{Une course poursuite à couper le souffle}

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Moi : C'EST BON !

Il s'est retourner vers moi

Moi : je sais où elle se trouve !

Je regardais mon téléphone alors il l'arrache de mes mains parce que je n'arrivais pas à sortir un mot de plus de ma bouche.

Lui : c'est bon J'ai sa localisation ramène toi vite

Il raccroche

Moi : c'est qui ?

Lui : t'inquiète c'est un ami il va nous aider

....

                                  HAZAN

Moi : laisse moi partir.

Lui : Ahh non, alors là tu rêves ! Dit-il d'un rire maléfique.

Moi : tu vas le regretter semih laisse moi partir !

Lui : pouahahaha, moi, le regretter ? Et comment ?

Moi : tu roules trop vite ralentit !

Lui : la ferme !

Il a crié tellement fort que j'ai sursauter, je crois que je vais fermer ma bouche sinon je vais mourir plutôt que prévue !

Je ne sais pas où on allait, et je crois que Soumiya n'a pas compris que j'étais en détresse lorsque je l'ai appeler. Il faudrait peut être que je trouve un échappatoire moi même surtout si je n'ai pas envie de finir en bouillie entre ses mains.

Juste maintenant, je priais dans ma tête pour qu'un miracle arrive, du style, on va s'arrêter dans une station, et à ce moment précis je sortirais de la voiture pour me mettre à courir. Mais c'est trop beau pour être vrai.

Un silence régnait dans la voiture. J'ai préférer le laisser seul dans son délire car je n'osais pas prononcer un mot.

J'avais l'impression qu'il pouvait exploser d'un instant à l'autre, ça me mettait la pression !

Je sentais le stress monter à mesure qu'on s'éloignait  de la ville. Je ne sais pas ce qu'il va me faire et franchement je n'ai pas envie de le deviner, j'ai juste envie de m'échapper !

                                     ASIM

nous étions, nous trois dans la voiture. Moi, Hassan et Imrân. Nous étions à la poursuite d'une voiture de police, oui, car c'est Soumiya qui avait la géolocalisation de Hazan dans son téléphone.

Imrân : j'aurais jamais cru qu'on allait faire équipe avec les keufs un jour

Hassan : c'est pas le moment Imrân arrête

Imrân : oe bon excuse, j'essaie juste de détendre l'atmosphère.

Moi : bah t'es nul mdr

Imrân : eh un jour je vais vous quittez vous allez rien comprendre. Vous me verrez plus et là vous allez bien regretter de me rabaisser comme ça ! 

Mon coeur pour le sien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant