Notre nouvelle cargaison de cocaïne est arrivé à bon port, nous allons pouvoir la distribué dans peu de temps. Je vérifie des papiers dans mon bureau quand on frappe à la porte
-Entrez.
-Salut, cousin!
Je lève les yeux de mon ordinateur et je vois mon cousin Luca, je suis surpris car il ne devait arrivé que demain dans la journée, mais bon...
-Salut, comme vas-tu?
Il me sourit et s'assoit dans la chaise en face de mon bureau.
-Ça va et toi?
-Bien, alors comment se sont passé les affaires?
Il soupire avant de sortir un gros dossier de son sac.
-Toujours le boulot avec toi, au moins rien n'a changé en mon absence!
Je tends la main et récupère le dossier, je le feuilletterais plus tard dans la soirée.
-Ne t'inquiète pas, rien à changé en deux mois.
-Hum, je suis dégoûté d'avoir raté ton anniversaire.
Je hausse les épaules, de toute façon ce n'était rien de particulier.
-C'est pas grave.
-Alors tu n'as pas trouvé de femme?
-Pourquoi tu me demande ça?
-Comme ça...
Si je ne le connaîtrais pas autant, j'aurais juré qu'il ne me mentait pas mais pas de chance pour lui, je le connais comme ma poche.
-Crache le morceau, sifflé-je.
Il soupire avant de me regarder dans les yeux.
-Ton père m'a parlé d'une femme que tu as rencontré, lors de ton anniversaire...
J'y crois pas, maintenant, c'est au tour de mon père de se mêler de ma vie personnelle! Je ne sais pas quoi dire ou faire pour qu'il me laisse tranquille et ça devient vraiment pesant toute cette histoire.
-Il n'y a rien à dire.
C'est vrai, elle ne m'a jamais appelé, pourtant, j'ai espérer au fond de moi même. Tans pis pour elle, je ne cours pas après les chattes et ce ne sera pas pour elle que je droguerait à ça. Si elle ne veut pas de moi, et bien soit.
-D'accord, bon, je vais te laisser. Il faut que je vois mes parents.
-D'accord, bonne soirée.
Il hoche la tête et sors de mon bureau, j'essaye de me remettre au travail mais mon cerveau, ne pense qu'à une seule chose...Rosalia. Mes doigts pianotent sur le clavier de mon PC, je suis frustré de ne pas avoir de nouvelles d'elle. Ma montre indique dix-huit heures trente, je pourrais peut-être, passé devant sa boutique... Non! Reprends toi, Giulian! On ne cours pas après une femme! Je rumine pendant encore cinq minutes puis je me lève brusquement, j'attrape ma veste en vitesse et je sors de mon bureau.
Quand j'arrive devant la porte d'entrée, mon chauffeur, Paolo, est déjà dans la voiture. Il doit avoir un sixième sens ou c'est peut être mon majordome qui lui a dit. Je ne réfléchis pas plus et monte dans la voiture, un autre quatre-quatre, est derrière nous.
-A la boutique de Rosalia.
Il opine et nous nous engageons deux minutes plus tard sur la route. Pas besoin de plus d'indications car il sait où se trouve la boutique. Depuis la fête de mon anniversaire, il y a plus d'un mois, je suis passé devant sa boutique pour voir si elle allait bien.Je ne suis pas fou, juste protecteur... Mais de pourquoi? Ce n'est même pas femme ou ma petite amie, je suis peut être malade dans ma tête.
VOUS LISEZ
Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture
General FictionRosalia Lucania Je n'ai jamais eus à me plaindre. Mon père m'a bien élevé, il a tout fait pour que mes rêves se réalisent. J'ai voulus ouvrir ma propre boutique de styliste et j'ai pus le faire grâce à lui. Il a comblé le manque maternelle en devena...