Chapitre 4 : The aftermath

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Je n'avais plus de larmes à pleurer, mon corps entier était asséché mais la triste, elle, n'avait pas disparu. Elle se faisait juste plus silencieux. L'épuisement pris peu à peu le pas, je fermai les yeux, blottie contre le torse de RM. Sentir son corps chaud et son cœur battre me berçait, je me sentais en sécurité.


RM (parlant anglais) : Hé, réveillez-toi.


RM me caressa délicatement le haut du crâne, il n'y avait que tendresse dans ses gestes. J'ouvris petit à petit les yeux, j'étais perdue, mon âme entière était douloureuse.


RM (parlant anglais) : On est en sécurité ici, tu peux sortir.

Lyana (parlant anglais) : Où sommes-nous ?

Manager (parlant coréen) : RM, tu peux lui expliquer la situation ?

RM (parlant anglais) : Nous sommes dans un hôtel sécurisé que notre agence à appeler pour nous. Tu vas devoir rester ici jusqu'à demain matin. Il faut éviter toutes communications avec l'extérieure tant que nous ne connaissons pas les causes de cet attentat. Je suis désolé de te faire vivre ca mais nous devons te couper du monde avec nous pour cette nuit.

Lyana (parlant anglais) : Je comprends, il n'y a pas de problème

Manager (parlant anglais) : Tu, vous, ta famille ? Prendre euh non prévenir

Lyana (parlant anglais) : Je suis désolé je ne comprends pas bien ce que vous dites.

RM (parlant anglais) : Notre manager peut prévenir ta famille si tu veux.

Lyana (parlant anglais) : Ce n'est pas nécessaire, ma famille vit en France, l'information de l'attentat n'a pas encore dû fuiter là-bas. Je ne veux pas les inquiéter pour rien.


Je descendis du van, mes jambes avaient arrêter de trembler, elles me portaient de nouveau alors que je me sentais si lourde.


Manager (parlant coréen) : Suivez moi, on va passer par derrière, personne ne doit vous voir, vous avez interdiction de sortir de votre chambre pour cette nuit.


RM me prit par le bras et me laissai guider par lui. Je n'étais plus qu'un pantin inanimé.

Arrivant devant la porte arrière de l'hôtel, chacun commença à se couvrir le visage  avec leurs vestes ou quoi que ce soit le permettant. RM, lui, enleva son blouson et nous couvrit tout deux. On se retrouva accolé l'un l'autre, marchant à unisson.


Manager (parlant coréen) : Les gars venaient, on monte au dernier étage.


On se précipita vers l'ascenseur. Je me laissai toujours mener sans vraiment comprendre ce qu'il se passait et dans quelle situation je me trouvais.


 Dernier étage.

Lorsque les portes s'ouvrèrent, je vis un palace.

Lorsque les portes s'ouvrèrent, je vis un palace

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