Chapitre 24

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Moi: J'ai du rester dans cette cave environ un mois je dirais j'avais perdu la notion du temps, je vais pas rentrer dans les détails car même moi je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir jusque là. Un soir par un élan de courage ou plutôt de faiblesse j'ai fais semblant d'être morte restant inerte sur le sol. Enfin une partie de moi était morte depuis un mois de toute façon. Un de ces idiots y a cru et m'a détaché, c'est idiots avaient toujours un tas de poignards sur eux alors j'ai pris celui qui était à sa cheville et lui ai tranchée la gorge avec.

Je me souviens à cet instant j'avais hésité entre me tuer et le tuer, pendant longtemps j'ai cru que j'avais pris la mauvaise décision en décidant de rester en vie;

Moi: Comme la porte était ouverte je me suis enfuie sans regarder derrière moi car si un des autres me voyait le tuer n'aurait servis à rien. J'ai du errer comme ça pendant plusieurs jours évitant les hommes partis à ma recherche. J'ai bien du en tuer encore deux ou trois assez ironique quand deux mois avant on refusait encore de m'apprendre à me battre.

Je souffle un bon coup

Moi: Mais j'ai pas perdue espoir car dans toute cette merde il me restait encore quelqu'un donc discrètement je me suis dirigée chez elle. Je crois j'ai jamais autant pleuré en la voyant et faut dire quelle m'a vue pleurer comme une madeleine pour ce garçon dont j'étais tombée amoureuse.

Je fais un léger sourire qui contraste avec mes yeux mouillés

Moi: Pendant ce laps de temps où j'ai étais chez elle, on a découvert qu'elle était enceinte ce qui était un véritable miracle. On a vécu trois ans ensemble, dont deux avec un petit ange qui éclairé tout comme un phare en pleine nuit. Et en le voyant un soir entrain de me raconter sa journée j'ai pris l'une des décisions les plus difficiles de ma vie.

Je me resserre contre Livaï, ayant besoin de ses bras protecteurs

Moi: J'ai réuni la somme d'argent pour deux personnes pour un accès à l'extérieur pour que ce gosse puisse vivre librement et heureux et pas là où j'ai grandi, mon amie ne voulait pas mais j'ai insisté et elle a finalement acceptée. J'ai volontairement décidée de vivre dans ma plus grande peur pour qu'ils puissent avoir un avenir radieux.

Je vois les regards compatissants de tous l'ambiance qui il y a quelques heures était à la rigolade est devenue bien maussade.

Hanji: Mais comment t'as réussi à atteindre la surface?

Livaï: Tch laisse la parler.

Je ne peux m'empêcher d'avoir un rictus

Moi: J'ai volé les brigades spéciales et me suis faufilée à l'extérieur après c'était une course poursuite interminable et quand j'ai rencontré un groupe qui voulait aller à l'extérieur des murs c'était une aubaine pour moi alors j'ai pas réfléchit j'ai juste foncé. Et après vous connaissez la suite de l'histoire. Alors Historia tu veux toujours ma vie?

Un blanc s'était installé

Jean: Mais Demeter et le reste tu les as rencontré quand?

Moi: Après ma fuite du bataillon qui voulait me renvoyer dans les bas-fonds

Je sens le corps de Livaï réagir, je sais qu'il s'en veut encore pour ça et que mon histoire à réouvert des blessures bien dissimulées ou plutôt lui a rappelé des blessures qui ne sont jamais refermées. Alors malgré la présence des autres et le fait que mes mains sont déjà entrelacer avec les siennes pour m'entourer de ses bras.

Moi: Je volais, les brigades étaient à mes trousses et comme je regardais pas où j'allais je suis rentrée dans Demeter qui lui aussi était poursuivi, on s'est entraidé et le courant est bien passé. Après une fois on a engendré une bagarre dans un taverne et la garnison à débarquer. Pixis a vu un potentiel en nous et nous a forcé à rejoindre ses rangs là bas on a rencontré le reste de notre troupe et on s'est senti plutôt bien.

Mon récit est enfin terminé et je décide de me lever pour aller dormir

Moi: Me regardez pas avec pitié bien au contraire le passé est le passé je suis passée outre, je suis debout face à vous, le sourire au lèvre car je profite du moment présent! Bon j'y vais je pense que l'ambiance jeu est un peu morte.

Sur ce je pars rejoindre ma chambre, tout ce que je leur ai raconté est la vérité mais j'ai passé certains passages que je n'ai jamais oublié malgré que c'est ce que je souhaite le plus au monde.

Je suis dans la cave, je les entends descendre ils ont l'air d'être plusieurs, j'essaye de retirer mes chaînes mais les chaînes sont trop bien plantées. J'essaye de m'éloigner le plus loin possible mais ma course s'arrête vite.

Homme1: Hey ma jolie tu crois essayer de faire quoi là ahah

Il commence à lever sa main sur moi pour me frapper mais le deuxième l'en empêche.

Homme2: La frappe pas, elle a un corps parfait va pas le gâcher.

Homme1: Alors on en fait quoi?

Je vois le sourire des deux hommes comme ci ils venaient d'avoir une idée.

Ils s'approchent de moi j'essaye de les repousser en vain. Livaï ou es tu? Je les sens enlever mes vêtements me retrouvant nue face à eux. Ils commencent à me toucher et à me pénétrer afin de prendre leur plaisir. Je pleure essayant de les repousser mais ils arrivent à m'en empêcher.

Moi: Livaï...

J'entends les rire des deux hommes

Homme2: Il ne reviendra pas arrête de t'y accrocher.

Homme1: Non laisse la l'appeler en vain ça me plaît bien ahah

Homme2: Même si il venait ma belle tu crois vraiment qu'il voudrait encore d'une p*te comme toi? Maintenant t'es notre propriété tu feras tout ce qu'on te dira et que tu le veuille ou non.

J'ouvre les yeux et prend une grande inspiration ou est-ce que je suis? C'était qu'un mauvais souvenir hein. Seulement habillée d'un tee-shirt et d'une chemise je sors de ma chambre, mes pas me guide jusqu'à la chambre de Livaï.

Je pousse la porte et me trouve face au brun qui ne dormais pas allongé sur son lit à penser, éclairé par la lumière de la lune. Je lui demande même pas la permission et m'installe à côté de lui. C'est seulement quand j'atteins son lit qu'il me remarque. Je tremble mon cerveau obsédé par ce que je souhaite oublié je sens les larmes sur mes joues. Je vois la peur dans ses yeux alors que je fonce dans ses bras. Il est là c'était qu'un souvenir.

Livaï: Philia qu'est-ce qui se passe?!

Il essaye d'arrêter mes larmes avec ses pouces

Moi: T'es là hein, t'es réel? Je suis réveillée t'es pas une hallucination? Ils sont plus là hein?

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Merciii d'avoir lu^^

Désolée les deux derniers chapitres postés sont pas très joyeux...

Lonely Où les histoires vivent. Découvrez maintenant