Une note d'amour

Chapitre 15

Sans laisser le temps à Cassandra de répliquer, Julio écrasa ses lèvres contre les siennes.

Ses lèvres étaient d'une douceur esquisses et avaient, comme il l'avait imaginé, le goût de vanille. Sa bouche contre la sienne, il se sentait enfin à sa place.

D'abord surprise mais pas résistante ,Cassandra mit quelques secondes avant de répondre à son baiser. 

Est ce bien

?Peut importe Cassandra s'en moquer, elle en avait envie autant que lui et ne pouvait se résoudre à mettre fin à cette douce torture .

Leurs langues jouèrent ensemble dans un ballet passionné. Ce baiser n'avait rien de doux ni de sauvage.

Ils y mettaient toutes leurs force, comme si les lèvres de l'autre étaient nécessaire à leur survie, comme si ce baiser était vitale.

Il finirent par se relâcher, la respiration saccader ,leurs fronts collés, se regardant dans les yeux et ne pouvant pas lâcher le regard de l'autre.

«Cassandra tu me rends fou...» Confessa t-il.

Et comme si cette simple phrase était l'élément déclencheur, prise d'une envie folle ,Cassandra se mit sur la pointe des pieds et entreprit à nouveau de l'embrasser. Leurs lèvres de nouveau collées, Julio souleva Cassandra dont les jambes vinrent se placer autour des hanches de ce dernier instinctivement . Julio les déposa dans le canapé, leurs lèvres jouant toujours celées ensembles.

Cassandra à présent à califourchon sur lui savait très bien la suite future des événements, mais en avait-elle envie ?

OUI!

En avait-il envie?

Quelle question, il ne rêvait que de ça depuis des semaines !

De pouvoir admirer à sa guise cet objet de tentation, de pouvoir toucher cette peau laiteuse qui avait l'aire si douce, d'entendre son nom crié de cette magnifique bouche, de pouvoir la posséder entièrement et ressentir qu'elle était toute à lui.

Cassandra entreprit donc de déshabiller le jeune homme mais il la stoppa dans son élan:

«Cassandra t'es sûre de toi?»

Pour seule réponse Cassandra l'embrassa avidement en continuant son action précédente qui fit sourire Julio.

«Très bien tu l'aura voulut» Dit-il d'une voix forte et viril qui la fit frémir.

Puis il la porta jusqu'à la chambre.

Et c'est ainsi que les deux amants vécurent leur première nuit d'amour passionnée, puis finirent pas s'endormir dans les bras l'un de l'autre....