21. Rosalia

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Les sacs sont prêts pour le weekend, je suis contente et en même temps stresser, de passer les fêtes avec la famille de Giulian. Heureusement que mon père vient. Au début, il n'a pas voulus, sous prétexte, qu'il ne voulait déranger personne. Mais je ne sais comment, mon père à décider de venir donc je ne m'en plaint pas. Nous avons toujours fêter les fêtes ensembles, le peut de famille qui nous reste vit loin donc on les voit rarement. 

Giulian rentre dans notre chambre, maintenant je l'appelle "notre" chambre car Giulian a fait déménager toute mes affaires chez lui. Ça c'est passer le lendemain de notre sortie, je suis allé passé la journée à la boutique pour superviser un peu et quand je suis rentrer, j'ai trouvé toute mes affaires ranger dans notre chambre. Ce qui me reste dans mon appartement, je vais sois le donné ou le vendre car je n'en aurais plus besoin, je site la phrase de Giulian. Premièrement, je me suis énerver contre lui car je voulais faire ça moi même, et après mure réflexion, je lui ai pardonné. Et on peut dire, qu'il sait se faire pardonner...

-Tu as préparé nos sacs? demande Giulian.

-Oui, au moins c'est fait et au moins, je n'ai pas à le faire se soir ou a la dernière minute demain matin.

-Merci, bébé. Tu as mangé quoi, ce midi?

Giulian est partis ce matin, très tôt, donc je ne l'ai pas vu depuis hier soir. Il passe ses bras autour de ma taille et m'attire contre lui.

-Alberto avait fait des légumes avec du poulet. Et à quatre heures, j'ai fait des crêpes. 

Giulian sourit.

-Ah bon? Alberto ne laisse jamais personne touché sa cuisine à part ce qui  l'aide.

J'hausse les épaules.

-Bon, j'avoue qu'au début il voulait pas mais à force il a capituler. Par contre j'ai dus faire mes crêpes sous son inspection.

-Tu m'étonnes, et alors il t'en reste?

-Oui, j'en ai fait beaucoup, j'en ai garder une dizaine pour toi et moi. Et les autres, je les ai donné pour Alberto et le personnel. Alberto m'a carrément fait un compliment sur mes crêpes. Alors que pendant la préparation, il ne faisait que froncer les sourcils. 

-Alberto ne dois pas utiliser les mêmes ingrédients que toi. 

-Je pense que ça doit être cela mais il a été content aussi car ça faisait longtemps qu'il n'avait pas fait et manger des crêpes. 

-Je n'en mange pas donc il n'en fait pas et pour spirée mondaines que je fais ici, les gens ne mange pas de crêpes au Nutella ou au sucre.

-Quel gâchis! Tu s'es pas ce que tu rates!

-Heureusement que tu en a fait, je vais pouvoir me rattraper.

Les lèvres de Giulian fondent sur les miennes avec ardeur et gourmandise. Cette homme me rends folle dès qu'il me touche mais dès qu'il m'embrasse, je ne réponds plus de rien. Giulian s'écarte trop vite de moi, à mon gout. 

-Il faut que j'aille passer un coup de file, on se rejoint dans le salon, dans un quart d'heure? Avec tes crêpes?

-Parfait.

Il me dépose un baiser chaste sur mes lèvres et sors de la chambre, je finis de mettre les cadeaux dans un sac. Au cours de la semaine, je suis allé au centre commercial, pour aller acheter les derniers cadeaux qui me manquait. Je descends ensuite dans la cuisine, je mets les crêpes sur un plateau avec un pot de Nutella et du sucre. Alberto rentre dans la cuisine au moment où je vais pour sortir, heureusement rien n'est tombé parterre. 

-Donnez mademoiselle, je vais vous le porter.

-Ce n'est rien Alberto, je vais juste le poser dans le salon.

-Je peux peut-être, vous apporter quelque chose, au moins vous ne faite pas d'aller retour.

-Je veux bien s'il vous plait, est ce que vous pouvez nous faire deux chocolat chaud à moi et Giulian?

-Bien sûr, je vous apporte ça de suite. Et si je peux me le permettre, vous faite beaucoup^p de bien à Monsieur Castelli. Il fait des choses qu'il n'a jamais faites.

Je souris à Alberto, faute de ne pas savoir quoi lui répondre. J'avais remarquer que Giulian ne se comporter pas de la même manière avec les autres qu'avec moi. Il se montre plus doux, plus compréhensif. Et les regards d'Alberto me montrer que quelque chose avait changer mais je ne m'en préoccupé pas tant. Je fais du bien à Giulian comme lui m'en fait, nous arrivons à donner à l'un et à m'autre ce qu'il a besoin. 

Je pose le plateau sur la table basse et m'installe sur le canapé, Giulian ne devrait pas tarder. J'allume la tété en attendant, je tombe sur un film de Noël qui a l'air sympa donc je le laisse. Prise dans le fils, je ne remarque pas tout de suite la présence de Giulian dans le salon. Il est devant le canapé et ma rage en souriant.

-Tu es là depuis longtemps?

-Oui, tu aimes?

Il fait un mouvement de la tête en direction de la télé.

-J'aime les films de Noël, et toi?

Giulian s'assoit à coté de moi sur le canapé.

-Je n'en ai jamais regarder ou peut-être tout petit. 

-Tu veux qu'on mette autre chose?

-Non c'est bon, laisse.

-Tu veux une crêpe au Nutella ou au sucre?

-Nutella, s'il te plait.

Je lui fais sa crêpe puis la mienne, également au Nutella. Alberto nous apporte nos chocolat chaud.

-Merci, Alberto.

-C'est quoi?demande Giulian.

-C'est cacao, dis-je avec le sourire aux lèvres.

Alberto peine à cacher son sourire, il s'en va au plus vite. La tête de Giulian est exceptionnel, il regarde la tasse comme si elle était empoisonné. 

-Tu en as déjà bu, non?

-Enfant, je suppose.

Cet homme est plain de surprise.

-Goute, tu vas aimer!

Je prends une grande gorgée de ma boisson chaude avec plaisir. C'est tellement bon! Giulian fait pareille puis sourit.

-C'est pas mauvais! Bon mangeons tes crêpes.

Giulian mange cinq crêpés et moi deux, comme j'en avais déjà manger dans l'après midi, j'avais eu ma dose. 

-Elles sont excellente tes crêpes! 

-Merci, la prochaine fois, je ferais des gaufres mais il faut d'abord voir si Alberto à la machine.

-S'il la pas, on va l'acheter.

-D'accord et ça c'est passé ton appel?

-Oui, ne t'inquiète pas.

J'acquiesce et je pose ensuite ma tête contre son torse, son bras s'enroule autour de ma taille. Nous regardons le film tranquillement, nous ne mangeons même pas avant d'aller se coucher. Une nuit de passion et inoubliable m'attendais, le lendemain matin, j'étais crever à en mourir. Mais dès que je me rappelle que nous allons chez les parents à Giulian, mes neurones se mettent en marches et le sommeil se coupe en une fraction de seconde.

Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant