L'héritière De Neville [ Tome 1]

Chapitre 10

Je sens d'un coup mon souffle se bloquer. Je suis plaquée au sol tandis qu'une lumière blanche maveugle totalement. Aaron lui est projeté à l'autre bout de la pièce. Il atterrit lourdement contre le mur blanc avant de tomber à terre. La tête me tourne et mon coup me brûle. Mes oreilles siffle et chacun de mes sens sont désorientés. Je reste allongée par terre, mes respirations sont saccadées et je laisse s'écouler quelques minutes avant de reprendre conscience de ce qui mentoure et de me relever. Je titube légèrement jusqu'à Aaron qui est inconscient de l'autre côté de la pièce. Je m'agenouille à côté de lui et pose ma main sur son épaule avent de le secouer doucement. Mais il ne réagit pas. Je me rend compte alors qu'il est blésé à la tête, il saigne légèrement. Je me relève alors et part en direction de la salle de bain. Je pousse la porte en bois et commence ensuite à ouvrir les placard et tiroirs un part un à la recherche de médicaments ou autres choses me permettant de le soigner. Je fini par tomber sur un petite trousse de premiers soins. Je la prends et repart en direction de la salle dentraînement. Quand je reviens je le vois toujours inconscient par terre.

Je m'assois près de lui avant d'ouvrir la trousse de premiers soins ; je prends une gaze et mets un peu de désinfectant dessus. Le produits sent assez fort. Avec ma deuxième mais je relève ses cheveux bruns qui retombe sur son visage et applique doucement la gaze sur la plais. Elle n'est pas très profonde, c'est juste une coupure de quelques centimètres de longueur sur son front. Je tamponne doucement la plais. C'est alors qu'il attrape mon poignet d'un geste vif et violent. Je lâche le coton et essaye de reculer. Ses yeux sont devenus rouges, ses canines blanchâtres sont apparus et un grognement bestiales résonne dans sa gorge. Je tente de reculer mais de son autre main il m'attrape à la gorge et me plaque au sol. J'essaye de lui faire lâcher prise. L'air vient à me manquer. Je sers tellement fort ses poignets que j'en viens à le griffer jusqu'au sang. Une odeur aux teintes métalliques me viens. Presque délicieuse elle me donne une forces que jignore posséder. Je fini par le pousser loin de moi d'un coup de pieds violent dans les côtes.

Il se redresse comme moi. Nous n'avons que quelques mètres décart. Il me regarde sans bouger, je reste stoïque prête à tout. Son regard change doucement. Ces canines disparaisse et ses yeux retrouve leurs teintes glaciales. Ses muscles se détende et son visage laisse place à entonnement.

- Qu'est qu'il vient de se passer. Me dit il quelques peu désorienté

- Tu n'aime pas vraiment les infirmière. Dis je cyniquement

-j'ai été pris de court. Me dit il d'un ton sec. Je parlais d'avant ça,

- A toi de me le dire. Dis-je en haussant les épaules.

Il reste un moment penseur puis relève le regard vers moi avant de me faire signe de le suivre. Comme à son habitude il ne m dit pas où nous allons. Je me contente de le suivre en silence dans les couloirs. Il marche rapidement jusqu'à une grande porte. Il ouvre la porte et me fait signe d'enter.

-ici nous trouverons une réponse.

J'entre à mon tour et découvre une bibliothèque gigantesque. Des millier de livres recouvres les étagères en bois.

- bon, que les recherches commence !

Il se dirige ensuite vers une étagère et prend un livre avant de rejoindre une table au centre de la pièce. Je me dirige à mon tour vers les étagères et pioches quelques livres au hasard avant de le rejoindre à la table. Je crois avoir de la lecture devant moi. De toute façon c'est une chance d'apprendre de nombreuses chose sur ma « condition » de vampire. Les livres que j'ai pris en parlent. Ça peut être une bonne chose, à vrai dire je suis un peu perdue avec toutes ces nouvelles «  choses » qui marrivent. Apprendre que je suis un vampire du jour au lendemain m'a fait un choc. Je n'ai pas tout de suite réagi, je n'ai même pas encore réaliser lampleur de la situation. Un boule se forme dans ma gorge et les larmes me piquent les yeux. C'est dans ces moment là que je voudrais que ma mère me serre dans ses bras. Qu'elle me disent que tout va bien. Qu'elle me conseil. Mais je crains que maintenant ce ne soit qu'un rêve. Sans pouvoir l'éviter un soubresaut me vient puis un deuxième. Les larmes que je pensais retenir commence à couler sur mes joues sans que je puisse les arrêter.

- Que t'arrive t'il ? Me demande Aaron en se levant de sa chaise.

Il vient vers moi et se place debout à côté de moi. Il passe sa main dans mon dos pour me consoler alors qu'il essaye de comprendre ce qui me prend. Il regarde autour de lui pour trouver de l'aider, mais tous qu'il trouve c'est de l'incompréhension.

- voyons Eléna, qu'est ce qui te prends ? Tu t'es fait mal ?

Je lui répond seulement d'un hochement négatif de la tête. Il fini par me prendre maladroitement dans ses bras. Je me tourne et entour mes bras autour de son torse. Nous restons ainsi un petit moment, le temps que mes larmes cessent. Il me berce doucement en m'embrassant de temps à autres le font tandis que des soubresauts viennent argumenter mes larmes. Je relève doucement mes yeux vers ceux de Aaron. Il me regarde sans dire un mots puis passe ses pouces sur mes joues afin deffacer les sillons qu'ont formé mes larmes. Je ferme les yeux afin de me calmer. C'est alors que je sens les lèvres de Aaron se poser sur les miennes. Le moment se fait doux, agréables, calme. Je pose, hésitante mes mains sur les joues de Aaron et profite un maximum du moment présent. Les seconde paraissent des minutes. Il fini par se reculer doucement en me souriant. Il baisse ensuite le regard et une expression de surprise apparaît sur son visage.

- Ou as tu eu ça, Me demande t'il en prenant entre ses doigts la chaîne de mon collier.

- c'est un cadeaux de Jessica. Dis je sans vraiment comprendre.

- J'ai déjà vu ce collier dans un livre.

Il se redresse et se penche sur la table pour attraper l'un des livres feuilleté plus tôt. Il l'ouvre et passe les pages rapidement avant de sourire et de se tourner vers moi, le livre entre les mains.

- Je crois avoir trouvé une réponse.

Aaron pose le livre devant moi et se penche pour me l'expliquer. Je ne comprend même pas le titre «  Amantes pegar ».

- Le titre veut dire «  collier des amoureux » en latin. Le collier selon le livre est censé émettre une lumière blanche quand le possesseur est proche de son âme sur. Plus les âmes surs seront puissants, plus la lumières émise par le collier sera forte et puissante. Dit il en me souriant.

Il me regarde alors et me sourit en sortant de sous son tee shirt un collier ide,tiques à celui représenté dans le livre. Il reprend ensuite sa lecture.

- Mais il faut faire attention. Ce collier est puissant. Il ne doit en aucun cas être mis à proximité d'un collier de défense. Les deux colliers se repousseront. La sorcière créatrice du collier des amoureux à était trompée par son âme sur, le vampire créateur du collier de défense. Ces deux bijoux ne peuvent plus être l'un à coté de l'autre depuis que cette sorcière a eu le cur brisé.

Je ne dis rien, je réfléchis juste à ce que viens de lire Aaron. C'est donc nos colliers qui nous ont expédié de chaque côtés de la salle dentraînement ?

- je crois que nous avons notre réponse. Dis Aaron en déposant un baisé sur ma joue.

Je reste surprise pas son geste et pose ma main sur ma joue. A l'endroit où se sont posées ses lèvres quelques secondes plus tôt. Il me sourit, mais il disparaît vite à lentente de la sonnerie de portable d'Aaron. Il sort le mobile de sa poche avant de reculer un peu pour répondre.

- Allô, Monsieur L ? Non pas encore... Bien sûr que je... Oui, pardon monsieur. Quoi ?! Non !...

Il me lance un regard avant de soupirer.

-Très bien, Je fais cela tout de suite. A très vite monsieur L.

Aaron s'approche de moi en rangeant son téléphone dans sa poche.

- Eléna je suis vraiment désolé.

- Désolé de quoi Aaron? Dis je perdu

Il me lance un regard triste puis sapproche de moi.

- je suis vraiment désolé.

Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'un violent coup mest donné à la tête et je perds connaissance rapidement.