Mon téléphone sonne quand j'arrive dans mon bureau, je suis parti voir si tout se passer bien pour la cargaison de cocaïne et je l'ai oublié en partant. Je décroche avant qu'il s'arrête de sonner sa ns regarder qui est mon interlocuteur.
-Allô?
-Bonjour, c'est Rosalia.
Je n'ai pas eu besoin qu'elle me dise son nom, que je l'ai déjà reconnue par sa voix douce. Nous sommes vus quelque fois pendant ces quinze jours, j'ai pus en apprendre un peu plus sur elle.
-Bonjour, je suis content de t'avoir. Comment vas tu?
-Bien et toi?
-Bien, merci.
Je m'assois confortablement dans mon siège pour profiter de cette discussion. Heureusement que je ne suis pas attendus quelque part car je n'aurai pas voulue lui dire au revoir.
-Comment se passe le boulot? Lui demande-je.
-Super, j'ai dus embaucher de nouvelles vendeuse et mon producteur a doublement de travail. Je ne peux jamais avoir une minutes à moi et toi?
-Très bien. As-tu quelque chose de prévus se soir? On pourrait allez dîné?
-Ça serait super, tu veux aller où?
-J'ai un restaurant en tête.
-D'accord, est ce qu'il faut que je m'habille d'une façon particulière?
-Non, peut importe. Je viens chez te chercher à dix neuf heures?
-Heu...
Je l'entends parler avec quelqu'un mais je n'arrive pas à distinguer le sujet, ce qui me frustre. J'aime contrôler, tout savoir. C'est l'habitude du travail, tout contrôler, être à l'affût de tout.
-C'est bon pour moi, à ce soir?
-A ce soir.
Elle raccroche la première, je suis content de savoir que je vais pouvoir la voir se soir, j'ai dus partir pendant deux jours pour un contrat avec un parrain d'une autre branche. Nous avons conclut un accord qui nous feras des profits à tout les deux.
Pendant ces quinze jours j'ai pus apprendre que c'est le père de Rosalia qui l'avez élevé. Je trouve ça admirable car ce n'est pas du tout facile d'élever un enfant, seul. J'ai pus apprendre aussi, combien elle aime son père, elle décrocherai la lune juste pour lui. Elle aime les rose rouge, sa couleur préférer est le rouge.
Au début, elle avait du mal à se révéler donc c'est moi qui ai fais le premier pas, je lui ai parler de ma famille, de mon enfance. Mais la seule chose dont nous n'avons pas encore parler, c'est des ex. Juste de penser qu'elle a eu des ex me fais bouillir de colère, ma mâchoire se contracte ainsi que mes poings. Je ne suis pas blanc comme neige donc je ne peux pas me permettre de dire quelque chose mais ça me fais quand chier!
Un soir, je suis passé à l'improviste chez elle, quand elle m'a vus, son visage c'est transformer en horreur. J'ai pensé premièrement qu'elle avait quelque chose à me cacher puis je me suis rendus compte que c'étais à cause de son pyjamas et qu'elle mangé des nouilles. Elle était confuse car elle n'avait rien dans son frigo comme dans ses placards mais ça m'a fais rire, j'ai trouvé cela mignon. Rosalia se nourrit de nouilles car elle adore ça mais je ne pense pas que c'est bon pour sa santé au long terme. Donc le lendemain, je suis revenue avec des courses, elle a voulut me rembourser mais je n'ai pas voulus, ce qui m'a valut tout une disserte sur le droit de la femme... Passons, j'ai passé une excellente soirée encore, avant de partir pour mon contrat, nous nous sommes embrassé. Et j'aimerai recommencé et cette fois l'embrasser autre part...
Des cous à la porte me fais revenir à la réalité.
-Entrer.
Mon père passe le pas de la porte puis s'assois dans un fauteuil devant moi. Avant c'était lui à ma place et moi à la sienne, je me rappelle quand je faisais des conneries, mon père me punissait en me faisant asseoir devant lui pendant une durée indéterminée. Mais je m'en fichais car je pouvais le voir travailler, je voulais devenir comme lui et j'espère qu'un jour, je serais au moins la moitié de l'homme qu'il est.
-Tu es rentré, fils, ta mère va être contente.
-Oui, aujourd'hui. Je viendrai demain pour voir maman.
Il hoche la tête doucement.
-Pourquoi pas se soir?
-Je ne peux pas, je sors se soir.
-Ah bon?
-Oui, je sors dîner avec une femme.
Mon père ne peut cacher sa surprise malgré qu'il se reprend vite. Ce n'est pas tout les jours que je sors dîner avec une femme, ce n'est même jamais arrivé. Je suis directe généralement, je veux de la baise et point barre. C'était la même chose pour Rosalia mais au fil du temps, je voulais en savoir plus sur elle, la connaitre plus intimement.
-Je vois et je peux savoir qui c'est?
Quand je pense que mon père s'y met aussi, pourquoi tout le monde se mêle de ma vie privée?! Je suis un grand garçon, merde!
-Une femme.
-Je vois, bon fais attention à toi.
Il va pour se lever mais je lui pose une question.
-Pourquoi es tu venus ici?
-Comme ça, je voulais savoir si tout c'était bien passé pour ton voyage.
Je fronce les sourcils, mon père n'est pas du genre à se déplacer pour rien mais s'il ne veut pas me dire, je n'en saurais pas plus. Malgré ma curiosité, je jette l'éponge car je n'obtiendrai rien de lui. Je me lève à mon tour et raccompagne mon père jusqu'à la porte d'entrée, il met son manteau et se tourne à nouveau vers moi.
-Je suis content que tu t'ouvre à quelqu'un fils.
Je lui souris comme réponse car je ne sais pas quoi lui dire. Il s'en va ensuite, je regarde l'heure et je vois qu'il est bientôt l'heure de récupérer Rosalia chez elle. Je monte me changer, je mets un costume puis je monte dans ma voiture, Paolo conduit le quatre-quatre. Il y a une autre voiture devant et derrière nous, qui nous protège. Dès qu'on se gare devant l'immeuble de Rosalia, je descends et entre dans le hall. Je me suis procuré une clé pour entre à ma guise. Mes gardes m'attendent dehors, je ne veux pas qu'il m'accompagne jusqu'à la porte de Rosalia.
Quand j'arrive devant, la porte n'est pas fermer mais entre ouverte. Ce n'est pas du tout normal, Rosalia fais très attention à sa sécurité. Je sors mon arme que je planque, j'ouvre la porte doucement. La première chose que je remarque est tout le bordel dans son appartement. Je passe son salon, et me dirige vers la cuisine. Une pression se fait sentir au niveau de ma poitrine, je ne sais pas si j'ai déjà eu aussi peur de ma vie. La cuisine est aussi dans un sale état, mais ce que je vois me fais froid dans le dos. Rosalia est parterre allongé sur le dos. Son visage est couvert de sang, elle doit avoir le nez cassé et sa pommette gauche à vue d'œil. Elle porte encore ses habits de travail donc elle a dut se faire agresser quand elle est rentrée. Je m'accroupis à sa hauteur pour prendre son pouls et par miracle, elle respire encore. Je ne cherche pas à comprendre, je l'a prends dans mes bras et sors en vitesse de son appartement et je range mon arme. Dès que je suis à la hauteur de mon véhicule, je fais signe à mes gardes du corps de rentrer dans leurs voitures. J'installe Rosalia sur la banquette arrière, sa tête est posée sur mes genoux.
-A l'hôpital Paolo et vite!
Il ne cherche pas à comprendre lui aussi et fonce, j'enlève les cheveux du visage de Rosalia. L'enfoiré qui lui a fais ça, va le payer cher. On ne touche pas à ce qui m'appartient. Quand nous arrivons devant un hôpital, je sors au plus vite et demande un docteur. Ils prennent Rosalia en charge aussi vite que possible, j'essaye d'aller avec eux mais ils me l'interdisent donc je m'assois dans la salle d'attente. Je déteste les hôpitaux, c'est quitte ou double ici, tu peux vivre comme mourir. Rosalia est particulière pour moi, pourtant on ne se connait pas depuis longtemps mais elle est différente des autres. Je me jure de faire payer au salopard ce qui lui a fait!
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Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture
General FictionRosalia Lucania Je n'ai jamais eus à me plaindre. Mon père m'a bien élevé, il a tout fait pour que mes rêves se réalisent. J'ai voulus ouvrir ma propre boutique de styliste et j'ai pus le faire grâce à lui. Il a comblé le manque maternelle en devena...