Fille au cœur d'acier, débarque à la tess. TOME 2

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Cela fait exactement, six semaines que mon trésor est couchée sur ce lit d'hôpital. Les médecins ont dit qu'ils avaient fait tous leurs possibles, et que c'est à elle maintenant de faire ça part. La peur me ronge de l'intérieur, je ne dors plus, ne mange plus. Tatiana est allé vivre chez l'oncle et la tante de Maëva pour pas qu'elle soit perturbé, Mathéo vit avec Kaïs. Je l'ai est vu quelque fois à l'hôpital mais sans plus, Mathéo est dans un sale état à ce qu'on m'a dit, et Kaïs s'en veut énormément. Les filles et les mecs viennent tous les jours pour savoir comment elle va, mais rien qui prouve qu'elle va s'en sortir. Pourtant, je me raccroche au peu d'espoir qu'il me reste, pour resté fort, pour elle. On m'a dit que j'avais beaucoup maigri et que j'avais de grosse cerne, mais je m'en fou. Anthony Menard vient rendre visite à Maëva tous les deux jours avec sa famille. Je suis content de voir, qu'elle s'est formé une famille. Sa peau est devenu blanche comme la cocaïne, ses cheveux ont poussé jusqu'à son nombril, ce qui lui va bien. Cette fille m'a piqué, elle a prit mon cœur sans que je m'en aperçoive et en ce moment même, elle le détient dans sa paume, si par malheur, elle meurt... Je mourrais car elle emporterai mon cœur avec elle. 

La porte s'ouvre, Rayan rentre dans la pièce. Il s'assoit sur l'autre fauteuil qui est disponible. Puis me demande:

Rayan: Des nouvelles?

Moi: Non.

Rayan: Elle va s'en sortir, c'est une battante.

Moi: Elle a tellement vécu de chose, qu'elle pourrait ne jamais se réveillé.

Rayan: Si elle doit partir, c'est le destin mais ne pense à ça, soit positif.

Je ricane, comment être positif, en voyant la femme que j'aime dan un lit d'hôpital, et qui est dans un coma.

Moi: Comment tu réagirais, si serait Inaya? Tu te souviens quand elle était, elle même dans un lit d'hôpital?!

Toute la colère que j'ai, je la déverse sur lui. Je sais qu'il n'y peut rien mais j'ai besoin de me défoulé.

Rayan: Oui, je m'en souviens, Si je me rappelle bien, c'est moi qui l'ai emmené à l'hôpital! Donc je suis le mieux placé pour te comprendre, je sais aussi que tu as besoin de trouvé quelqu'un pour te défoulé, donc vas y.

Moi: Hein?

Rayan: Défoule toi!

Moi: Tu te fous de ma gueule?!

Rayan: Non!

Moi: Vas te faire foutre!

Il souffle puis se lève, il pose sa main sur mon épaule et la sert doucement.

Rayan: Quand on a retrouvé les salopards qui ont violé et battue, Inaya. J'étais soulagé, on leur a fais mal, très mal. A partir de ce moment là, je suis arrivé à soufflé et je pense que tu devrais faire de même.

Moi: Ouais sauf qu'on l'a toujours pas retrouvé, cette merde!

Rayan: Si, on vient de le retrouvé avec les autres, je suis venue te le dire.

Je le regarde dans les yeux pour en être sur, et j'ai la confirmation de ce qu'il me fallait. Je suis soulagé d'un premier temps puis la colère mélangé à la haine refait surface. Je vais le tué cet enculé!

Moi: Il est où?

Rayan: A l'entrepôt.

Moi: Reste avec Maëva, je te fais confiance.

Il hoche la tête puis je m'en vais à tout allure, je monte dans ma Mercedes que je viens d'acheté. Le trajet se fait en à peine dix minutes alors que normalement, on le fait en vingt. Des hommes à moi, garde la porte de l'entrepôt, ils me font un signe de tête auquel je réponds. Cet entrepôt, nous sers pour des réunion avec d'autre membre d'une mafia, et pour faire parlé des ennemies. Je me dirige vers Ilyes qui est assit sur une chaise devant une porte.

Moi: Il est là dedans?

Lui: Ouais.

J'ouvre la porte et rentre dans la pièce. Un homme est attaché au plafond, par des chaines, son visage et son torse sont couvert de sang. Apparemment les autres on déjà commencé, je m'approche de lui et le gifle pour qu'il se réveille. Il ouvre les yeux difficilement, dès qu'il me voit, ses yeux s'écarquille.

Moi: Alors comme ça, c'est toi qui à tiré sur ma femme?

Je parle d'une voix douce et calme, il put la peur ce connard.

Moi: Alors?

Lui: Je ne savais pas que c'était ta femme...

Moi: Et? Tu voudrais que je te laisse partir, je suppose?

Il ne me répond pas, ce qui à le don de m'énervé!

Moi: Bon par quoi, va-t-on commencé? Le couteau? La batte de Baseball? Dis moi, qu'est ce que tu en penses?

Lui: Pitié...

Ma colère monte, je prends le couteau et je le lui plante dans son genou. Il hurle de douleur, la fête va pouvoir commencé!

Quand je ressors de cet entrepôt, il fait déjà nuit. J'ai pus passé mes nerf, sur ce mange merde! Je ne croise pas Ilyes donc il a dut rentrer chez lui. Moi, mon chez moi, c'est dans les bras de Maëva donc je retourne à l'hôpital, cette fois je mets bien vingt minutes. Normalement, je n'ai pas le droit de rester dormir avec elle mais j'ai pus payer le médecin qui se charge d'elle. En arrivant dans la chambre, je vois Rayan sur son fauteuil, il tourne la tête vers moi quand il m'entends rentrer.

Rayan: C'est bon?

Moi: Oui, il nous causera plus de problème.

Rayan: Rien ne c'est passé pendant ton absence, je suis désolé.

J'aurais aimé, qu'elle bouge même juste le petit doigt malgré que je ne sois pas là.

Moi: Merci, tu rentres?

Rayan: Ouais, bonne nuit.

Moi: Merci, à toi aussi.

On se sourit puis il part, je me retrouve encore seul dans cette chambre malgré qu'elle soit avec moi. Je décide de lui raconté ma journée comme d'habitude.

Moi: Salut trésor, j'espère que tu t'es pas ennuyé sans moi.

Je m'assois à coté d'elle, et lui prend la main pour la réchauffé.

Moi: Aujourd'hui, j'ai tué l'homme qui t'as mis dans cet état. Je l'ai fais souffrir avant, je voulais qu'il paye, et c'est fait. J'aimerais vraiment que tu te réveilles, que tu me souris avec tes yeux marrons et que tu me dise d'arrêter de te collé.  Tu me manques affreusement, c'est comme si ma vie était insignifiante sans toi. Je t'aime mon trésor.

D'un coup les machines on commencé à faire du bruit, des infirmiers et des infirmières sont rentrés en vitesse dans la chambre.

Infirmier: Veuillez sortir monsieur.

J'étais comme paralysé sur place, ils sont réussi à  me faire sortir par je ne sais qu'elle miracle. Je me suis laissé glissé contre le mur, pleins de personnes rentraient et sortaient de la chambre puis on m'a dit qu'ils emmenés Maëva dans une salle d'opération puis plus rien, le calme a prit place dans un silence lourd et froid.