Les mains de Giulian sont partout sur mon corps, si on me demander comment je m'appelle, je ne serai pas lui répondre. Le baisé que nous partageons, moi et Giulian, est super excitant. Je suis comme une boule de nerf qui a besoin d'être apaiser et je ne connais qu'un moyen pour le faire. Mais Giulian à l'air d'avoir en vie de prendre son temps. Mes doigts enlève les boutons de sa chemise avec agilité, j'écarte ma bouche de la sienne pour reprendre mon souffle. Mais aussi, pour admirer son torse sculpté. Mes doigts parcours son torse pour toucher chaque relief. Quand je relève le regards, le regard de Giulian est sombre, il m'adresse un sourire carnassier.
-La vue te plait, bébé?
-Beaucoup!
Les lèvres de Giulian font encore une fois sur les miennes, avant de semer une pluies de baiser, le long de ma mâchoire puis sur ma clavicule. Je gémis doucement, en sentant ses douces lèvres sur mon corps.
-J'espère que tu ne tiens pas a ta robe.
-Quoi? dis-je, la tête dans les nuages.
Pas le temps de sortir la tête dans les nuages que ma robe tombe à mes pieds. Giulian vient de déchirer mes deux bretelles qui tenait ma robe. Quel homme des cavernes! Mais j'adore ça!
-Heureux?
-De ne plus avoir de barrière entre ton corps et le mien? Oui, sans aucun doute.
Je souris et l'embrasse, Giulian me pousse doucement jusqu'au lit. Quand l'arrière de mes genoux touche le bord du matelas, il me pousse doucement sur le lit pour que je sois allongé. Giulian se redresse et enlève sa chemise ainsi que son pantalon, il ne reste plus que son caleçon. La bosse qui déforme son caleçon et bien la preuve qu'il me désir.
-Retire ton soutiens gorge.
Je passe ma langue sur ma lèvre inférieur et retire doucement mon soutiens gorge, je le jette dans la pièce. Giulian caresse mes jambes doucement sans me quitter du regard une seule fois. Ses pouces crochètent ma culotte et la fait descendre le long de mes jambes avec tout autant de délicatesse. Haletante de plus en plus, mon corps est en feux. Chaque parcelle que Giulian touche, explose. Sa bouche trace un sillon de baiser sur ma jambe droite quand il arrive au cœur de mon plaisir, il repart pour un autre sillon de baiser mais cette fois sur ma jambe gauche.
-Non! Giulian, s'il te plait.
Ma bouche est sèche.
-Tu veux quoi?
-Je veux sentir ta bouche sur moi...
-Tu la sens déjà, ma bouche sur toi.
Quel allumeur!
-Je veux la sentir entre mes jambes!
Il sourit affrontement. Et quand enfin, Giulian pose ses lèvres sur mon clitoris, c'est la béatitude. Je ne contrôle plus rien, je ne suis que sensation. La bouche de Giulian est partout, sa langue glisse en moi, là où il peut sentir mon désir pour lui. Il grogne avant de caresser mon clitoris avec son pouce. Son doigt est miraculeux! La langue de Giulian me fait monter et monter... Jusqu'à ce qu'une vague de plaisir traverse mon corps avec chaleur.
-Giulian!
Mes doigts s'agrippent à ses cheveux pendant que je jouis. Giulian ne s'arrête pas et continue à me prodiguer ses caresses qui me fait durer le plaisir. Quand j'arrive enfin à reprendre conscience, Giulian est sur moi, sa bouche contre la mienne. Je peux sentir le gout de mon excitation sur sa langue, mélangé avec son odeur à lui.
-Giulian, si'il te plait...
Je sens son gland contre ma fente.
-Tu me veux?
-Oui!
D'un coup de rein, il rentre en moi doucement. C'est la première fois, que j'ai affaire à un aussi gros gabarit puis avec la dose d'abstinence que j'ai faite, mes parois sont serrés. Giulian glisse en moi comme du beurre. Quand il est rentrer, tout entier. Il ne bouge pas pour que je m'y habitue, quand l'excitation monte je donne un coup de rien pour lui montrer que c'est bon. Giulian bouge doucement en moi puis ses coups de rein sont profond et régulier.
-Oui, oh mon dieu!
Je ne sais plus où je suis, la seule chose qui compte au moment présent et l'orgasme qui approche à grands pas.
-Jouis bébé.
Giulian fait rouler mon clitoris entre son pouce et son index, il ne me faut pas plus pour tomber dans un orgasme phénoménal.
-Aaaah!
Je sens Giulian se raidir puis jouir. Heureusement qu'il a pensé à la capote car dans l'état dans lequel j'étais, je ne pensais plus qu'au plaisir. Giulian m'embrasse puis s'allonge sur le coté, nos souffles redeviennent régulier. Je me tourne vers lui et me blottie contre son torse, il enlève la capote et fait un nœud avant de la jeter je ne sais où.
-C'était merveilleux! Dis-je.
-Bien plus, je ne m'attendais pas à ça.
-En bien ou en mal?
-En bien, bien sûr.
-Ravie de t'avoir impressionné.
Il rigole puis puis passe sa main sur mes cotes.
-Tu as mal?
-Non.
-Tant mieux, car je n'en ai pas finis avec toi.
-Oh?
Que demander de mieux? En plus d'être un magnifique homme, c'est le meilleur coup de ma vie. Quand mes yeux descende vers le bas de son corps, je vois sa bite qui est a demi bandé. Il ne rigole pas à ce que je vois.
-On remet ça quand tu veux!
Il rigole à nouveau puis soulève mon menton pour que nos regards se croisent.
-Je ne sais pas si je vais te laisser partir un jour.
Cette phrase aurait du me faire peur, me faire prendre les jambes à mon coup mais au contraire, je trouvai sa rassurant. Car moi aussi, je n'étais pas prête à le laisser, je me suis habituer à lui, et bien plus que cela...
-Heureusement car je n'ai pas envie de partir.
-Tant mieux.
Giulian m'embrassa et cette fois, Giulian me fit l'amour. La nuit a été très longue, nous nous sommes couché à plus de quatre heures de matin.
Et quand la lumière du jour m'agresse de bon matin, j'ai envie de remonter le temps pour repasser cette nuit avec Giulian. Deux gros bras chaud m'entoure la taille, si bien, que je ne peux me tourner pour observer mon geôlier.
Mais ce me permet de penser à notre relation. Entre nous, rien ne c'est déroulé comme il aurait fallu. Et en même temps, Giulian ne fait pas un travail comme les autres et ne mène pas une vie comme tout le monde. Au fil des semaines, j'ai développés beaucoup de sentiment pour lui, il est devenue mon centre d'univers.
Et j'aurais beau le nier, les preuves sont là, et elles deviennent irréfutable.
J'ai Giulian dans la peau.
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Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture
General FictionRosalia Lucania Je n'ai jamais eus à me plaindre. Mon père m'a bien élevé, il a tout fait pour que mes rêves se réalisent. J'ai voulus ouvrir ma propre boutique de styliste et j'ai pus le faire grâce à lui. Il a comblé le manque maternelle en devena...