13. Rosalia

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Cet homme va finir part me tuer! Il est magnifiquement beau et il le sait très bien.

-La vue te plait? Dit-il avec un sourire collé aux lèvres.

-Oh que oui, soufflé-je.

C'est la stricte vérité donc je ne vois pas pourquoi, je lui mentirai. Mes yeux parcourt son corps avec lenteur pendant qu'il marche jusqu'à sa commode. Ses cuisses, son ventre et ses fesses sont ferme et musclé. Tout est divin à regarder, la chose qui a directement attiré mon regard et sa queue. Elle est longue et épaisse, la plus grosse que j'ai vue de toute ma vie. Je me demande a quoi elle ressemble quand elle bande... Giulian me prive de cette vue délicieuse en mettant un bas de pyjamas. Méchant garçon! Il me sourit effrontément en plus.

-Au dodo.

Je déteste officiellement dormir! Quand je pense qu'on pourrait profiter l'un de l'autre mais qu'à la place, je dois rester allonger car à chaque mouvement mon corps me fait souffrir. 

-J'en ai marre de dormir, souffle-je.

-Essaye quand même, il faut que tu reprennes des forces. 

-J'ai fait que dormir toute la journée.

-Que veux tu faire? Demande-t-il.

-On pourrait parler?

-Si tu veux.

-Qu'est ce que tu t'es dit, quand tu m'as vue pour la première fois?

Je me pose souvent cette question, j'aimerai vraiment savoir. Giulian met longtemps avant de répondre à ma question.

-Quand je t'ai vue, je me suis putain, qu'elle est belle. Je voulais avoir ton numéro pour t'appeler le plus vite possible, tellement que je te trouvais canon. Et j'espérais vraiment que tu n'avais pas de copain même si je m'en fichais royalement.

Je pouffe, pourquoi ça ne m'étonnes pas? 

-Sérieux? 

-Oui et toi?

Je ne mets pas autant de temps à lui répondre comparer à lui.

-Je t'ai trouvé diablement sexy, ma libido c'est réveillé d'un coup en te voyant. J'avais l'impression, que tu étais le soleil et que j'allais me brûler si je m'approcher trop prés de toi.

Et c'est toujours la cas.

-Tu dégagé beaucoup du charisme, de la peur, de l'autorité mais aussi un fort sex-appel.

Giulian pète de rire en entendant la fin de ma phrase. 

-Tu me surprendras toujours, Rosalia.

-Si tu le dis.

La faible lueur de la lune me permet de voir le visage de Giulian. Nous fixons du regard, aucun de nous deux, détourne le regard. Il me pose doucement une autre question.

-Pourquoi Rosalia?

-Hein?

-Pourquoi ce prénom?

Je souris en comprenant sa question.

-Mon père a toujours aimé les roses, il dit que chaque femme est une rose et qu'il faut en prendre soin. Donc quand je suis née, mon père m'a donner ce prénom. 

-Hum, ça a dut être dur pour toi, d'être élevé sans ta mère.

-Non, dès qu'elle est sortie de l'hôpital, elle nous a abandonné. Mon père a fait de son mieux pour que je sois équilibré et que je ne manque de rien. Entre mon père et moi, il n'y a jamais eu de tabou. On parle de tout et de rien. 

Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant