partie 16

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Je sens deux bras m'attraper et me sortir délicatement du véhicule. Je me laisse faire c'est sûrement ce gentil pompier qui tente de tous nous sauver. Seulement à peine il m'a déposé sur la pelouse que la voiture explose avec les personne que j'adore. Ces deux bras me serrent fermement contre un torse bien bâti et chaud. Ça fait du bien mais contrairement à ce qui caressait mes joues autrefois, c'est une main douce et ferme qui faisait de legers mouvements. J'ouvre mes yeux en relevant la tête et fixe déboussolée ce qui se passe autour de moi. La voitire est simplement garée, il fait beau et tout est tranquille. Je rebaisse ma tête et fixe la pelouse non enfaite elle est artificielle mais bon. Je retourne la tête et fixe la personne qui me détient et soupire pour la énième fois en croisant le regard inquiet de brad. Il attrape délicatement mes mains et les enlevés de mes orreilles et me resserre contre lui.

Lui: ça va mieux ?

Moi: je... Il s'est passé quoi au juste...?

Lui: ce n'est rien ma belle, allez répond moi s'il te plaît...

Moi: je... Ouai je pense...

Lui: tu veux rentrer et dormir un peu?

Moi : hmmm...

Lui: allez viens, tu ne tiens pas vraiment sur tes pieds.

Il m'attrape et me redépose sur mon siège tout en me tendant une bouteille d'eau. Je la finis en moins d'une en reprenant une respiration beaucoup plus régulière.

Moi: comment tu fais..?

Lui: de...?

Moi: être extra un jour puis Devenir le plus grand des cons le landemain...

Lui: je ne sais vraiment pas, je suis grave désolée arielle... Je ne savais pas que tu avais une phobie de la vitesse je t'assure...

Moi: mais imagine tu nous tue ainsi putin...

Il grimace en effaçant ma joue et me répond en jouant avec ses doigts.

Lui: Je ne le répéterai plus jamais avec toi promis même si je conduit très bien.

Moi: ok...

Lui: repose toi t'inquiète on aura le temps d'en parler.

Je fais un non de la tête et ouvre la fenêtre en soufflant et en rattachant ma ceinture. J'efface mes larmes qui avaient inondé mon visage sous le regard soucieux de cet idiot à mes côtés. Je te déteste tellement maman...

Éclipse du trager.

Je sors de la voiture les jambes qui tremblent et en à peine deux petits pas je tombe la tête première dans la vraie vie et dans mes cauchemars dans mon sommeil si c'en est vraiment un..

....

Pdv brad.

. Je l'attrape tout juste en soufflant, la porte correctement , ferme les portières et entre enfin à la maison. Je monte directement à sa chambre la débarrasse de ses chaussures et l'allonge tout en la couvrant. Je finis par fondre lorsqu'elle couine en tremblant légèrement et m'allonge à ses côtés en la serrant calmement contre moi. C'est ainsi que je passe le reste de ma soirée yay... Mais je ne pige plus rien moi elle est passée par milles fois pire et elle fait la plus grosse crise d'angoisse de sa vie à cause de la vitesse??! Puis c'était qui manon et kyle? Et pourquoi elle pleurait aurant? Ça me brûle de lui demander surtour lorsqu'elle tremble en sanglotant dans son sommeil. La porte s'ouvre d'un coup sur marie poussée par Cole derrière elle mais il stoppent comme une statue. Je fusille du regard marie lui faisant comprendre qu'elle a merdé et que je veux qu'elle dégage de cette chambre.

Elle : je vous seulement la r...

Moi: dégage marie.

Elle : ne me parle pas comme ça déjà!!

Moi: non mais tu t'entends, elle se fait butter pour toi et tu n'as pas les couilles d'aller voir ce qui aurait pu lui arriver après et qu'en plus de ça c'est cole qui doit te pousser à peine pour lui balancer un merci!?

Elle : comment tu s...

Moi: baah contrairement à toi dès que j'ai su qu'elle a fait un malaise chuis allé voir même un inconnu l'a chopé en route pour s'assurer qu'il n'y a rien de grave et qu'en plus tu lui demandes de cacher?!

Elle : elle t'as d...

Moi: non mais si tu cessais de la rejetter alors qu'elle est grave sympa avec toi tu aurai pu piger qu'elle sait tout sauf mentir et que ça tourne dans les couloirs.

Elle baisse la tête, se détache de cole qui était resté neutre et s'enferme dans sa chambre.

Lui: qu'est ce qui lui arrive?

Moi: crise.

Lui: elle est bien amochée je ne savais pas qu'elle l'était quand elle m'a parlé... Elle était limite normal.

Moi: je ne t'en veux pas cole j'en veux à Marie parce qu'elle a exagéré. On ne nous a pas éduqué ainsi.

Lui: elle était encore secouée aussi hein...?

Moi: c'est gentil de vouloir la défendre mais ce n'est pas elle qui s'est pris le gros cou. Là je dois sécher demain pour l'emmener à l'hosto elle a une emoragie. L'autre salaud lui a craque sa cage thoracique aussi.

Lui: ah bah merde... Genre tu l'as trouvé par terre?

Moi : c'est le grand frère d'un ami à moi qui l'a attrapé en plein malaise et a arrangé tout ça l'autre peter ne me l'a dit qu'à la fin des cours.

Lui: j'espere qu'il n'y a rien de grave... Et maintenant c'est pourquoi la crise d'angoisse qui apparemment ne lui est pas encore passé..?

Moi: je n'ai pas le droit de le dire hein  ?

Lui: ce n'est rien...

Il se gratte la nuque embrasse sa joue et part sûrement rejoindre ma soeur et lui faire la morale.

Je reporte mon attention sur  ce petit ange dans mes bras et embrasse le haut de son front en fermant les yeux. Elle est tellement adorable genre les gens deviennent moches quand ils pleurent. Elle, elle est capable de faire bander un gay et pire sans le savoir!! Elle finit par enrouler ses bras autour de mon cou et reprendre son sommeil alors que je dépose mes bras autour se sa taille en l'allongeant correctement sur moi. Je la sens se calmer de plus en plus et je me retiens de rire à cause de son souffle qui chatouille mon cou. Ah bah merde j'ai vraiment envie d'elle !! J'immagine pour la première fois sa peau se frotter contre la mienne et ses gémissements de plaisir. Je reste là comme un con à suer comme un malade tellement j'ai envie d'attraper délicatement son monton et l'embrasser. Elles sont tellement envoutantes et parfaites...

Légère comme une plume Où les histoires vivent. Découvrez maintenant