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Novembre 2017

France

PDV EMILIE

Idriss se gare devant chez nous, et c'est une galère tellement y'a du monde. 

-Attend, je t'aide. 

Il sort et il vient m'aider à sortir. J'ai encore tout mon corps endolori par les coups et par les médicaments. 

-Ouais Emilie. 

-T'as assurer Emilie. 

-Il va crever en taule ce connard. 

Je me contente d'un petit sourire et je rentre chez moi. Ma mère vient m'aider pendant qu'Idriss prend les sacs. 

-Ne force pas. dit ma mère. 

-Maman, je t'aime, mais lâche moi. Je suis pas handicapé.

Elle ne dit rien, et me laisse faire. Tout le monde est dans le salon. 

-Wesh les petites bites. je dis. 

-Putain, elle va nous casser les couilles. soupire Moh. 

-Fait pas genre. je dis. Je vous ai trop manquer. 

-J'irais pas jusque là. 

J'ai frapper Ken, qui a rigoler et je me suis poser dans le canapé. 

-Je sais que je suis canon, mais me regarder pas comme ça, je suis prise. 

Ils me regardent tous désespérer et je rigole. 

-Aie. je dis en riant. 

-Idriss reprend ta go. soupire Mika. 

-Tu es son frère.

-Tout reste à voir. 

-Mais qu'est ce que tu fou avec lui Vicky? 

-Je me demande. elle soupire. 

-Je crois que j'ai eu la même idée de merde avec l'autre soeur. dit Jess. 

-Et moi la soeur. dit Idriss. 

-Mais aller vous faire mettre. dit Maxime. 

-Cassez vous de chez moi. je dis. 

-C'est chez oim aussi. 

-Tu vas allez faire la coloc chez ton frère. 

-Essaye même. 

-Comment tu fais pour la supporter sérieux? demande mon père à Idriss. 

-Je me demande aussi. 

-Force à toi, t'a du courage. 

-Papa. je cri. 

-Quoi? 20 ans je te supporte je sais comment t'es chiante. Ca me fait des vacances depuis que t'es parti. Je sais ce qu'il vie.

-Quelqu'un qui me comprend. 

-Ah ouais d'accord je vois. je dis. Maman. je dis avec une petite voix. 

-Je plaint mon beau fils. Tu viens à la maison quand tu veux Idriss. 

Il l'a remercie et ils se fouttent tous de ma gueule. 

-C'est ça riez bande de pute. je dis. 

Après deux bonnes heures la maison est enfin calme, mes parents sont rentrés, mes frères et les garçons sont reparti. 

-On commande? me propose Idriss. 

-De fou. 

-Grec? 

Mon évidence FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant