Mon Démon Gardien

Chapitre 20 : Cambrioleurs

J'écris ces lignes au 5 avril, j'ai sorti le chapitre 17 il y a deux jours donc je ne sais toujours pas si vous vous avez compris le secret de la fin du chapitre précédent, moi en tout cas, je sais que j'ai hâte de voir vos réactions ! ^^

J'ai beaucoup hésité à ce que je devais faire pour ce passage de l'histoire, comment les choses devraient se dérouler ou même juste de quand arrêter tel ou tel chapitre pour donner un bon cliffhanger sans couper le passage trop brusquement. Ce n'est pas aussi bon que je l'espérais mais je suis quand même contente d'avoir décidé que ça se passerait de cette manière et pas une autre ! ^^

Résumé du chapitre précédent pour les petits innocents, puis je clique sur "Publier" et vais manger :

En très très très gros, Shuichi a manipulé Kokichi pour faire ce qu'il voulait de lui. Kokichi s'est efforcé de se calmer et de se comporter en bon garçon mais il n'a pas réussi et a fini par blesser Shuichi par accident. En colère, Shuichi lui accorde une seconde chance mais Kokichi, malgré sa détermination, ne parvient pas à la satisfaire. Shuichi étant à bout, il anesthésie donc Kokichi dans le but de le punir une nouvelle fois. A son réveil, Shuichi part et laisse Kokichi se faire -en gros- torturer pendant plusieurs heures par des machines. Le chapitre se termine sur Kokichi voyant Shuichi lui retirer ses instruments de torture. Il essaie de s'excuser comme Shuichi l'attend à chaque fin de punition mais, épuisé, il s'évanouit avant de pouvoir terminer.

!! Il y a toujours des petites références sexuelles, je suis un peu obligée dans ce chapitre mais c'est beaucoup moins hard que la dernière fois !!

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*bonk !!*

« Hé t'avances, ducon ?! Le feu est vert !! »

D'ordinaire, je me serais jeté sur ce petit con qui me traite de 'ducon', ouvrant la portière de la voiture et commençant à faire craquer mes poings, donnant ainsi une bonne excuse à mon ami, assis sur le siège passager de ma bagnole de se lever et de me faire la leçon pour me rappeler à l'ordre. Ami qui, au passage, est la personne la plus musclée de notre école, et de très très très loin. Si jamais, vous vous demandez, je suis à la 2ème position.

Mais aujourd'hui, j'ai un truc à faire, un compte à régler donc je me retiens d'aller lui défoncer sa caisse et me contente de grogner en appuyant sur l'accélérateur.

Avec qui ai-je un compte à régler ? Avec un taré qui est clairement la personne la plus dangereuse de notre école. Oui, notez que les deux mecs les plus musclés ne sont pas les plus dangereux.

Ça paraît étonnant ? Vous n'êtes pas les seuls. Toutes les petites merdes du bahut se font complètement avoir par ses airs d'élève gentil, poli et intelligent. Moi-même, si je n'avais pas rencontré sa véritable forme avant qu'il ne débarque, je ne l'aurais certainement pas dévisagé avec de grands yeux ronds lors de son premier jour. Yeux ronds n'allant pas du tout avec le caractère que je souhaite faire passer.

Pendant un instant je m'étais demandé « Qu'est-ce que ce taré fout là ?! C'est quoi ce bordel ?! » et, je l'avoue, j'avais eu peur qu'il ne revienne que pour me surveiller.

Puis quand je l'ai vu sourire à une certaine petite merde bien spécifique, j'ai compris.

Ça fait plusieurs mois maintenant depuis qu'il nous a fait cet affront, aujourd'hui j'ai décidé que j'allais lui faire regretter... j'ai hésité pendant longtemps mais maintenant, je sais quoi faire... je vais pas laisser cet enfoiré s'en tirer aussi facilement...