Juste eux et elle

Un humain sensible (Mathieu)

Le soleil se lève sur Eldarya, les terres d'Eel baignent dans le soleil. Et tout le Q.G. est paresseux sous ce soleil chaud. Les familiers chantent et Karuto a fait plein de tartes au fruit avec les reste d'hier. La magie de ses tarte envahit le nez de tout les gardiens.

Dans sa chambre, Erika dort, dans son dos, ses ailes sont déployées. Depuis quelque mois, Erika entraine l'apparition et la disparition de ses ailes, mais pendant son sommeil, elles apparaissent sans pouvoir se contrôler. Mais, est-ce une si mauvaise chose de dormir dans ses ailes ?

Erika continue de dormir : elle s'est couchée tard. Ses ailes déployé dans son dos, elles chassent sa couverture pour en prendre la place... Mais pas que pour elle.

Son aile bouge, sous l'aile, sort une petite tête, les cheveux marron en bazar, sa peau claire. Un jeune homme lâche un long bâillement tout en souriant. Il est de très bonne humeur. Il ouvre ses yeux pour voir sa plumeuse couvertures.

« - Je comprends pourquoi ai-je si bien dormi... » Dit-il en se reblottissant dans les plumes de sa petite amie. C'est tellement doux, chaud, rassurant. Quand il n'a pas le moral, il aime bien se blottir contre ses plumes, la lumière chasse ses mauvaises pensées pour ne laisser que de l'apaisement à son paroxysme. Il baille encore et referme ses yeux, sombrant de nouveau dans une petite sieste. Il est tard, mais comment ne pas se rendormir dans ce cocoon de plume si doux ? Il faudrait être dépourvu de sentiments ! Il arrive à enrouler ses bras autour de sa petite amie, malgré ses ailes. Qui sont plutôt handicapante pour se type de câlin. Erika bouge doucement l'aile qui recouvre le jeune homme. Un petit gloussement s'échappe de ses lèvres. Les plumes douces ne sont pas qu'apaisante.

Le sommeil d'Erika s'allège, tout doucement, elle se réveille, bougeant de plus en plus son corps, sa mains, sa tête, ses pieds, ses ailes. Un petit rire est audible. Elle ouvre ses yeux doucement. Se redresse petit à petit en s'étirant de tout son corps

Mathieu rit plus fort : en s'étirant, les plumes très douces et duveteuse des ailes d'Erika caresse son torse. Il sent toute les fibres des plumes qui sont entrer en contact avec sa peau. Elle agite ses ailes pour les étiré : les plumes le plus basse ne sont qu'a quelque centimètre de son torse.

« - Bonjour mon ange. Dit-il en lui faisant un câlin par derrière. Tu as bien dormi ?

- Oui. Dit-elle en se penchant légèrement en arrière pour l'embrasser. Et toi ? Mes ailes ton gênées ?

- Mais non, je les aime tes ailes. Dit-il en ébouriffant les plumes au bout d'une de ses ailes. Tu sais que j'aime bien me blottir contre toi, et j'aime quand ton instinct les fait se replier autour de moi. C'est une sorte de câlin dans un câlin. Dit-il en réfléchissant un peu trop au concept. C'est tellement agréable. » Dit-il. Tous les deux restent comme ça, Mathieu câlinant Erika par derrière, entre ses ailes, et Erika devant lui. Ses ailes un peu pliées.

Erika soupire : Mathieu est bien plus câlin qu'elle ne l'imaginait, et il est vrais que son naturel tendre pousse son instinct à lui rendre cette tendresse qu'il lui offre sans la moindre conditions, sans la moindre limites. Sous son côté malicieux, il cache une homme bien plus tendre, maladroit, mais jamais avec de mauvaises intentions dans ses actes.

Erika caresse Mathieu avec ses ailes. Mais elle n'eut la réaction attendue.

« - Eeep ! Mathieu sursaute. Je... heu... Pas là ! Dit-il en ricanant un peu. Erika se retourne : face à lui. Un regard joueur sur son visage.

- Mais je croyais que tu aimes mes ailes ? Dit-elle en le poussant vers le lit. Mathieu est de nouveau allongé sur le lit. Inquiet d'avoir donner une terrible idée à sa petite aengel.

- Ou-ou-oui ! Dit-il tout rouge. M-M-M-Mais pas... EEEEP ! Mathieu met ses mains à sa bouche en sentant les plumes des ailes caressées ses côtés. Erika est très amusée de voir le pauvre jeune humain à sa merci.

- Tu sens es douce plumes caresser et exciter les nerf ? Provoque-t 'elle. Peu importe combien de temps tu mettras pour retenir ton souffle, tu devras reprendre de l'air un moment ou un autre. Dit-elle en remontant ses plumes vert son ventre. Mathieu agite sa jambe derrière... Les larmes lui montent au yeux, il est rouge a force de se retenir.

Mathieu était au paradis et est descendu en enfer : les plumes sont juste beaucoup, beaucoup trop douce pour son pauvre corps sensible... Erika avait raison, il a besoin de respirer...

Mathieu ouvre sa bouche : son corps lui suppliant d'extérioriser l'excitation des simples caresses de ces tortueuses plumes. Il explose de rire, supplie Erika d'arrêter, mais non, dans un geste irregulier, Erika continue de caresser son ventre et ses cotés, et qi par malheur, il arrive à coincée une ailes avec son bras, c'est encore prie acrre elle l'agite et lui chatouille son bras en plus de ses cotés. C'est ironique : il n'a été formé qu'avec rien d'autre que le meilleur qu'il puisse exister ! Il peut encaisser des coups et des douleurs normalement insupportable, survivre quelque jours avec rien d'autre qu'un crouton de pain. Mais face à sa petite amie il supplie d'arrêter cette incessante torture qui n'est pourtant en aucun cas douloureuse.

Erika s'arrête, correction, elle fait une pause.

« - Tu es trop mignon. Mathieu est essoufflé

- Tu es un monstre... Après réflexion... Erika fait un rire machiavélique. Garde tes forces

- N'est ce pas pour ça que tu m'aimes ? Dit-elle en se retournant, montrant le dos à Mathieu

- Non ! Dit-il en la voyant ouvrir en grand ses ailes qui le recouvre intégralement du bas de son ventre à son visage. Non ! Non ! Haaa Non je t'en supplie !

- Fallait réfléchir... Dit-elle en agitant ses ailes de toute leur longueur. Mathieu hurle de rire.

Toute les plumes excitent les moindre centimètre carrée de sa peau, certaine se glissent au nouveau de son coup, faisant couiner le pauvre jeune homme si durement entrainer. Le voila en train de couiner pour une plumes au cou. Erika se retourne de temps en temps : Mathieu gigotte de temps en temps pour essayer de se libérer mais impossible, il n'a pas sa prothèse et n'arrive pas à se lancer pour se retourner : coincé à sa merci. Erika est attendrie par son rire : il est quand même mignon.

« - JE TE HAIS ! Dit-il en riant aux éclats...

- Moi aussi je t'aime ! » Dit-elle en ralentissant.

Enfin elle s'arrête et libère le jeune homme. Et s'allonge à côté de lui.

« - Tu sais que tu serais parfaite dans ce type de torture. Dit-il en boudant un peu

- Non... Ce n'est pas amusant sur des inconnus. Dit-il en touchant le nez du jeune humain. Mais tu dis plein de fois que tu aimes mes ailes. Tu dois avoir aimer cette séance.

- Je ne sais pas, tu aimes toi ? Dit-il d'un coup très malicieux

- EEEEEP ! » Erika sursaute en sentant une plume titiller son coup : elle n'avait pas vu qu'une plume est tombé et qu'il a réussi à l'attraper !

Et il est vrais, elle sent tellement de douceur venant des toutes les fibres duveteuses de sa plumes. Elle se tortille comme un vers pour essayer de bloquer la plume vicieuse qui monte vers son oreille.

« - D'accord ! STTTOP. Dit-elle en essayant d'attraper la plume. Mathieu est satisfait

- Alors, comment ça fait d'avoir goutter à sa propre médecine ?

- D'accord, j'avoue, tu as dû passer un terrible moment. Mathieu roule des yeux en souriant

- Aller, j'avoue que c'était amusant... Mais ne refait plus ça aussi intensément. Erika embrasse Mathieu et Mathieu rend son baiser.

- D'accord. Dit-elle en se levant pour s'habiller. Garde ma plume, ça pourrait être utile. Mathieu et Erika partagent un regar malicieux.