Voyage mouvementé

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Après que Steve se soit fait tirer dessus et que Wanda soit venu pour moi, Steve s'est réveillé . Je suis restée toutes ces semaines à ses côté jusqu'au jour où il pouvait sortir de l'hôpital.

Moi: Alors docteur, il peut sortir quand?

Doc Rize: Laissez moi voir...et bien d'après mes documents,  aujourd'hui.

Moi: Merci infiniment pour tout docteur!

Doc Rize: C'est vous qui avez fait tout le travail.

Moi: Je vous remercie tout de même. Bonne journée.

Doc Rize: Au revoir.

Je rentre dans la chambre de Steve.

Moi: Tu parts aujourd'hui !

Steve: Génial, j'en avais marre d'être confiné ici.

Moi: Oh zut! Je ne pourrais plus te trompés avec le docteur Rize. Quel dommage.

Steve s'avance vers moi et me plaque contre le mur, ne me laissant aucune issue.

Steve: Tu à vraiment fait ça ?

Moi: À toi de deviner.

Steve: Je vais te le faire regretter à l'hôtel.

Moi: À quel point ?

Steve: Jusqu'à ce que tout ceux qui sont à l'hôtel connaissent mon nom.

Moi: Je me suis mise dans la merde.

Steve: T'as pas idée.

Moi: Tu veux bien enlevé tes bras, je dois passé.

Steve: Profites encore de tes jambes.

Moi: Vas prendre tes affaires. Je t'attend dans la voiture.

Steve: La conversation n'est pas finie.

Moi: Pour moi si.

Steve: Mya...

Moi: À plus.

Steve: Tu fais chier.

Steve se dépêche de prendre ces affaires et me rejoins dans la voiture. Puis je démarre.

Durant le trajet:

Moi: Tu es rapide quand tu veux.

Steve: Oui quand je suis pas mort.

Moi: D'ailleurs tu me refais plus jamais ça ou sinon je te tue à la place des autres.

Steve: C'est gentil.

Moi: Désolé, c'est juste tu m'as fait tellement peur, j'ai cru que j'allais te perdre. Tu étais allongé sur le lit sans bouger et je guettais le moindre mouvement sur le cardiogramme. J'étais désespérée même si ça n'a duré que quelques jours. Je pensais n'avoir aucune chance de te revoir un jour avec toutes les balles que tu t'es pris.

Je ne m'étais pas rendu compte, mais je pleurais devant Steve.

Steve: Arrêtes toi sur le côté.

Steve m'a sorti de la voiture et me serre dans ses bras avec la force qu'il lui reste en me rassurant. Son étreinte me donne un sentiment de protection, sa chaleur est vraiment réconfortante, je ne pourrais pas supporté de le perdre.

L'âge n'est qu'un nombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant