Wie eine trübe Wolke
Durch heitre Lüfte geht,
Wenn in der Tanne Wipfel
Ein mattes Lüftchen weht:
So zieh' ich meine Strasse
Dahin mit trägem Fuss,
Durch helles, frohes Leben,
Einsam und ohne Gruss.
Ach, dass die Luft so ruhig!
Ach, dass die Welt so licht!
Als noch die Stürme tobten,
War ich so elend nicht.
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Comme un nuage sombre
Dérive à travers un ciel dégagé,
Quand une légère brise souffle
Dans les sommets de sapin ;
Ainsi, je vais sur mon chemin
Par des pas épuisés, à travers
Une vie brillante et joyeuse,
Seul, accueilli par personne.
Hélas, que l'air est si calme !
Hélas, que le monde est si lumineux !
Quand les tempêtes faisaient encore rage
Je n'étais pas si malheureux.
Einsamkeit (Franz Schubert
Sur un poème de Wilhelm Müller)
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Le Chant du Cygne
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