Chapitre 37

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PDV d'Izuku.

Je vois que l'on veut nous parler mais de quoi ?

-Torino : Vous n'auriez pas dû combattre contre Stain.

-Izuku : Si on n'avait pas résisté on serait mort. Je ne donc pas que cela soit une mauvaise chose. En prime on a capturé Stain même si ce n'était pas voulu. Tout ce que je pensais c'était sauver les gens qui étaient là. La capture de Stain n'est pas vraiment un objectif que j'avais.

Grande Torino me regarde d'un air bizarre. Qu'est-ce qu'il a ? Je n'ai quand même pas un brocoli bloqué entre mes dents.

Je commence à chercher avec ma lange l'aliment.

-Shoto : Tu fais quoi ?

-Izuku : J'essaie de trouver le brocoli qui doit être bloqué entre mes dents.

Ils ont tous l'air d'être un peu perdu dans cet abîme que l'on appelle communément la perplexité.

-Shoto : C'est du cannibalisme que tu fais là non, mon cœur.

-Izuku : Comment cela du cannibalisme ? Je ne suis pas un brocoli, j'ai peut-être des ressemblances avec ce dernier mais je ne suis pas un aliment.

Ils ont l'air tous choqué.

-Izuku : Ne me dites pas que vous aussi vous êtes choqué par le fait que j'ai mangé du brocoli.

-Torino : Non, c'est le fait que Shoto t'ait appelé mon cœur et que tu n'as même pas réagi.

L'information arrive à mes oreilles, et commence le trajet jusqu'à mon cerveau. Je me rends compte de ce que viens de dire Grande Torino et par extension de ce qu'as dit Shoto.

Je sens une chaleur qui monte jusqu'à mes joues, elles se teintent de rouge mes très chères joues.

Je prends l'oreiller et je cache ma tête dedans.

-Shoto : Ca va mon petit mouton d'amour.

Il commence à me frotter le dos gentiment. Mais il ne comprend vraiment rien.

Je reprends mon souffle et mon calme.

-Izuku : De quoi voulez-vous parler ? Abrégons mes souffrances.

-Shoto : De quelles souffrances tu parles mon petit doudou d'amour.

Izuku garde ton calme, les médocs doivent avoir un effet secondaire sur Shoto sinon il ne serait pas comme cela.

Une tête de chien apparait.

C'est un commissaire au vu de son uniforme.

Il nous explique ce que l'on risque à cause de cette histoire mais il nous montre que l'on peut faire comme si rien de ça ne se soit passé.

Même si les vigilantes crient que c'est faux, ils ne sont que des vulgaires criminels selon eux donc ils pourront dire qu'ils mentent.

De toute façon, les membres de mon groupe ne me mettront pas dans la merde comme cela.

La journée se finit mais moi je dois rester à l'hôpital.

Je passe le reste de mon stage à l'hosto. Super ma vie. 

izuku dans vigilante de The CrawlerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant