Pas encore alors.  Enfin éviter de casser encore plus madame. 

-J'y penserai. ricane Idriss. 

On nous donne des boites d'anti-douleur et Idriss à le bras en échappe. On a rejoins Hakim sur le parking. Il a ricaner en nous voyant galère avec les ceintures. 

De retour à la maison, tout le monde rigole de nos états. 

-Vous voulez vos conneries. dit Ken. 

-Il était beau mon saut. je dis. 

-Le miens aussi. 

-Je l'ai pas vu. J'étais en dessous. 

-Ca explique pourquoi j'ai pas eu mal. 

-T'en as pour combien de temps? me demande mon frère. 

-J'en sais rien. Il l'a dit? 

-J'ai pas écouter. dit Idriss. 

-Moi non plus. 

-Jamais vous êtes sérieux. râle mon frère. 

-Du coup plus de ski? demande Alpha. 

-Bien sur que si. je répond. Au pire je me casserai l'autre. 

-Au pire je me casserai un truc. dit Idriss. 

-Ce sera moi dessus. 

-Vas-y. 

-Est que... commence Doums. 

-Ta gueule. dit Deen. Y'a pas de connotations de cul quand ma soeur est impliquer dedans. 


Mon évidence FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant