Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture

27. Giulian

Un bébé.
Rosalia porte mon bébé, notre bébé. Je suis tellement content mais a la fois stresser à mort. Ce n'est pas rien un enfant, c'est des responsabilité et je me dois de le protéger jusqu'au péril de ma vie. Et c'est la promesse que je me suis faite quand j'ai apprit que Rosalia était enceinte.

Nous allons l'annoncer à notre famille plus tard quand Rosalie commencera son deuxième trimestre. Je rentre dans la chambre que la clinique a attribué à Rosalia, elle dort encore ce qui me surprend.

Je m'assoie sur le lit est fais attention à ne pas lui faire mal. On voit encore des hématomes sur son visage mais sa commence à s'estomper. Je dépose un baiser sur son front, là où sa peau est intacte. Ses paupières s'ouvrent doucement, elle regarde de partout avant de tomber sur moi. Son regard est plein d'amour et de tendresse.

-Salut, bébé, dis-je.

-Salut, toi.

Je fonds sur ses lèvres et l'embrasse langoureusement, elle m'a manquer pendant cette semaine malgré que j'ai dormis avec elle car je ne voulais pas me séparer d'elle. Je met fin a notre baiser même si j'ai envie d'aller plus loin.

-Prépare toi, tu peux sortir.

-C'est vrai? Demande-t-elle.

-Oui, le médecin a dit qu'il fallait que tu te ménage mais que tu pouvais sortir.

-Super.

Elle se lève puis va dans la salle de bain pour se préparer. Je la laisse tranquille et je vais remplir les papiers pour qu'elle sorte. Une demie heure plus tard, nous sommes dans une voiture entourés de quatre voitures, deux à l'avant et deux à l'arrière. Depuis l'accident j'ai doublé les effectifs, je ne veux reprendre aucun risque et surtout que maintenant, il n'y a plus que Rosalia à protéger mais aussi notre bébé.

Arriver à la maison, Je monte avec Rosalia pour qu'elle se repose car elle est encore fatiguer du a l'accident.

-Repose toi, d'accord? Je vais aller travailler, si tu as besoin appelle moi.

-T'inquiète pas.

Je l'embrasse sur le front puis descend et me dirige dans mon bureau. Quelqu'un frappe à la porte.

-Entrez!

Alberto passe le pas de la porte et me souris.

-Excusez moi de vous déranger monsieur mais est ce que vous avez besoin de quelque chose?

-Non merci, Alberto.

Il hoche la tête mais ne sort quand même pas de la pièce.

-Autre chose?

-Je viens aussi prendre des nouvelles de madame Lucania et savoir si elle a besoin de quelque chose.

C'est étonnant comme le personnel c'est attaché à Rosalia en si peux de temps.

-Elle va bien mais elle est toujours fatiguée, je vous fait signe si elle a besoin.

-Bien, Monsieur.

Alberto sort enfin de mon bureau mais quelque minutes plus tard d'autres coups tapent sur ma porte.

-Entrez!

Enzo rentre dans mon bureau et s'assoit sur un siège en face de moi. Il était prévue qu'il vienne pour qu'on parle de ce qui nous est arrivé.

-Tu as pus trouvé qui sont à l'origine de tout ce bordel?!

-Oui, c'est la famille Russo. Apparemment, ils n'ont pas apprécier que Clara ne t'épouse pas.

Ces enfoirés de Russo, je vais tous les tués! Ils ont mis la vie en danger de ma femme et mon enfant.