Des bruits de bipe me tire d'un sommeil profond quand j'émerge, je vois que je suis dans une pièce blanche et que des fils sont accrocher à moi. Je panique en voyant, que j'ai dus mal à bouger et de voire tous ces fils. Une machine commence à faire du bruit bruyamment puis une main posé sur ma joue, me ramène à la réalité.
-Tout va bien... Calme toi, Rosalia, tu es en sécurité.
Sécurité? Je ne me souviens plus de la sensation de ce mot, depuis que j'ai quitté Lorenzo, je vis constamment dans la peur. Il est revenue...
-Chute...
Je me mets à sangloter quand je repense qu'il est revenue, il m'a tabassé chez moi, dans ma propre cuisine.
-Rosalia, regarde moi.
A travers mes larmes, j'arrive à voir le beau visage de Giulian, ses traits sont tirés et il a l'air fatigué.
-Tu es en sécurité avec moi, d'accord? Personne ne te fera plus jamais de mal.
J'aimerais le croire, mais je ne peux pas car Lorenzo est toujours là, en vie. Je ne trouverai la paix que quand il sera mort. Giulian sèche mes larmes avec ses pouces et je commence à me calmer, j'ai mal aux cote à cause de mes sanglots.
-Je...
-Chut, je vais aller appeler un médecin pour qu'il viennent t'examiner, d'accord?
Il se lève pour partir mais j'attrape sa main comme je le peux, à cause de la douleur cela me fait grimacer. Il se retourne et fronce les sourcils.
-Je reviens et ne bouge pas, tu vas te faire mal.
Ce n'est pas une requête mais plutôt un ordre donc à contre cœur, je le laisse partir. Quand je pense ce qu'il m'est arrivé, je rentrais du boulot, je venais juste d'ouvrir la porte quand on m'a poussé violemment à l'intérieur de mon appartement. Je n'ai pas eu besoin de me retourner pour savoir, qui c'était donc j'ai courus jusqu'à la cuisine pour aller chercher un couteau pour me défendre mais il a été plus rapide.
Un médecin entre dans la pièce sans Giulian, il m'examine et me dit que Giulian est juste à coté. Il m'apprends que j'ai dormis cinq jours, c'est long quand même. Quand il fini son examination, Giulian entre suivit de mon père. Mes yeux se brouillent à nouveaux de larmes mais je me retiens. Mon père s'élance vers moi, et me fait un bisou sur le front.
-Comment vas tu, mon bébé?
-J'ai mal, papa.
-Je sais, mon cœur. On va tout arrangés, je te le promet.
Je hoche la tête et la tourne vers Giulian, il nous laissés un peu d'espace ce qui est gentil de sa part.
-Qui m'a trouvé?
-Moi, dit Giulian. Je venais te chercher quand j'ai vus la porte de chez toi entrebâillé, j'ai de suite compris qu'il se passer quelque chose de louche. Je suis entré puis je t'ai trouvé étendus parterre dans ta cuisine, je t'ai directement emmené à l'hôpital.
-Merci.
-Ensuite, il m'a appelé.
Je ne comprends pas comment, Giulian a eu aussi vite le numéro de mon père mais peut être qu'il a eu grâce à mon téléphone. Mon père reste encore un peu avec nous puis il décide de s'en aller, il faut qu'il aille se reposé mais il me promet de revenir demain. Quand il part, un silence prend place, je ne sais pas quoi dire à Giulian. Il ne devait pas le savoir, je ne voulais pas qu'il sache. Cette partie de ma vie, je ne la raconte à personne. Les seuls qui le sache, c'est mon père et Lara. Giulian s'approche de mon lit, et s'assoie à coté de moi, il prend ma main dans la sienne.
VOUS LISEZ
Famille Castelli Tome 1: Les épines d'une rose. réécriture
General FictionRosalia Lucania Je n'ai jamais eus à me plaindre. Mon père m'a bien élevé, il a tout fait pour que mes rêves se réalisent. J'ai voulus ouvrir ma propre boutique de styliste et j'ai pus le faire grâce à lui. Il a comblé le manque maternelle en devena...