17. Giulian

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Mes neurones on dut mal a se connecter devant un tel spectacle! Rosalia porte une robe noire en soie, la robe tient par deux fines bretelles. Putain de bordel de merde! 

-Tu es magnifique! Dis-je.

-Merci.

Mes yeux parcours son corps avec avidité, cette femme est un canon par nature mais alors là, c'est un missile. Mes yeux tombe sur ses jambes où elle porte des bas. Et pour finir, elle porte une paire de Louboutin rouge. C'est décidé, elle veut vraiment ma mort. 

-Nous fêtons quelque chose ce soir?

Tout en parlant je m'approche d'elle, pour n'être qu'a cinq centimètre de sa bouche. Mes mains se posent délicatement sur ses hanches. Rosalia me sourit innocemment.

-Rien en particulier...

Ma queue était déjà dur quand je l'ai vue en entrant dans la chambre mais maintenant que je la tiens dans les bras, contre moi, ma queue est plus dur que jamais. Si elle continue de me regarder avec ses beaux yeux vert, je vais la baisé maintenant et ça ne sera pas tendre. 

-Hum, et si on allez manger?

Rosalia fit la moue mais elle accepte volontiers. Je lui prends la main et nous allons dans la salle à manger, comme elle arrive à mieux se déplacer, nous prenons tout nos repas dans la salle à manger. Alberto a déjà tous mis sur la table quand nous nous asseyons, il nous sert puis disparaît comme de rien n'était.

-Alors le travail? demande-t-elle.

-Bien, j'ai du régler quelque problèmes mais tout va pour le mieux. 

-Je suis contente, ça ne doit pas être tout les jours comme ça.

-Non, mais si tu as la confiance de tes hommes et vice versa, c'est plus facile pour les affaires. Mais il y aura toujours des problèmes comme les flics ou mes ennemies. 

-Je vois, c'est comme diriger une entreprise mais de façon illégal.

Elle me sourit en mangeant ses spaghettis à la bolognaise. La façon dont elle parle de mon business, est particulière. Ce n'est pas toutes les femmes qui accepte cela, du moins a part les croqueuse de diamants et encore, car elles, elles ne veulent rien a savoir. A part le montant que nous allons empocher. 

-Tu as tout compris, et toi? Les affaires?

Elle avale ce qu'elle avait dans la bouche puis passe sa langue autour de la bouche pour enlever la sauce. Son petit tour, ne passe pas inaperçu. Rosalia essaye de m'allumer par tout les moyens et ça marche efficacement. 

-Tout roule, j'ai eux pleins de nouvelles commandes pour les fêtes. J'ai demandé à Lara, de ne plus prendre de commandes car je suis débordé! 

-Tu en es où?

Elle m'explique son travail en détail, du début à la fin, sur les commandes qu'elle a reçu. Et je remarque que son boulot n'est pas du tout de tout repos. Je l'admire davantage, cette femme n'a besoin de personne pour s'assumer. Elle aime sa liberté, son travail, ses amis... Tous les hommes rêvent d'avoir une femmes comme elle, elle est belle, intelligente, indépendante... Rosalia n'est pas comme toutes les femmes que j'ai baisé, ces femmes ne voyer que par mon compte en banque. Rosalia est vraiment le rêve de tout les hommes mais elle est à moi. Et je ne partage pas ce qui m'appartient. 

-Je pense que je vais aller à la boutique après demain. Dit-elle.

Nous serons le vingt trois donc je ne vous pas ce qu'elle va faire un vingt trois décembre dans sa boutique.

-Pourquoi faire?

-Pour voir mes employés, après je ne les revois pas jusqu'au quatre janvier.

-Mais tes commandes?

-Elles seront directement envoyé chez les personnes qui les ont commandés. T'inquiètes, je gère.

-Tu prendras des hommes avec toi, on ne s'est jamais.

-Si tu veux.

-Au faite tu fais quoi le vingt quatre?

-Toutes les années je le passe avec mon père et le vingt cinq aussi.

-Je vois, ça te dirait de le fêter avec moi?

-Noël?

-Oui, le vingt quatre et le vingt cinq. Mes parents organise une soirée le vingt quatre, nous dormirons la bas et le vingt cinq ont le fait, en famille. 

-Aussi tentant que ça l'est, je ne veux pas laisser mon père tout seul pour les fêtes.

-Si tu m'aurais laisser finir, je t'aurais dis que ton père était le bien venu pour les fêtes chez mes parents.

Elle fronce les sourcils.

-Tu es sûr?

-Oui, mon père sera content de voir ton père, apparemment il travailler ensemble avant. 

-Oui, je sais, mon père m'en a parler. Je vais le lui dire. 

Rosalia me sourit, j'espérai que son père acceptera;, au moins je pourrais l'avoir à mes cotés pour les fêtes. J'ai pris l'habitude de dormir avec elles, donc ne pas sentir son corps ferme et chaud, contre moi dans la nuit, ça me manquera probablement. Rosalia s'est faite une place dans mon cœur doucement et surement, sans que je m'en aperçoive. 

-Ton père faisait quoi comme travail?

Rosalia pose ses couverts après avoir finis de manger, j'ai bien crus qu'elle ne m'avait pas entendus mais quand elle relève la tête et me regarde comme si je venais d'une autre planète. Je comprends, qu'elle m'a très bien entendus.

-Alors?

Elle hausse les épaules.

-Mon père n'a jamais travailler du coté légal, de la loi. Il ne voulait pas se tuer à la tache et gagner qu'un misérable salaire. Donc il est devenue tueur à gage.

J'ai faillis m'étrangler avec ma propre salive, entendant le travail de son père. 

-Il travaille toujours?

-Non, il est à la retraite. 

Elle me sourit amusé. Son père n'est pas totalement en retraite et elle le sait très bien mais elle dit sans doute, ce que son père lui a dit de dire. Je comprends mieux maintenant, pourquoi, elle réagit aussi naturellement sur mes affaires. On dirait que son père l'a préparé pour moi, Rosalia était faite pour moi. 

-Tant mieux pour lui et si on parlait de cette robe que tu portes.

J'aimerai lui arracher cette robe, et voir ce qui se cache en dessous... Rosalia hausse les épaules avec désinvolte.

-J'avais envie de la mettre, aujourd'hui j'ai pus m'acheter tout un tas de chose.

-Ah bon?

Voila qu'elle attise ma curiosité, vilaine fille!

-Oui, je me suis pris de nouveau sous-vêtements. D'ailleurs je porte un ensemble, que j'ai acheté cet après midi.

Mon regard se pose sur sa poitrine, il faut que j'enlève rapidement cette robe en soie, et découvir ce corps minutieusement. 

-Je suis ravie que tu es pus t'amuser, on pourrait continuer cette discussion dans notre chambre?

-Je ne suis pas fatigué.

-Qui parle de dormir?

Ses pupilles se dilatent et ses yeux ne sont plus que désir. Je me lève et lui tends ma main, qu'elle prend sans hésitation. Je la guide jusqu'à la chambre et ouvre la porte. Rosalia entre la première, je referme la porte derrière elle. Rosalia se retourne vers moi, son regard est toujours voilée de désir, ses yeux vert sont devenu plus foncés. 

-On fait quoi alors, si on ne dort pas?

Je souris et m'approche d'elle, mes mains se pose de chaque coté de son visage. Je lui murmure:

-Ce que nous souhaitons depuis que nous nous sommes vus pour la première fois.

Mes lèvres plongent sur les siennes pour un baisé fougueux, possessif et emplis de désir. La nuit va être longue, très longue.


Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant