J'aimerai être dans la tête de Rosalia pour savoir ce qu'elle pense à ce moment même.
-J'avais prévue qu'après t'avoir emmené dîner, je t'airai raccompagner jusqu'à la porte de ton appartement, nous nous serions embrassé.
Mon regard est rivé sur ses lèvres qui se sont entrouvertes.
-Je t'aurais porter dans mes bras jusqu'à ton lit ou jusqu'à ton canapé, si je n'aurais pas pus plus attendre longtemps. Je t'aurais déshabillé doucement, quand il n'y aurait plus eu seule parcelle de ton corps recouvert, je serai parti à la découverte. Je t'aurais lécher et embrassé tes seins puis ta chatte, et je t'aurais baisé avec fougue jusqu'à ce que tu cris mon nom.
Je rive mon regards au sien et vois, ses pupilles dilatées et assombrit de désir. Quand je pense qu'elle a frôler la mort, deux fois en plus. Je vais retrouver ce connard et le tuer, je ne serai pas clément avec une merde pareille. Rosalia a dut vivre dans la peur qu'il revienne pendant plus d'un an, maintenant elle est avec moi, plus personne ne lui fera du mal. Et le premier qui essaiera ne vivra pas assez longtemps pour voir les dégâts, Rosalia est une rose qu'il faut protéger. Elle a beau dire qu'elle est forte, elle reste une petite chose fragile. Elle est rentré dans ma vie comme un ouragan et elle a tout mis en dessus-dessous mais je suis content qu'elle ait fait ça. Car aussi non, je serai encore seul, je vivrai pour travailler, boire et baiser, rien de très passionnant. Pourtant avant de la rencontrer, c'était ma vie et je l'aimais mais maintenant tout me parer fade à coter d'elle.
-Giulian?
Rosalia me sort de mes pensés en m'appelant.
-Oui?
-Je te demandais si tu pouvais m'aider.
-Pour?
Elle se tortille gênée.
-J'aimerais aller au toilette et je n'arrive pas à me lever.
-Je vois.
Je me lève du lit, pose mon assiette et la prends dans les bras pour l'amener à la salle de bain. Comme elle porte une robe se sera plus facile pour elle par contre il faut que je l'aide avec sa culotte.
-Je vais t'aider.
Elle hoche la tête doucement. Je fais passer mes mains en dessous de sa robe et tire sur sa culotte, je la regarde elle. Elle se mord la lèvre mais gémis de douleur. Je baisse sa culotte jusqu'à ses chevilles et je l'assois sur le toilette.
-Je sors pour te laisser de l'intimité.
-Merci.
Je ferme derrière moi la porte pour lui laisser le plus d'espace possible. Ça ne doit pas du tout être facile pour elle, moi même je ne supporterais pas qu'on s'occupe de moi de cette façon, ça doit être dure pour elle de demander de l'aide quand on voit, qu'elle ne m'a pas parler de l'autre enculé. Mes poings et ma mâchoire se serre en pensant à Lorenzo. Mes hommes sont déjà sur le coup, il ne mettrons pas longtemps à le trouver.
-J'ai finis.
Je rentre dans la salle de bain et l'aide à se relever, je lui remets sa culotte. Pendant se temps elle tire la chasse d'eau. Quand elle est enfin dans la lit, elle pousse un soupir de soulagement.
-Ça va?
-Oui, c'est juste que j'ai l'impression qu'un camion m'a roulé dessus.
-Hum, tu veux que je t'apporte quelque chose?
-Non t'inquiète, je vais appeler Lara comme tout à l'heure je me suis endormis, je n'ai pas pus le faire.
-D'accord, je vais retourner faire des papiers.
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Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture
General FictionRosalia Lucania Je n'ai jamais eus à me plaindre. Mon père m'a bien élevé, il a tout fait pour que mes rêves se réalisent. J'ai voulus ouvrir ma propre boutique de styliste et j'ai pus le faire grâce à lui. Il a comblé le manque maternelle en devena...