Une note d'amour

Chapitre 28

«Tu comptes lui dire que tu sais?»

«Non pas tant  que je n'aurais pas toute l'histoire. Tu la connais, elle se braquera et repartira sans me dire la vérité sinon, deux fois pas trois mec.»

«Je vais être tonton!» Réalisa Milo.

«Et moi papa...» Réalisa t-il à son tour.

«Oh mon dieu Milo comment je vais m'en sortir? Et si Cassandra ne voulait plus de moi dans sa vie après tout elle avait peut-être juste envie de partir...Ni dans le vie de son enfant?» Paniqua t-il

«Oh du calme mec, cette femme est raide dingue de toi. si elle est parti il y a forcément une raison alors arrêtes de paniquer tu vas faire un père formidable.»

«Merci mon frère» dit-il ému.

«Maintenant trêve de bavardage, va sauver ton histoire amour!»

" Arrête on dirait un truc de meuf dit comme ça.."

Julio essaya de réfléchir à ce que Carla avait dit.

Sa méfier de son entourage?

Mais de qui pouvait-elle bien parler?

Une chose était sur, ses réponses ne se trouvaient pas ici,à Londres. Il devait retourné là ou tout à commencé en l'Italie.

Mais avant il avait besoin  voire la jeune femme, il ne pouvait pas explicitement dire qu'il venait pour elle.

Que faire? Que dire?

L'entreprise!

Il n'avait qu'a dire qu'il venait pour le boulot!

Cassandra

Cassandra se donner à fond dans son boulot, elle vivait ses dernières heures derrière ce bureau avant un certain temps. Dans quelques heures elle serait officiellement en congé maternité, pour le plus grand bonheur de la jeune femme.

Elle ressentit un pincement au coeur de quitter ses collègues qui étaient à présent des amis. Ces derniers avaient d'ailleurs insisté pour lui organiser un fête de départ,enfin surtout Carlos.

Depuis son arrivée, Cassandra le soupçonnait d'avoir le béguin pour elle, ce qui d'après Carla était «Giga cool» et qu'il fallait qu'elle «apprenne à lâcher prise si elle espérait réussir à l'oublier un jour»

L'oublier?

Non elle ne pourrait jamais. De plus qu'elle portait en elle la preuve vivante de leur amour

Certes Carlos était un très bel homme qui c'était toujours monté droit et gentil avec elle, mais ce n'était pas lui.

La journée passa à une vitesse folle et l'après-midi pointer déjà le début de son nez.

Assise à son bureau,Cassandra vit Julio entrer dans l'entreprise.

OH non non pas encore...

Julio

Il passa les portes de l'entreprise, automatiquement ses yeux se posèrent sur elle.

Même avec les traits marquant sa fatigue, elle était plus belle que jamais.

Ces yeux se baladaient sur tout son corps, puis sur son ventre.

Elle porter en elle la preuve de leur histoire, une preuve de leur amour ,un amour qu'il allait tout faire pour sauver parce qu'il en était sur Cassandra était la femme de sa vie ,la mère de son enfant et de ses futurs enfants.

Comme une évidence, son évidence.

Elle ne devait pas se doutait qu'il était là pour elle, alors quoi de mieux que de jouer la froideur et l'ignorance?

«Bonjour mademoiselle Fulvio prévenez votre patron de mon arrivé»

Cassandra

Oh il voulait jouer à sa?

Et bien il allait être servi!

«Très bien monsieur Gabrieli» Dit-elle en insistant bien sur le monsieur.

Elle savait que sa avait le don de l'agacé donc elle en joua.

Elle vit à son air crispé qu'elle avait réussit et elle en était fière.

Une heure plus tard, les deux hommes en costumes revinrent ,rigolant à deux comme le feraient deux vieux amis.

«Oh tiens Cassandra, je me suis permis d'inviter monsieur Gabrieli à votre pot de départ»

«Appelez moi donc Julio voyons!»

Cassandra mis quelques secondes à réaliser.

Julio à sa fête?

Oh non ça ne présager rien de bon...

Voyant le sourire narquois de Julio, Cassandra dut se retenir de lui sauter dessus ,oh non pas pour les raisons que vous imaginez, pour le gifler.

Elle se contenta juste de répondre que sa ne la déranger pas, non sans jeter un regard noir au jeune homme ce qui l'amusa plus qu'autre chose. Et se petit sourire insolant qu'il arborait ne faisait qu'accroitre sa colère.

Bonne chance Cassandra...