Les heures sont passer à une lenteur effroyable. Nous sommes rester le plus longtemps possible mais il a fallut qu'on laisse Inaya se reposer. Elle a un gros bandage au niveau de son front et aussi un grand pansement. Des bleues se sont révélés au fur et à mesure du temps, je n'imagine même pas son corps. Nous sommes au parking de l'hôpital depuis dix bonnes minutes, Nabil tourne en rond comme un lion en cage, Rayan fume clope sur clope, Ilyes est assit sur le petit trottoir les yeux dans le vide et Rédouane est au téléphone depuis un moment. Moi? Mon regarde se porte droit devant moi, je vois des formes qui bougent mais je n'arrive pas à les cerner. Les hôpitaux ne sont pas tout le temps signe de bonnes nouvelles malheureusement. J'ai espérer pendant ces heures qu'Inaya se réveille et me dise que c'est une blague mais tout cela ne c'est jamais réaliser, pourtant j'ai prier dieu. Ça ne m'arrive pas souvent de prier, de me remettre à Dieu mais dans ces conditions il le faut car sans ça, je deviendrai folle même si je le suis déjà un peu. Inaya est une personne merveilleuse, elle est belle, intelligente, drôle et à l'écoute...
Nabil: Comment je vais pouvoir dire ça à ma mère?
Il n'attend pas de réponse c'est pour cela que personne ne répond. C'est vrai, qui voudrait savoir que son enfant est à l'hôpital avec des multiples fractures... Quand je pense que ça peut arriver à ma fille j'ai mon estomac qui se retourne juste à l'idée.
Moi: Je dois rentrer.
La peur c'est insérer dans ma peau et au plus profonds de moi même, j'ai besoin de la prendre dans mes bras et de la sentir coller à moi.
Rédouane: Je vais te raccompagner.
J'hoche la tête et me dirige vers Nabil, il dut sentir ma présence car il releva la tête et me prit dans se bras en me serrant fort.
Nabil: Merci car sans toi, elle ne serait peut être plus en vie.
Moi: C'est normal, elle aurait fait pareille pour moi et on est une famille.
Nabil: Je t'en dois une.
Ces yeux était rouges, les larmes avaient beaucoup couler cette nuit et elles couleront encore si Inaya ne se rétablit pas. Rédouane passe son bras autour de moi, quelque part il me soutient mentalement et physiquement. Car, honnêtement, je ne sais pas comment je fais encore pour marcher, peut être le besoin de voir ma fille ou l'habitude de ne pas s'effondrer et se relever quoi qu'il arrive. Comment je fais? Nulle le sait car même moi je nage dans le flou absolue. Quand Rédouane m'ouvre la porte de la voiture, je réalise soudain que le trajet c'est passer sans que je m'en rende compte. Nous montons les escaliers dans un silence total, pas un bruit se fait entendre. Rédouane sonne à la porte car je n'avais pas prit mes clés dans la précipitation cette nuit, c'est Monica qui vient nous ouvrir. Je ne fais pas gaffe à elle, mon corps se dirige comme une automate dans la chambre de mon bébé, auquel j'entend ses rires. La porte est entrebâillé dons je l'aperçois assez rapidement, assise sur son tapis, en jouant avec ses Barbie. Quand elle me voit enfin, Tatiana me saute dessus.
Tatiana: Maman, tu m'as manquer!
Moi: Moi aussi mon bébé, je t'aime!
Tatiana: Je t'aime.
Je la serre fort dans mes bras, mon cou plonger dans ses cheveux blond qui sente la fraise à cause de son shampoing.
Tatiana: Maman tu sers fort.
Moi: Désolé mon bébé, c'est juste que maman est contente de te voir.
Elle me sourit puis repart jouer, l'inquiétude et la peur s'envole peu à peu même si je sais que je n'arrêterais jamais de m'en faire pour elle. C'est bien connu, un parent n'arrête jamais de s'inquiéter pour son enfant.
Rédouane: Elle va bien.
Moi: Je sais mais...
Rédouane pose sa main sur mon épaule et la serre doucement, par ce geste je sais qu'il comprend.
Moi: On peut parler?
Lui: Hum.
Il referme la porte de ma chambre derrière lui, on s'assoit sur le lit.
Moi: Tu as une idée?
Lui: Ça peut être tellement de monde que ça va être dur de remonter mais on y arriver.
Moi: Il faudrait qu'Inaya se réveille pour que nous ayons des informations.
Lui: Oui.
Moi: Je vais demander de l'aide par Anthony...
Lui: Non, c'est nos problèmes. Si on lui en demande ça nous fera passer pour des personnes qui ne sont pas capables de régler ses affaires.
Moi: Mais si j'en parle pour qu'il m'aide moi...
Lui: Non.
Moi: D'accord.
Lui: Bien, fais gaffe à toi, on c'est jamais.
Moi: Je vais être prudente.
Lui: Je sais, je m'excuse de ne pas t'avoir répondu mais je ne pouvais pas et mon tel étais sur silencieux.
Moi: Au début je t'avoue que je t'en voulait mais maintenant ça va.
Lui: Hum... Bon je vais y aller.
Moi: D'accord.
Dans la peau de Rédouane
Monica referme la porte d'entrée derrière moi, quand Rayan ma appeler pur me dire ce qu'il c'était passer j'ai eu peur. Peur pour Inaya car c'est comme ma petite sœur mais j'ai aussi eu peur pour Maëva car elle aurait pu être blesser si un agresseur serait revenu pour finir le travail. Mais quand je l'ai vue à l'hôpital sans égratignure, un soulagement m'envahit. Le salaud qui a fait ça à Inaya va payer. Elle ne méritait pas ça. Je rejoins les mecs à la base pour parler de l'attaque, en arrivant je vois tout le monde rassembler parfait.
Moi: On m'écoute!
Le silence fait place dans la pièce, tous les regards se posent sur moi.
Moi: Je pense que vous avez entendu de ce qui c'est passer cette nuit, Inaya la sœur de Nabil à été agresser violemment. Je veux tout le monde sur le coup, vous me rassembler tout ce que vous pouvez. A partir de se soir je veux des informations! Vous faite passer l'infos que milles euros et donner a celui que me donnera une info quelconque sur l'agression. Au boulot!!!!
Les gars s'éparpillent tous, Nabil, Ilyes, Sofiane et Rayan viennent me voir.
Moi: Tu as trouver un truc So?
Sofiane: Non rien du tout, pourtant j'y suis de puis un bon moment.
Nabil: Les caméras?
Sofiane; A ce moment rien ne marche comme par hasard.
Rayan: Merde! Il faut qu'elle se réveille.
Moi: Tu as appeler ta mère?
Nabil: Oui.
Personne n'insiste pas plus, on c'est très bien que la conversation n'a pas du être une partie de plaisir.
Moi: On va trouver ses fils de putes et les faire souffrir.
Nabil: Je sais mon frère, le problème c'est qu'imagine ils ont fait plus?
Quand Maëva a poser la question on a eu peur mais aussi du soulagement, car personne ne voulait le demander. Elle a était la seule a voir la vérité en face, qu'Inaya a pu être abuser sexuellement.
Ilyes: On leurs fera pires, tu as notre parole.
Nous scellons un pacte silencieusement et tant qu'il ne sera pas abouti personne ne pourra avancer et le sang coulera.
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Fille au cœur d'acier, débarque à la tess. TOME 2
Ficção GeralCinq ans. Cinq longues années passer loin de la France, loin de mes amis mais aussi loin de lui. Est ce que je peux faire abstraction de mes sentiments pour lui et continuer de vivre pour ne pas souffrir? Je ne sais pas car même dans mes rêve il es...