{Un passé fulgurant}

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Il était presque là tandis que moi j'essayais d'introduire les clés pour mettre le contact ! Mais j'y arrivais pas putain ça arrive que dans les films ca non de base !
Il se jette sur ma porte en deux deux puis il l'ouvre à la volée complètement fou de rage.

Moi : je te déteste !

Lui : sentiments partagés !

On se regardait dans les yeux plus aucun mouvements ni bruits a part nos respirations.
Il faut que je trouve une solution et vite !

SEMIH

je vais la tuer cette gâtée, comment elle ose. Elle ne pense donc pas dans quel état seront ses parents ?! Je l'attrape par le bras puis je la tire hors de la voiture, elle essayait de s'échapper de mon emprise mais je ne l'a laissait pas. Voyant qu'elle continuait de se débattre j'attrape son autre bras puis je l'immobilise. Elle me regardait le regard rempli de haine :

Elle : laisse moi partir, tu ne veux même pas de moi !

Moi : calme toi un peu

Elle : non ! Je ne veux pas de toi tu ne comprends pas ou quoi ?

Moi : je m'en fiche !

Elle : c'est justement pour ça que je m'enfui, t'es quel genre de psyco toi ! T'es un schizophrène ou quoi ?!!!!

Moi : soupir tu m'agace

Elle : tant mieux, Maintenant lâche moi !

Elle recommence à se débattre de toute ses forces donc j'essaie de la maintenir fermement mais elle gigote tellement que je n'y arrivais plus. C'est pourquoi je l'a tire vers moi puis je l'a regarde droit dans les yeux :

Moi : écoute moi bien, je vais rester calme. Tu prends tes affaires et tu rentres calmement à la maison sans faire plus d'histoire. Tu commences sérieusement à disjoncter toi, est ce que tu t'es déjà demander dans quel état seront tes parents ?!

Elle me regardait de ses yeux intimidés et ses sourcils froncés de manière à montrer sa confusion. Je pense que c'est à cause de la petite distance qui nous sépare qu'elle est dans cette état. Mais j'étais obliger parce qu'elle ne voulait pas se calmer, par contre j'ai l'impression que ça marche. Elle a arrêté de m'harceler, puis elle a commencer à se libérer les mains que je laisse glisser des miennes doucement.

Elle me regarde un instant puis

Elle : pourquoi ?

Moi : de quoi pourquoi ?

Elle : pourquoi tu veux qu'on se mari à tout prie ?

Moi : ce ne sont pas tes affaires

J'allais me retourner pour partir mais elle reprend

Elle : tu me force à me lier à toi alors que toi même t'en a pas envie. Alors oui je pense que ce sont désormais mes affaires.

Je me retourne pour la regarder, ça veut dire qu'elle accepte. Enfin !

Moi : je te dirais peut être un jour

Mon coeur pour le sien Où les histoires vivent. Découvrez maintenant