L'héritière De Neville [ Tome 1]

Chapitre 8

Je ne sais pas pourquoi j'ai agis ainsi. Mais je ne regrette rien. Je sens les lèvres de Damien s'étirer sous notre baiser pour former un sourire. Il se recule doucement puis me regarde dans les yeux alors que je rouge me monte aux joues.

- Si j'avais su plus tôt que tu réagirais comme ça à l'annonce de mes sentiments, je te l'aurai dit dès le premier jour.  me dit il d'un ton blagueur.

Avant que je ne réponde à sa plaisanterie, la voix de sa mère nous appelle pour venir l'aider. Nous sortons de la pièce sans un mot, mais le sourire aux lèvres.

Après avoir dîner, je monte dans ma chambre. J'aimerais vraiment reprendre la lecture du journal de mon père rapidement. Arrivé dans ma chambre, je jette mes chaussons au pied de mon lit e me jette sur celui ci après avoir repris le journal dans mon bureau. Je mallonge sur le ventre et allume ma lampe de chevet avant de commencer ma lecture.

«  16 Septembre 1984

J'ai décidé de faire des recherches sur notre famille, sur nos origines. Je suis donc aller voir mon père, Henry De Neville. Arrivé chez lui, nous nous sommes isolé dans son bureau et nous avons parlé toute l'après midi. Ce fut la discutions la plus longue que jeus avec lui. Il m'a expliqué tout ce qu'il fallait savoir sur le vampirisme.

Un vampire est moins différent de l'humain que je le pensais. Il doit seulement se nourrir de sang deux à trois fois par mois si il ne veut pas tomber gravement malade. Et cela peut être de sang animal comme humain. Sinon leur alimentation n'est pas différente de la notre. Le vampirisme ne se déclare qu'au seizième anniversaires de la personne concernée. Pour les vampire de petit rang, il n'est possible d'avoir un descendance qu'avec leur âme-sur contrairement aux niveau élevé qui eux, peuvent avoir un descendance avec différentes vampires ou même surnaturels. Certaine famille séteignent car aucuns descendant n'a pu être engendré.

Je fais parti du clan des De Neville même si je ne suis pas un vampire. Étant donné que je suis humain, mon père est le dernier héritier de notre famille pourtant puissante. Il y a une infime chance pour que je porte le gène du vampirisme et qu'un de mes enfants en soit l'héritier, mais seul l'avenir répondra à cette énigme. La puissance de notre famille vient majoritairement des guerres de l'histoire, en particulier de la révolution de 1789. Une hécatombes d'être surnaturels à eu lieu cette année, même les humains ont connu de nombreuses pertes. Nos ancêtres ont participé à cette période historique et en ont hérité de la force et du pouvoir. »

Mon téléphone se met à vibrer et me sort de ma lecture. J'attrape le marque page qui traîne sur ma table de nuit puis referme le journal. J'attrape ensuite mon téléphone pour regarder le message que je viens de recevoir. C'est un message de Jessica qui me dit «  Alors tu as discuter avec Damien ? ». je souris niaisement en repensant à la fin de notre discussion puis répond à mon amie. «  Oui, tout c'est arrangé. Merci de ton aide! » Je repose mon téléphone sur la table de nuit puis décide de dormir en voyant l'heure.

Aaron est accoudé sur le fauteuil du salon. Seul dans son manoir il réfléchit aux événement de ces dernières semaines. Il pense à cette jeune fille, Eléna de quelques années sa cadet. Comment va-t-il faire ? Il n'arrive pas à trouver de solutions à ces énigmes. Elle hante ses nuits et se jours. Il sens le poids de cette mission pour la première fois sur ses épaules. Puis le jeune homme bondit de son siège tandis qu'un idée viens de germer dans son esprit. Mais pourquoi n'y a t'il pas pensée plus tôt. C'était pour tant évident ! Un sourire de vainqueur sur son visage ténébreux, il décide d'aller se coucher. Mais sa victoire n'a pas encore eu lieu.

Le lendemain il se lève de bon humeur. La jeune femme monopolise toujours ses pensées, mais cette fois si il sais quoi faire. Il commence à s'habiller sobrement d'un tee-shirt et d'un veste en cuir noire. Son pantalon déchiré où pendent quelques chaînes lui donne un style inquiétant. Il prend instinctivement son pendentif entre ses doigt tandis qu'il attrape un paquet de gâteau. Depuis que sa mère lu à offert ce pendentif, ce geste est devenu un automatisme. Selon elle, ce collier représentait sa moitié manquante. Qu'il l'aiderait à la retrouver. Il n'a jamais compris le rôle de ce collier, mais ne s'en ai jamais séparé. Quelques minutes plus tard le jeune homme se met en route vers le lycée. Arrivé sur les lieux, il cherche Eléna du regard, il la découvre vers son casier. Elle relève le regard rapidement après avoir attrapé ses livre avant que celui si ne se bloque sur Aaron.

Je le vois me regarder, un léger sourire sur les lèvres. Je me demande ce qu'il me veux. Je ne peux que le regarder tandis qu'il s'approche de moi à pas lent. Mes pensées s'entremêlent alors qu'il s'arrête devant moi. Je lève le regard et je le vois me fixer d'une manière troublante. Il me déstabilise alors que je ressers mes livres contre ma poitrine.

- Eléna il faut que je te parle, cest important. On peut ce voir après les cours ?  Me demande t'il avec un léger sourire.

Je bredouille une phrase incompréhensible avant d' acquiescer dun signe de tête. Nous nous donnons rendez vous dans le hall à la sortie des cours avant qu'il ne passe ses doigts dans ses cheveux noirs d'un geste terriblement sexy. Je sens mes joues rougir ainsi que mes canines pousser. Aaron le remarque et fronce les sourcils. Il m'attrape la main et me ire doucement jusqu'à lextérieur. On marche jusque derrière le gymnase avant de s'arrêter.

- Laisse moi voir. Me dit il en m'attrapant doucement mon menton avec son pouce et son index. Mon regard se pose sur ses lèvres, il le remarque et sourit de plus belle.

- Tu aimerais y goutter n'est-ce pas ? Mais pas toute de suite. Me dit il en lâchant mon menton.

Je le frappe doucement à l'épaule en devenant rouges pivoine. Puis il reprend son sérieux et m'indique d'un geste de la main mes canines.

- Il ne te reste plus qu'a sécher les cours et attendre que ça passe. 

Je soupir à la perspective. Il décide de prendre les choses en main. Il mentraîne jusqu'à sa moto, il me tend un casque avant que je ne relève le regard vers lui pour savoir si il était sérieux. Il ne répond pas et me fait signe de mettre le casque. Je m'exécute avant qu'il ne monte sur sa moto et que je fasse pareil. Il démarre alors que je ne sais pas dans quoi je m'embarque.