je t'aime

846 42 14
                                    

PDV izuku :

Je sentais enfin son corps contre le mien.

« Elle est enfin là, près de moi... » pensais-je.

Je caressa ses cheveux avec ma main.

Je sentais des regards sur nous mais qu'importe, c'est notre moment à tous les deux.

Elle desserra son étreinte pour me regarder dans les yeux.

Elle posa sa main sur ma joue.

Son visage était si près du mien que je pouvais sentir son souffle caresser mon visage.

« On vous dérange peut-être ?! » annonça Katchan.

On tourna la tête vers lui.

« Je vais aller saluer les autres, attends-moi dans ma chambre. » lui chuchotais-je en lui tendant discrètement la clef de ma chambre.

« Okay ça marche. » dit-elle en souriant.

Puis, elle s'en alla.

Je me dirigea alors vers mes camarades.

« Midoryia, ça fait plaisir de te revoir ! » annonça Iida en me serrant dans ses bras.

« Ça me fait tout autant plaisir de vous revoir. » dis-je en souriant.

Il desserra son étreinte.
Je cherchais Uraraka.

« Vous savez où-»

Je n'eus pas le temps de répondre que Tsuyu prît la parole.

« Elle n'est pas là. »

Je leva un sourcil.

« Elle va bien ? » demandais-je inquiet.

Elle baissa la tête avant de la relever aussitôt.

« Saches juste qu'elle ne veut pas te voir, du moins pour le moment. » dit-elle sur un ton sérieux.

« J'ai fais quelque chose de mal ? Expliques-moi Tsuyu... » dis-je doucement.

Je ne comprends pas ce qu'il se passe. Je viens à peine de franchir la porte de l'internat qu'il y a déjà des soucis.

« Non Midoryia, laisse-la tranquille. » dit-elle sèchement avant de partir dans la direction opposée de la mienne.

Je baissa la tête.

« J-je vais y aller... » dis-je.

Iida posa sa main sur mon épaule.

« Ne t'inquiète pas Midoryia, Uraraka tiens énormément à toi. » dit-il en souriant.

Il ne m'a pas vraiment convaincu mais bon.

« Merci Iida, bonne nuit les amis ! » dis-je en leurs faisant un signe de la main.

PDV t/p :

J'attendais dans la chambre d'Izuku, assise sur son lit, quand ce dernier entra avec une mine grave.

« Ça va ? » lui demandais-je en me levant du lit.

souris pour moi, izuku midoryia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant