Légère comme une plume

Chapitre 30

Je râle en tapant cet idiot à mes côtés parcequ'il m'étoufait avec son poid, un énorme plaid et un oreiller en laine. Il se redresse légèrement en grognant et dépose un baiser sur mon cou avant de se relever en s'étirant.

Lui: tu as encore mal ?

Moi: non pas vraiment.

Lui: alors lève ton joli petit cul, il faut aller faire les courses. On n'a rien à manger là.

Je râle et saute sur son do en grognant tandis qu'il m'attrape fermement et traîne les pieds en baillant jusqu'à sa chambre.

Lui : flemme de te porter jusqu'à là-bas banane.

Moi: roooh... T'es nul toi en tant que copain je vais aller me plaindre au près d'alex moi !!

Lui: ohhh la bâtarde !!!

Je ricane en lui lançant une chaussure avant de gambader jusqu'à ma chambre et prend une douche rapide qui m'a permise de me sentir plus propre et moins tendue. J'enfile rapidement un long pull qui me fait office de robe ainsi que mes espadrilles mais ajoute un petit short en jean pour que l'autre con me laisse acheter ce que je veux.

Ue fois en bas, il me fixe en râlant mais œuvre tout de même la porte afin de partir.

Lui: tu es allergiques aux bas toi ?

Je sautille sur place comme un enfant et lève mon pull en ricnanant. Il sourit de toutes ses dents satisfaits et me laisser sautiller à côté de lui jusqu'à arriver au carrefour.

Lui: tu es plus excitée que d'habitude là !!

Je lui souris de façon enfantine avant de lui tirer la langue et me jeter dans le chariot métallique. Il rigole en secouant doucement sa tête avant de me pousser à travers les rayons.

Moi : tu ne vas pas jouer aux vick hein ?! Tu vas me laisser acheter autant de sucreries !!

Il rigole en faisant un non de la tête tout en me balançant dessus des paquets de légumes, des pains, des conservés de tout genre, des boîtiers de thon et de viande ainsi que beaucoup de fruits. Je souffle en croisant les bras avant le redresser vivement et sauter d'un coup du chariot afin de taper le sprint de ma vie jusqu'à mon rayon préférée. J'enlève mon pull afin de ne rester qu'en brassière et fourre dans mon tissu des quantités démesurées de cookies, de chocolats et de chips de tout genre et les balance dans le chariot.

Il grogne énervé tout en me plaquant contre le mur et regarde autour de nous méfiant.

Lui: mets ton pull putin...

Moi : quoi m....

Lui: putin aria tu ne peux pas rester en soutiens gorges dentelle devant autant de connards merde !!

Moi: hein pourquoi !?

lui: aimerai tu me voir la bite en air?

Il serre ses dents en soufflant bruyamment avant de plaquer ses lèvres contre les miennes et m'embrasser fougeusuement les bras enroulés autour de la taille. Je souris légèrement contre lui en me detendant et enroule mes bras autour de son cou. Je le sens sourire aussi avant qu'il ne se sépare légèrement de moi et me fixer avec un doux sourire. Je râle en remarquant que je mettais à présent SON pull et s'il restait littéralement torse nu.

Lui: je déteste voir les autres connards te voir ainsi bébé... Et on ne peut pas acheter tout ça, je n'ai pas ramené suffisement d'argent.

Je lui fais les yeux doux avec le regard de chien battu tandis qu'il hausse les épaules en faisant un non de la tête. Je fis de même en ricanant avant de galoper avec tout le chariot et le faire passer à la caisse tandis qu'il râle.