* PDV de Jafar *
Les yeux rouges je sens l'intégralité de mes muscles se tendre mais quand je la vois quitter la pièce après m'avoir balancé un vase en pleine tête je compte bien lui faire regretter son geste.- Jafar je t'interdis de sortir de ce bureau.
Je braque mon regard dans le sien pour voir qu'il est sérieux mais je ne compte pas laisser passer ça mais il se contente de me regarder avant de donner l'ordre a un garde a l'extérieur de garder un oeil sur elle.
- Après ce qu'elle vient de faire, je me dois de lui donner...
- Rien du tout ce serait plutôt à elle de t'en mettre une, ta rage t'aveugle mon ami tu ne te rends pas compte de ce que tu viens de dire.
- Ou de ce que tu as pu lui dire quand vous étiez seul.Je me tourne vers Bachir qui lui rajoute aussi son grain de sel, je n'ai rien de spécifique contre lui mais comme il le dit c'est physique nous avons beaucoup de mal a nous entendre d'un point de vue professionnel. Mais bon ce n'est pas une raison pour émettre son avis sur tout et n'importe quoi...
- Je n'ai jamais dit que j'étais un ange mais je n'ai rien dit de mal non plus.
- Si là tu n'as rien dit je n'imagine pas ce qui a pu sortir de ta bouche ces deniers jours.Je fronce les sourcils ne comprenant pas ce que j'ai pu dire de si atroce et à en voir la tête de mon Roi je suppose que je suis vraiment à côté de la plaque. Mais c'est ce que je ressens alors je ne vois pas pourquoi je devrais dire le contraire.
- Passons, elle est rétablit alors tu peux reprendre tes fonctions lorsque tu le veux.
Je m'incline en le remerciant et quitte son bureau pour retourner à mes appartements, seulement lorsque j'ouvre il n'y a que son parfum qui flotte dans l'air. Les dents serrées je m'empresse d'ouvrir toutes les fenêtres pour ne plus ressentir sa présence dans mes propres quartiers. Retirant tout les draps et les couvertures qu'elle a utilisée je mets le tout dans une machine afin que cette brève partie de ma vie soit enfin terminée.
Habillé pour un entrainement je descends dans la cour extérieur en sachant que mes hommes sont surement en train de s'entrainer mais quand ils me voient arrivés je peux tous les voir déglutir, surtout ceux qui doivent avoir un entrainement spécial.
- Chef quel plaisir de vous voir de retour.
- Ne faites pas ça, j'ai eu autre chose a faire mais ce n'est pas pour autant que je ne vous ai pas surveiller.
- Oh...
- Oh comme vous dites et bien que certains on un entrainement avec moi de prévu vous autres vous n'avez pas totalement fait ce qui était prévu.
- On ne pensait pas que vous nous surveillerez.
- C'est mon rôle que vous soyez toujours au meilleur de votre forme pour protéger la famille royale, de vous surpassez pour ne jamais faillir, de vous entrainez pour ne jamais flancher face a l'adversité. Vous vous êtes engagés pour être dans l'armée royale et si c'est trop dur pour vous la sortie est juste là.Tout le monde me regarde mais j'espère pour eux que personne ne va bouger et après quelques minutes je décide qu'il est temps d'y aller. Ceux qui travail le soir ce sont déjà entrainés ce matin et eux je les aurais demain matin mais ceux de journée devrait le sentir passés.
- Aller c'est partit.
Deux heures plus tard c'est tout transpirant que je remonte dans mes appartements mais bien que toutes les fenêtres soient ouvertes son parfum reste tout de même présent ce qui a tendance a m'énerver. Après une douche je peux enfin revêtir mes habits et enfin retourner travailler mais lorsque je redescends au rez de chaussée pour aller voir mon souverain, je tombe sur elle au milieu du couloir avec Bachir.
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Un grain de passé
RomanceŒuvres protégés par les lois sur le droits d'auteurs selon la loi n°57-298 du 11 mars 1957 sur la propriété literaire et artistique. Aucune reproduction, vente ou appropriation est autorisée. Jafar Hizam chef des armées a Dinam depuis l'âge de dix...