Tu flottes dans ta robe, dans l'air,
et lorsque les vents, accélèrent
tu voles dans une ambiance, stellaire,
les oiseaux te ramène, des éclairs.
Tes ailes aux bords, fracassants
luttent avec la raison, et les arguments,
car chaque moment au ciel, si déroutant,
c'est ainsi parmi les anges, à tout moment.
Les arbres au feuillage, conséquent,
tordent la brume vivante, en se courbant,
si le désir te réveille, tellement plus vivant,
respirer vingt fois par minute, en fait autant.
Tu portes tout, et un poids,
mais tu flottes au-dessus, et des toits,
les crêtes rocheuses ont peur, de toi,
dès que tu les montres, du doigt.
Sous ton regard une secousse, meurtrière,
les roches glissent, dans une rivière,
la vallée est muette, de ta prière,
sous l'identité froissée, de la pierre.
Les blocs se forment, dans l'air,
des os au contour, de calcaire,
dès qu'ils touche le bas, ta terre,
tu les changes en statues, de pierre.