imposteur

718 47 9
                                    

PDV t/p :

« C'est un imposteur. »

Je me réveilla dans un sursaut.
Je respirais fortement.

Encore un rêve étrange...

Je regarda l'horloge au mur : 7h30.

« On est samedi et je ne suis toujours pas fichu de dormir tranquillement. » dis-je en laissant mon corps retombé sur le matelas.

Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir.
Je tourna la tête vers celle-ci.

« Coucou mon amour. » annonça Izuku en s'asseyant sur une chaise à côté de mon lit.

Je suis gênée. Depuis que nous nous sommes embrassés à l'hôpital, nous nous ne sommes pas vu.
Je sentais le rouge me monter au joues.

« Salut. C'est quoi ce surnom ? » lui dis-je avec un sourire en coin.

Il prît ma main dans la sienne dans un geste brusque.

« Parce que tu es à moi et je te rappelle que je fais ce qui me chante. » me dit-il avec un regard noir.

Je dégagea ma main de la sienne avant de reculer.

« Qui es-tu ? » lui demandais-je.

Ochaco avait raison, ce n'est pas Izuku qui a devant moi mais un imposteur.

Soudain, je sentis une douleur dans mon crâne grandir.
Je mis mes mains sur ma tête.
J'ai l'impression que je vais explosé.

« Ou-où est Izuku, imposteur ?! » demandais-je difficilement.

Il s'approcha de mon visage. Je sentais son souffle s'abattre sur ma joue.

« Comment peux-tu dire une chose pareille à ton amoureux ? » dit-il en prenant mon menton entre ses doigts.






« T/p, je t'en supplie aide-moi ! »





« Comment peux-tu douter de mon amour pour toi ? »

J'étais tétanisée.

« Je t'aime tellement T/p... » me dit-il en rompant les derniers centimètres qui nous séparaient.

Je me débattais de toutes mes forces.
J'utilisa mon alter pour l'envoyer valser à travers la pièce.

« Quel dommage, je suis sûr que je t'aurais encore plus aimé que cet idiot. » annonça t-il avant de se réduire en bout.

Je me leva, arracha la perfusion et partis de l'infirmerie en courant. 

J'avais malheureusement oublié une chose, c'est que mon corps n'est pas en état de faire le moindre effort.
J'avais des sueurs froides et de la fièvre.
Ma migraine me frappait de plain fouet.

Alors que je courrais dans les couloirs du lycée à la recherche d'une aide quelconque, je sentis mes jambes s'alourdir et ma vision se brouiller.



« T/p ! C'est moi, je suis le vrai Izuku ! »


~

Chapitre court mais ne vous inquiétez pas, la suite arrive bientôt !

Merci pour vos lectures :)

muraraka <3

souris pour moi, izuku midoryia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant